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Revue dessinée - recherches

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Is Google Making Us Stupid? Illustration by Guy Billout "Dave, stop. Stop, will you? Stop, Dave. Will you stop, Dave?” So the supercomputer HAL pleads with the implacable astronaut Dave Bowman in a famous and weirdly poignant scene toward the end of Stanley Kubrick’s 2001: A Space Odyssey. I can feel it, too. I think I know what’s going on. For me, as for others, the Net is becoming a universal medium, the conduit for most of the information that flows through my eyes and ears and into my mind. I’m not the only one. Bruce Friedman, who blogs regularly about the use of computers in medicine, also has described how the Internet has altered his mental habits. Anecdotes alone don’t prove much. It is clear that users are not reading online in the traditional sense; indeed there are signs that new forms of “reading” are emerging as users “power browse” horizontally through titles, contents pages and abstracts going for quick wins.

Reading, explains Wolf, is not an instinctive skill for human beings. Also see: La créativité à l’heure des machines. Anna North (@annanothtweets), rédactrice des pages opinion du New York Times a testé Yossarian, un moteur de recherche qui souhaite booster la créativité en s’appuyant sur les relations métaphoriques. Un moteur de recherche pour stimuler la créativité ! Selon son créateur, Paul Neekey, « Google est un outil puissant et incroyable, si vous savez ce que vous cherchez. Mais il est problématique en terme de créativité, si vous tentez de générer de nouvelles idées ». Sur Google, les requêtes passent par nos bulles de filtre chères à Eli Pariser. Si vous chercher un terme comme « Beauté » sur Google Image, le moteur vous renverra vers une liste sans fin d’images de top models occidentaux… Yossarian, lui, cherche à nous faire prendre des chemins de traverse, en permettant aux utilisateurs d’associer d’autres types d’images à une telle requête et en les laissant expliquer les raisons de leur choix.

Yossarian n’est pas le seul moteur de recherche à s’intéresser à la créativité. Hubert Guillaud. Surcharge informationnelle. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La surcharge informationnelle (en anglais information overload), ou surinformation[1] ou encore infobésité (néologisme québécois[2]), est un concept désignant l'excès d'informations qu'une personne ne peut traiter ou supporter sans nuire à elle-même ou à son activité.

Cette notion, également évoquée par le sociologue Edgar Morin sous l'appellation de « nuage informationnel », est quelque peu différente du brouillard informationnel en temps de guerre[3]. Histoire[modifier | modifier le code] Bien que ce concept soit au début du XXIe siècle étroitement lié au développement des chaînes de télévision d'information en continu, à l'utilisation des technologies de l'information et de la communication et, en particulier, les nouvelles technologies de l'information représentées par Internet, il a fait son apparition dès le début des années 1960 comme l'une des sources de dysfonctionnement des organisations[4]. Citations[modifier | modifier le code] «La machine à influencer» de Brooke Gladstone est une critique des médias... et de ceux qui les suivent! Pour la journaliste américaine spécialiste des médias Brooke Gladstone, les journalistes déconnent un peu, mais les citoyens ne sont pas pour autant des spectateurs aliénés: plutôt des victimes consentantes de la Matrice.

Les journalistes ont toujours été détestés de leurs semblables. Accessoirement, leurs représentants font d'excellents personnages de comédie ou de satire sociale –pensez au gars ou à la fille qui présente les infos en direct d'un lieu où ça chauffe dans les films: c'est toujours un crétin fini doublé d'un arriviste sans scrupule... La question est de savoir jusqu'à quel point ils méritent cette image. Est-ce uniquement de leur faute, à cause de leur manière de traiter l'information ou est-ce aussi ce qu'ils renvoient à leurs lecteurs, auditeurs, téléspectateurs ou internautes qui les rend si impopulaires?

A vous de croiser vos sources! Jean-Laurent Cassely Partagez cet article. Scribd. Collecter pour mieux analyser : les bases de données et le journalisme. Datavisualisation : Toute l'actualité sur Le Monde.fr. Evgeny Morozov. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Evgeny Morozov (Russe: Евгений Морозов, Biélorusse: Яўгені Марозаў) est un chercheur et écrivain d'origine biélorusse, spécialiste des implications politiques et sociales du progrès technologique et du numérique. Il est rédacteur en chef de The New Republic. Biographie[modifier | modifier le code] Morozov est né à 1984 in Salihorsk, en Biélorussie[1].Il fréquente l'Université Américaine de Bulgarie[2], avant de déménager à Berlin, puis aux États-Unis. Morozov devient enseignant à l'Université Stanford[3], membre de la New America Foundation et un contributeur du magazine Foreign Policy, pour lequel il crée le blog Net Effect.

Il a également été membre de Yahoo! Bibliographie[modifier | modifier le code] The Net Delusion: The Dark Side of Internet Freedom; Éditions Public Affairs, 2011, ISBN 978-1586488741 To Save Everything, Click Here: The Folly of Technological Solutionism; 2013, ISBN 1610391381. En français: