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Etude

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L'excellence du produit ne suffit plus. Les enseignes du luxe doivent maintenant proposer l'excellence dans la distribution et la relation client. Vos clients sont aussi précieux que des diamants La plupart des enseignes du luxe développent leur réseau de distribution en propre. En accroissant leur nombre de magasins, ces marques répondent à une demande, notamment asiatique, qui semble faire abstraction de la crise économique, mais aussi à maîtriser leur chaîne de valeur de bout en bout pour améliorer leurs marges. En prise directe avec le consommateur, elles renforcent considérablement leur connaissance du client et de ses attentes. Cette révolution culturelle n'est néanmoins pas sans soulever de nouveaux défis. En particulier, les enseignes sont de plus en plus conduites à : 1. La maîtrise des enjeux du commerce de détail En termes de marque L'image d'une enseigne de luxe se décline au travers de flagships situés dans des emplacements prestigieux, de boutiques dans les emplacements de premier ordre, de magasins dans les aéroports et les lieux de villégiature, de corners dans les grands magasins.

En termes de gestion. Le secteur du luxe défie la crise, à l'image de LVMH. Le numéro un mondial du luxe, LVMH, a annoncé lundi 15 octobre des ventes en hausse de 15% à 6,9 milliards d'euros au troisième trimestre, conformes aux prévisions des analystes, et s'est dit "confiant pour l'année 2012" malgré le "contexte de ralentissement économique en Europe". Sur neuf mois, la progression est de 22%, là aussi conforme aux attentes, à 19,86 milliards d'euros.

Le groupe détient notamment Louis Vuitton, Céline, Givenchy, les champagnes Moët et Chandon, Dom Pérignon et Veuve Clicquot, les parfums Guerlain et Dior, mais aussi les montres Tag Heuer, Hublot et le joailler Bulgari. Toutefois, la croissance organique a continué de ralentir au troisième trimestre, contre 12% sur l'ensemble du premier semestre. Ce qui constitue pour le groupe "une bonne performance dans le contexte économique actuel". Un marché mondial supérieur à 200 milliards d'euros Au-delà de LVMH, c'est tout le secteur du luxe qui se porte bien.

Les Chinois, premiers clients du luxe (Avec AFP) Le secteur du luxe en forte croissance en 2011. Marketing – La mondialisation du luxe. XEnvoyer cet article par e-mail Marketing – La mondialisation du luxe Nouveau ! Pas le temps de lire cet article ? Classez le dans vos favoris en cliquant sur l’étoile. Fermer Autres contrées, autres clients, autres aspirations. Peu de secteurs peuvent se vanter d’avoir su rebondir après la crise aussi vite que le luxe.

Actualité

Le marketing digital selon Burberry. Le progrès technologique au service du luxe D’après le site definitions-marketing.com, le marketing digital désigne les techniques marketing utilisées sur les supports digitaux. La marque Burberry s’est imposée comme leader sur le marché du luxe grâce à l’utilisation du numérique. Site internet et réseaux sociaux Utilisé dans le but de créer un lien toujours plus fort avec les fans et les consommateurs, le marketing digital de la marque s’exprime d’abord grâce au site burberry.com lancé en 2010/2011.

En alliant parfaitement l’offre du produit à l’audiovisuel, il permet aux consommateurs d’interagir avec la marque et de créer peu à peu une véritable communauté . Une relation clientèle en or Click to chat burberry.com Sur le site, le Click to Chat permet d’échanger directement avec la marque en 14 langues. L’innovation technologique au service de la mode Retransmission du défilé Burberry Prorsum automne/hiver 2010-2011 à Paris Site artofthetrench Burberry Un concept de boutique numérique. Assisterait-on à une mutation du luxe publicitaire ? S'il y a bien un domaine parmi les plus codifiés dans la publicité, c'est bien le monde du luxe. Plus qu'un story-telling, ces affiches ou spots sont de véritables testimoniaux à la fois d'une marque, de son histoire, de son environnement et de ses valeurs.

Dès lors, les publicités sont pensées à l'extrême pour faire passer un message à la fois "Quantitatif" : "Voilà le produit" mais aussi "Qualitatif" : "Voilà l'univers qu'on vous montre". Bon ça, c'est la version officielle qu'on met en avant. Les retours qui touchent à peu près 98% des individus sont différents : "Cette publicité montre des personnes trop minces" - "Je ne comprend pas cette publicité" - "Tout ça pour ça" ou à l'inverse "Oh là là c'est trop beau" et "Ce mannequin est trop beau". Différentes réactions selon le profil de l'individu et de son rapport avec cette niche commerciale très particulière. Dès lors, certaines marques osent la différence avec plus ou moins de succès. Givenchy, entre androgynie et albinisme David. Quelle est la place du Web dans la publicité des marques ? - Luxe et Web 2.0. Le luxe fait sa crise : bilan investissements et tendances pub 2012 « NICEPLANNEUR.

Dans un contexte économique difficile et incertain, le luxe tire son épingle du jeu et défie tous les pronostics. et plus performante que jamais qui se démarque encore une fois en 2011. Niceplanneur vous livre quelques du côté des investissements et du côté de la création publicitaire. En 2011, les investissements publicitaires de l’industrie du luxe sont en hausse de 10% par rapport à l’année précédente : une croissance plus forte que le marché global, à 5,2%. Après un léger ralentissement en 2009, le luxe repart en force dès 2010 (+25%) et continue sur sa lancée en 2011 (+8%).

Un élan qui ne devrait pas faiblir en 2012 selon les grands acteurs de l’industrie. En parallèle, la mode fait sa grande entrée dans le top 10 des secteurs en 2011, boostée notamment par les produits haut de gamme (lunetterie, bijouterie, horlogerie) alors qu’elle représente de son côté 70% de la croissance du luxe lui-même. Un retour aux fondamentaux qui s’illustre dans deux tendances clés: J'aime ceci: Le Figaro Magazine : Dans le luxe, la publicité, c'est tout un art.

Pour vendre leurs produits, Chanel, Dior, BMW, Tag Heuer et quelques autres investissent dans de spectaculaires courts- métrages au casting étourdissant. Enquête sur un phénomène qui envahit la télévision, le cinéma et internet. Steve McQueen est un mythe, tandis que Lewis Hamilton cherche à le devenir. Leur point commun ? Un film événement dans lequel ils discutent face à face, puis prennent place dans des bolides, avant de se lancer dans une course totalement inattendue.

Magie de l'intégration numérique... Certains hurleront de bonheur, d'autres crieront à l'hérésie. Paradoxalement, le tournage de cette prouesse technologique fut une partie de plaisir. Loin d'être un exemple isolé, cette superproduction publicitaire diffusée sur internet est (presque) devenue monnaie courante.

Marion Cotillard contre Audrey Tautou Depuis la fin avril, deux emblèmes du luxe français se livrent à une course effrénée. Annie Leibovitz a marché sur la lune. L’industrie du luxe et la mode : du temps des créateurs au temps des communicants (fin XIXe, fin XXe siècle) LVMH - PPR : le secteur du luxe. 3) Structure financière LVMH enregistre en 2004 une croissance de 11 % de son résultat opérationnel qui s’établit à 2 420 millions d'Euros pour un chiffre d'affaires de 12,6 milliards d'Euros.Tous les secteurs ont contribué à cette hausse remarquable du résultat (cf. tableaux ci-dessous) dans le contexte monétaire pourtant difficile de 2004. 1) Historique L'histoire de Pinault-Printemps-Redoute commence en 1963 avec la création par François Pinault du groupe Pinault, spécialisé dans le négoce de bois.

Quarante ans plus tard, grâce à une politique d'expansion basée sur les acquisitions et le développement interne, Pinault-Printemps-Redoute est devenu un des leaders de la distribution spécialisée en Europe. En 1999, le Groupe prend la décision stratégique d'investir dans le secteur du luxe en achetant 42% de Gucci Group. Cet investissement a conduit trois ans plus tard au désengagement progressif de la distribution professionnelle et des activités de crédit à la consommation. 2) Les marques. Publicités parfums.