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Technique

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Cet anarcho-primitiviste aimerait qu’on renonce définitivement à la technologie | VICE | France. « Quand je pense à Alan Turing, père de l'informatique moderne, je pense au logo Apple. Une pomme dans laquelle on a mordu. Je sais, elle représente la pomme sur laquelle il aurait versé du cyanure pour se suicider après avoir été persécuté des années durant pour son homosexualité. Mais une pomme croquée renvoie également au Jardin d'Eden – et à la Chute.

Ce n'est sans doute pas le message qu'ils espèrent envoyer avec ce logo. Mais il est là. » John Zerzan est vraisemblablement le plus grand philosophe primitiviste. Nous avons pourtant convenu de la date de notre entretien par mail, et l'entretien s’est lui-même déroulé sur Skype. VICE : Vous défendez l'idée selon laquelle il faudrait abandonner toute technologie et retourner à un mode de vie inspiré des chasseurs-cueilleurs. C'est la seule chose qui vous retient d'aller vivre dans la nature ? Vous avez déjà essayé d’y vivre ? Et quand vous y étiez, vous aviez l'impression de trouver ce qui vous manquait dans la vie d’aujourd’hui ? "La numérisation attaque la classe moyenne", prévient l'économiste Daniel Cohen. L'Usine digitale - Le numérique n’a jusqu’à présent pas dopé la croissance. Le progrès technique ne fonctionne plus ? Daniel Cohen - Il y a deux écoles qui se déchirent.

Pour les auteurs du "Deuxième Âge de la machine" [Erik Brynjolfsson et Andrew McAfee, ndlr], nous sommes au tout début d’une explosion, d’une révolution numérique qui va démultiplier notre capacité productive. En face, l’Américain Robert Gordon ne croit pas à la force du numérique. Pour lui, la seule nouveauté de ces dernières années, c’est le smartphone. Dans ce débat, je pense que les deux ont raison ! Va-t-on vers une société de chômage de masse ? Le problème n’est pas le chômage de masse, même si à court terme le chômage augmente, car la transition d’un type d’emploi à l’autre peut prendre du temps.

Vous dites que les classes moyennes sont les plus touchées… Cette numérisation attaque la classe moyenne, dont le pouvoir d’achat s’affaiblit. Est-ce qu’on peut demander à toute une société de vivre comme un artiste ? La butte, combine épatante du jardinier bio et paresseux. Elles demandent peu de travail, peu d’arrosage et surtout pas, bien sûr, de produits chimiques. Elles font gagner de la place et favorisent durablement à la fois la vie du sol et la fertilité des plantations. La culture sur buttes – on les appelle parfois buttes autofertiles ou buttes de permaculture – a tout pour plaire. Du coup, celles-ci pullulent depuis quelques mois dans tout ce que la France compte de jardins bio, fermes biodynamiques et autres havres permaculturels. Dessin d’une butte en « hugelkultur », avec du bois.

Année 1 - Mark/Flickr/CC Le principe est très simple. Remplir la butte Il faut respecter un équilibre entre ce qui est azoté (les matières humides comme les épluchures et herbes fraîches) et ce qui est carboné (bois ou carton). On couvre ensuite le tout avec la terre extraite puis on paille. Ces matières vont mettre quelques années à se décomposer si bien que la butte reste fertile sur une très longue durée. Paris-Californie-Paris La vidéo qui change tout. « Les gens nous disent : “On peut imprimer une maison.” Mais non » Ces bidouilleurs du numérique ambitionnent de changer le monde. Politiques et entreprises sentent la bonne affaire. Mais c’est un peu plus compliqué. Reportage. Un exposant à côté d’un robot présenté à la Maker Faire Paris, le 3 mai 2015 (Rémi Noyon/Rue89) A première vue, cela ressemble à un rassemblement hétéroclite d’artistes allumés ( « J’ai sculpté la voix d’Obama »), d’ingénieurs et de passionnés de robotique (« Les tendons, ce sont des ressorts d’essuie-glace ?

Il y a l’anecdotique – un bâtonnet équipé de capteurs qui permet de ne pas rater ses cocktails – et le plus sérieux – un concentrateur solaire pour produire de l’électricité. Dans les coins, des barbus jargonnent allègrement. Ce sont des « makers », des bidouilleurs du numérique. A la Maker Faire, à Paris, le 3 mai 2015 (Rémi Noyon/Rue89) Il paraît que se joue là une nouvelle révolution industrielle. . « Personnalisation de masse » Pierre-Emmanuel, derrière son stand, à la Maker Faire, le 3 mai 2015 (Rémi Noyon/Rue89) Hugo :

Agriculture & technique

What it feels like to be the last generation to remember life before the internet - Quartz. I’ve long believed that speed is the ultimate weapon in business. All else being equal, the fastest company in any market will win. Speed is a defining characteristic—if not the defining characteristic—of the leader in virtually every industry you look at. In tech, speed is seen primarily as an asset in product development. Hence the “move fast and break things” mentality, the commitment to minimum viable products and agile development. What they fail to grasp is that speed matters to the rest of the business too—not just product. I believe that speed, like exercise and eating healthy, can be habitual. Through a prolonged, proactive effort to develop these good habits, we can convert ourselves as founders, executives, and employees to be faster, more efficient company-building machines.

Speed, like exercise and eating healthy, can be habitual. This is how category killers are made. So let’s break this down. Making decisions General George Patton said that, and I definitely subscribe to it. Www.math-info.univ-paris5.fr/~latc/va/va.html. Thomas Ray et le programme Tierra : l'ambition créatrice. Jean-PhilippeRennard Informaticien C'est sur ces bases que certains affirment avoir créé de nouvelles formes de vie. Le plus célèbre d'entre eux — Thomas Ray — est à la base du programme Tierra présentant un univers virtuel. L'Ancêtre de Tierra est formé de trois gènes. Il exécute ici le 1er gène qui a pour fonction de mesurer la taille de l'individu. © Anti-Gravity Workshop Thomas Ray a même écrit un article intitulé « Comment j'ai créé la vie dans un univers virtuel » (Ray T.

On pourrait penser qu'il s'agit là de l'une de ces envolées lyriques que l'on rencontre parfois chez les théoriciens de l'informatique, mais Ray est d'abord un biologiste. L'univers virtuel de Tierra Ray a construit un programme (Tierra) qui représente un univers virtuel. Le parasitisme de Tierra : de nouveaux êtres vivants ?

Très rapidement, Ray a vu apparaître des « individus » autoréplicateurs d'un nouveau genre. Créer la vie : le mythe de la vie artificielle. En a-t-on donc terminé de la vie artificielle classique, celle qui cherchait à produire de la vie réelle in silico ? Au cours du « panel des pionniers », qui s’est tenu à la fin du troisième jour du colloque 2011, certains des vieux routiers de la vie artificielle ont répondu à un « questionnaire de Proust » de Hugues Bersini sur la nature et la définition de la vie artificielle. Formes de vie artificielle générées par ordinateur. © DR Ainsi, à la question « Qui selon vous incarne le mieux la vie artificielle ? », une très nette majorité a répondu : Chris Langton. Et ce, bien que l’homme ait disparu de la circulation et que ses théories n’aient pas été universellement adoptées.

Lors de cet hommage général, un des participants au colloque s’est levé pour rappeler que Langton n’était pas mort, et que selon ses sources, il serait même prêt à revenir dans le jeu. Tom Ray et le logiciel Tierra Vie artificielle du logiciel Tierra de Tom Ray. © DR Vie artificielle : quels résultats ? Liens sur la Vie Artificielle. Vie artificielle.

Effects of short-term W-CDMA mobile phon... [Bioelectromagnetics. 2009. Les anarcho-terroristes mexicains envoient des colis piégés à des scientifiques. Des agents de police surveillent l’Institut de technologie et d’études supérieures de Monterrey, au Mexique, après l’explosion d’un colis piégé en août 2011. De super nouvelles en direct des rues assiégées du Mexique : alors que le sang des corps mutilés semés par les cartels tache un peu l’ambiance, un groupe d’« anarchistes luddites » tente de faire exploser des scientifiques à travers tout le Mexique au nom d’une guerre contre la technologie. Le nom poétique de ces éco-anars est Individualités Tendant à la Sauvagerie (Individualidades Tendiendo a lo Salvaje ou ITS, en espagnol). C’est un autre de ces groupes toujours plus nombreux de terroristes politiques sévissant au Mexique.

Ils éprouvent une haine viscérale envers les nanotechnologies ; apparemment, ils souhaitent que le monde revienne à ses racines troglodytes et se montrent hostiles à tout nouveau développement dans ce domaine. Il a été rapporté que ITS avait déjà revendiqué d’autres attaques de nature explosive.

Transhumanisme

Rodney Brooks: Remaking Manufacturing With Robotics. Bio Rodney Brooks Dr. Rodney Brooks is a robotics entrepreneur and Founder, Chairman and CTO of Heartland Robotics, Inc. He is also a Founder, Board Member and former CTO (1991 - 2008) of iRobot Corp (Nasdaq: IRBT) and the Panasonic Professor of Robotics (on leave) at MIT. Dr. Brooks is the former Director (1997 - 2007) of the MIT Artificial Intelligence Laboratory and then the MIT Computer Science & Artificial Intelligence Laboratory (CSAIL). He received degrees in pure mathematics from the Flinders University of South Australia and a Ph.D. in Computer Science from Stanford University in 1981.

To download this program become a Front Row member. ZOOM IN: Learn more with related books and additional materials. Encyclopædia Britannica Article robotics Design, construction, and use of machines (robots) to perform tasks done traditionally by human beings. Robotics on britannica.com © 2010 Encyclopædia Britannica, Inc. Quand hackers et agriculteurs s'allient pour l'autonomie énergétique - Technologies rurales.

Ils désenclavent des territoires, frappés d’exclusion numérique. Ils développent des réseaux Internet autonomes en zone de montagne, installent des panneaux solaires organiques, ou permettent à des webradios locales d’émerger. Et peuvent même transformer des abreuvoirs abandonnés en jacuzzis écolos. Les « hackerspaces », espaces conviviaux de création d’outils technologiques, essaiment en milieu rural. Entretien avec Philippe Langlois, à l’origine du premier hackerspace français. Pouvez-vous définir ce que sont les hackerspaces ? Philippe Langlois : Un hackerspace est un lieu physique autonome qui rassemble des gens autour de projets qui ont trait à la technologie.

Les hackerspaces sont nés en Allemagne dans les années 1990 mais se sont véritablement développés en 2005. Quels sont les projets qui en émergent ? Il y a des projets portés sur l’autonomie énergétique, la cartographie participative, l’art numérique, mais aussi le recyclage local de plastique ou encore la dépollution.