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Motions

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Motion 5 : Toulouse, mon congrès. Nos conditions, propositions, réflexions pour réussir 2012-2017… et au-delà Jeunesse – Audace – Démocratie – Horizontalité - Education – Republique - Europe Si c'est une fête, moi cela me plaît !

Motion 5 : Toulouse, mon congrès

Si c'est une cérémonie, c'est déjà plus ennuyeux mais enfin je veux bien. Si c'est un rite, cela se gâte. Si c'est avec le sentiment que nous sommes des pionniers (…) alors cela vaut la peine ! Chère et cher Camarade, Issus d’horizons divers, et unis par la conviction que militer c’est donner de son temps pour l’action politique de terrain, nous avons fait le choix de déposer cette motion « Toulouse, mon Congrès ». Mais, nous le mesurons tous, le contexte n’est pas à l’euphorie. Motion 4: Oser. Plus loin, plus vite. Toutes les études récentes montrent que le dérèglement climatique est plus rapide et a des conséquences plus graves que ce qu’on annonçait il y a cinq ou dix ans.

Motion 4: Oser. Plus loin, plus vite.

Si rien ne change, nous risquons bientôt de franchir un seuil après lequel il sera très difficile ou impossible de faire marche arrière. Si nous voulons « gagner la course de vitesse » et sauver notre planète, il ne suffit pas de parler de « développement durable » ou de mettre en œuvre très lentement des conventions internationales très peu ambitieuses, il faut AGIR. Il faut qu’un pays apporte très vite la preuve « grandeur nature » qu’on peut effectivement diviser par quatre la production de gaz à effet de serre sans pour autant renoncer à une vie agréable. En France, aujourd’hui, la loi oblige quiconque veut vendre une maison à faire un diagnostic amiante et un diagnostic termites. Si ces deux diagnostics ne sont pas faits, légalement, la vente ne peut pas avoir lieu. Une économie de 1 000 euros par ménage et par an. Motion 3: Maintenant la gauche. Introduction Depuis les victoires des 6 mai et 17 juin, il existe en France une majorité de gauche sans précédent dans l'Histoire.

Motion 3: Maintenant la gauche

La Présidence de la République, l'Assemblée nationale, le Sénat, les Régions, les Départements, les Villes: La gauche dispose des moyens nécessaires pour redresser et transformer durablement notre pays. Nos concitoyens, salariés, jeunes, précaires, fonctionnaires, retraités, attendent beaucoup de nous, parce qu'ils sont touchés de plein fouet par la crise et ont, pour la majorité d'entre eux, souffert de 10 ans de politique de droite.

En chassant le sarkozysme, responsable de « tant de brûlures et de blessures » (François Hollande, Bastille, 6 mai 2012), nous avons créé les conditions politiques pour redresser la France, combattre le chômage et les inégalités. C’est pourquoi nous souhaitons tous, ardemment, la réussite de la présidence de François Hollande et du gouvernement de Jean-Marc Ayrault. Cette fois, va-t-on réussir ? Que ferons-nous de notre victoire ? Motion 2: Question de principes. Un Congrès pour changer.

Motion 2: Question de principes

De l’audace et des actes Chère camarade, cher camarade, Notre Congrès ne doit ressembler à aucun de ceux qui l'ont précédé. Nous aimons notre parti et nous croyons dans l'esprit d'unité et dans le goût de la liberté de ses membres, comme dans la force de ses idées. Mais, comme bien des militants, nous ne nous reconnaissons plus dans les luttes d'appareil, la cooptation, les querelles d'ego. Ni parti godillot, ni mini-foyer d'opposition, notre parti doit devenir à la fois le partenaire politique à part entière du gouvernement et le premier incubateur de toutes les aspirations de notre société. L'abstention record aux législatives caractérise le désintérêt grandissant de nos concitoyens, et parmi eux des classes les plus populaires, pour la politique. Repenser la fonction de notre parti, le revivifier, n’est pas un but en soi, mais un moyen. Nous éprouvons ce besoin de démocratie. Ayons l’audace de répondre à ce besoin d’innovation ! I.

Un autre modèle agricole. Motion 1 : Aubry-Ayrault. Notre Congrès de Toulouse se déroule dans un contexte inédit.

Motion 1 : Aubry-Ayrault

La crise que traverse la France et qu'affrontent les Français est d'une gravité exceptionnelle. Elle n'est pas un aléa de la conjoncture qui précèderait, pour les économies et les Etats, un retour à la normale. Elle accélère le dérèglement et finalement révèle l'impasse du capitalisme financiarisé. C’est une crise économique et sociale avant tout, dont les effets n’épargnent aucune puissance ni aucun taux de croissance, et à laquelle s’agrègent d'autres crises qui menacent la paix entre les nations et l'avenir même de l'humanité : crise climatique, crise alimentaire, crises géopolitiques sur fond de dissémination nucléaire et de terrorisme.

C'est parce qu'ils sont conscients des difficultés et qu'ils refusent la fatalité qu'au printemps dernier, les Français ont choisi le changement.