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Cinéma et Psychologie

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CAS – Central Authentication Service. CAS – Central Authentication Service. Les émotions, une réaction – du corps au mental : Les enseignements d’Eckhart Tolle. Qu’en est-il des émotions ?

Les émotions, une réaction – du corps au mental : Les enseignements d’Eckhart Tolle

Je me laisse plus souvent prendre par mes émotions que par mon mental. Dans le sens selon lequel j’emploie le terme, le mental ne fait pas seulement référence à la pensée. Il comprend également vos émotions ainsi que tous les schèmes réactifs inconscients mettant en rapport pensées et émotions. Les émotions naissent au point de rencontre du corps et du mental. Une émotion est la réaction de votre corps à votre mental, ou encore le reflet de votre mental dans le corps. Plus vous vous identifiez à vos pensées, à vos goûts, à vos jugements et à vos interprétations, c’est-à-dire moins vous êtes présent en tant que conscience qui observe, plus grande sera la charge émotionnelle. Si vous avez de la difficulté à ressentir vos émotions, commencez par centrer votre attention sur le champ énergétique de votre corps.

Non pas la vérité ultime de votre essence, mais la vérité relative de votre état d’esprit à ce moment-là. Oui. Oui, je sais ce que vous allez me demander. Quatorze besoins fondamentaux selon Virginia Henderson. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Quatorze besoins fondamentaux selon Virginia Henderson

Les quatorze besoins fondamentaux représentent un modèle conceptuel en sciences humaines et notamment en soins infirmiers. Ils font partie des courants de pensée infirmière et sont proposés par Virginia Henderson depuis 1947[1]. La vision de l'interdépendance des besoins humains et de leurs satisfactions, issue de la pratique de Virginia Henderson, est fortement marquée par le courant behavioriste.

Enseigné durant les études en soins infirmiers, le concept des quatorze besoins fondamentaux se base notamment sur l'expérimentation personnelle[2],[3]. Projections - Page web de Jean-Francois Vézina. Cinematherapy.com: Using Movies for Healing and Growth. Art de Vivre. Du cinéma, j'en mange.

Art de Vivre

Alors quand j'ai su qu'un psy utilisait des films pour aider ses patients, je me suis dit: c'est pour bibi! Surtout que le psy en question, amateur de cinéma, est un cas à part. Jean-François Vézina est un beau grand psy de 34 ans qui «rocke» l'institution analytique afin de trouver de nouvelles façons d'aider les gens à se raconter, à se découvrir. La preuve? Son plus récent bouquin, Se réaliser dans un monde d'images: à la recherche de son originalité (Les Éditions de l'Homme), dans lequel il décortique des films et des personnages qui nous ont bouleversées au point de nous transformer.

Du cinéma au divan Moi qui croyais me présenter dans le bureau avec mes petits bobos, genre: «Je suis hypocondriaque, j'ai attrapé deux fois la grippe aviaire en bouffant du PFK le mois dernier, quel film dois-je regarder?» En thérapie individuelle, il lui arrive de demander à ses patients quel film illustre le mieux leur vie, et pourquoi. Faites une Freud de vous! Le cinéma comme thérapie. Santé mentale (2 août 2012) Le cinéma comme thérapie Si les personnages de films ont pu inspirer quelques individus déséquilibrés – comme ce tueur d’Aurora qui invoquerait le Joker dans Batman –, si la fiction semble faire partie de leur délire, le cinéma peut avoir des effets bénéfiques sur le plan psychologique.

Le cinéma comme thérapie

Aujourd’hui, des thérapeutes proposent à des patients de recourir au 7èmeart pour se sentir mieux. Cette approche porte le nom de “cinémathérapie”. La cinémathérapie débarque sous nos latitudes. Voie de guérison. Sémio-pragmatique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Sémio-pragmatique

La théorie sémio-pragmatique[1] est une approche du cinéma, proposée par Roger Odin, qui considère l'approche de l'objet film et de l'objet cinéma selon le bagage du spectateur et son expérience du film. Elle ne rejette pas la théorie sémiologique telle qu'a pu le proposer Christian Metz, mais ajoute que sa fonctionnalité en tant que système de signification repose sur des connaissances du spectateur, notamment la connaissance d'institutions dans lesquelles le film projeté peut s'inscrire. Why We Cry at the Movies. This article originally appeared on VICE UK.

Why We Cry at the Movies

I find hard to understand why people enjoy Love Actually so much, let alone why some shed tears of passionate sorrow every time they watch it. Mind you, we've all cried over something cinematic (me, during 12 Years a Slave). We've all fallen in love with an individual performance (Marion Cotillard, every time). And we've all shaken our fists at a bad guy (fuck you forever, Warden Samuel Norton).

So cinema clearly has some sort of sensational ability to affect every one of our emotions, and we're pretty much all susceptible. As well as asking why we sometimes find it hard to distinguish between fiction and reality, suggesting that we can't pinpoint the precise "sources" of our memories, Zacks explains how our brains had evolved to their current form well before cinema was around. This idea formed the basis of my conversation with Zacks when I gave him a call last week.

So I can tell you to do something like hold a pencil between your teeth.