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Le Steampunk, ou « De quoi aurait eu l’air le passé si le futur était arrivé plus tôt » | Criic Pastelbox. Le Steampunk, ou « De quoi aurait eu l’air le passé si le futur était arrivé plus tôt » Oui, ça sonne un peu décousu comme question, mais le mot steampunk peut se définir en se posant celle-ci. C’est un heureux mélange entre un rappel de ce qui fût et une anticipation de ce qui sera, l’avant avec l’après.

En tant que style vestimentaire, cela donne quelque chose de recherché, ayant un côté très théâtral qui charme l’amateur de « post-apo » et du rétro-futurisme comme l’adepte du victorien. Le terme steampunk vient d’une dérivation se voulant humoristique du mot « cyberpunk ». Plus qu’un simple style vestimentaire, le mot steampunk décrit aussi une forme de courant artistique touchant l’ingénierie, la musique ou même le « lifestyle » : « steampunk », c’est un terme ayant été popularisé à la fin des années 80 par des auteurs ayant écrit des ouvrages inspirés de grands noms de la littérature, tels que Jules Verne, H.G.

A Bordeaux, le Steampunk à toute vapeur. Un groupe de steamers à Bordeaux (DR) La sortie de l’encyclopédie « Tout le Steampunk ! », aux éditions Les Moutons électriques basées à Bordeaux, est l’occasion de découvrir cette culture underground avec des Bordelais : l’éditeur, deux auteurs, et un jeune couple de steamers. « Tout sur le steampunk » aux éditions Les Moutons électriques (DR) Le steampunk, en tant que mouvement culturel underground, fait de plus en plus d’adeptes en France. Loris et Charlène, alias Korben et Gwenwed, sont un jeune couple bordelais de 23 et 22 ans. Ce sont des steamers, mais préfèrent le terme francophone de vaporistes. Ils portent au quotidien des vêtements steampunk, expression d’un XIXe victorien alternatif.

Le steampunk, c’est d’abord des matières : le cuir, le velours, la laine, la toile, la fourrure pour les vêtements, du cuir, du cuivre, du verre, du bois et du métal pour les objets et les machines. Korben et Gwenwed, couple de steamers (Ludovic Lamarque/Rue89 Bordeaux) Artisanat et création. LA CULTURE STEAMPUNK. PARTIE 1. | David Peyron. Mythologica | Entrez & imaginez... Le Steampunk : Fantasy à vapeur... ou néologisme de fantaisie ?

Un mot pour une expérience. Le terme « Steampunk » puise son origine dans une lettre envoyée par K. W. Jeter au magazine Locus. Dans ce courrier, l’auteur californien propose l’appellation de Steampunk, parodiant volontairement celle de Cyberpunk, pour qualifier les fantaisies victoriennes écrites avec ses deux acolytes, Tim Powers et James P. Blaylock . Les fantaisies victoriennes. Dès 1979, K. Pour l’anecdote, signalons aussi que Tim Powers a écrit un épisode de cette série qui a abouti à son roman The drawing of the dark, paru en France sous le titre (curieux) de Les chevaliers de la brune. Londres devient le cadre des aventures de gentlemen confrontés à des événements extravagants et/ou surnaturels et qui, à l’occasion affrontent des méchants truculents voire grotesques.

D’un jeu entre trois auteurs et d’un mot forgé par dérision fait-on pour autant un genre ? Des prédécesseurs et des continuateurs. Parcourons quelques ouvrages théoriques sur le sujet. Le proto Steampunk est né ! Uchronews. L’actualité Science-Fiction, Fantasy et Fantastique : ActuSF. Elbakin.