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Soeurs du Carmel

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Histoire du scapulaire. État de la question Les études de Xiberto et Zimmerman sur la vision de Saint Simon Stock avaient suivi la voie descendante en prospectant à fond les auteurs et les sanctoraux des 15e et 16e siècles qui en traitaient. Leur recherche montra l’absence de documents plus primitifs : il restait un siècle de distance entre le fait lui-même et la première relation écrite que nous en ayons. Cette étude a procédé par voie ascendante en utilisant les documents législatifs qui sont de bons témoins de l’histoire. Nous partons de l’hypothèse de l’authenticité des descriptions que les sanctoraux nous ont laissées de la vision de Saint Simon Stock : la Vierge lui apparaît et lui remet le scapulaire comme nouvel habit de l’Ordre. Saint Simon Stock est alors général d’un ordre qui possède une règle et des constitutions, des chapitres généraux et un habit religieux qui ne comporte pas de scapulaire.

Les documents disponibles Deux conclusions s’imposent à partir de l’étude de ces documents : Catherine de Sienne. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vous lisez un « article de qualité ». Catarina Benincasa , plus connue sous le nom de Catherine de Sienne (née le 25 mars 1347 à Sienne, en Toscane, et morte le 29 avril 1380 à Rome), est une tertiaire dominicaine mystique, qui a exercé une grande influence sur l'Église catholique.

Elle est déclarée sainte et docteur de l'Église. Née à Sienne, elle y grandit et désire très tôt se consacrer à Dieu, contre la volonté de ses parents. Elle accompagne l'aumônier des dominicains auprès du pape à Avignon, en tant qu'ambassadrice de Florence, ville alors en guerre contre le pape. Le grand Schisme d'Occident conduit Catherine de Sienne à aller à Rome auprès du pape. Catherine de Sienne est l'une des figures marquantes du catholicisme médiéval, par la forte influence qu'elle a eue dans l'histoire de la papauté. Biographie[modifier | modifier le code] Contexte historique[modifier | modifier le code] Enfance[modifier | modifier le code] Vie de sainte Thérèse ; suivie des vingt-neuf premiers chapitres du Chemin de la perfection, écrits par elle-même. Accessiblité Une question ?

Espace personnel Recherche avancée Aucun mot recherché, veuillez saisir un terme. Fermer Accueil Consultation Vie de sainte Thérèse ; suivie des vingt-neuf premiers chapitres du ... Informations détaillées Notice complète Titre : Vie de sainte Thérèse ; suivie des vingt-neuf premiers chapitres du Chemin de la perfection, écrits par elle-même Éditeur : impr. de L. Date d'édition : 1816 Sujet : Thérèse d'Avila (sainte ; 1515-1582) Type : monographie imprimée Langue : Français Format : 339 p. ; in-12 Format : application/pdf Droits : domaine public Identifiant : ark:/12148/bpt6k62104329 Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-OO-602 Relation : Description : Comprend : Vingt-neuf premiers chapitres du Chemin de la perfection Provenance : bnf.fr Date de mise en ligne : 30/04/2012 Zoom Feuilleter en plein écran Affichage Page (Vue 7 / 352) Télécharger / Imprimer Téléchargement Auteur :

Table des matières du chemin de la perfection de Sainte Thérèse d'Avila. Thérèse d'Avila. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Sainte Thérèse d'Ávila (en religion : Teresa de Jesús, baptisée : Teresa Sánchez de Cepeda Dávila y Ahumada[2]), née le 28 mars 1515 à Gotarrendura (Vieille-Castille) et décédée la nuit du 4 au 15 octobre 1582[3] à Alba de Tormes (Espagne), est une religieuse carmélite espagnole et réformatrice de l'Ordre du Carmel au XVIe siècle. Profondément mystique elle laissa des écrits sur son expérience spirituelle qui la font considérer comme une figure majeure de la spiritualité chrétienne. Canonisée en 1622, elle fut la première femme reconnue, au xxe siècle, comme docteur de l'Église catholique. Liturgiquement sainte Thérèse d'Avila est commémorée le 15 octobre. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance[modifier | modifier le code] L'idéal pieux et l'exemple édifiant de la vie des saints et martyrs lui furent instillés dès son enfance par ses parents, le chevalier Alonso Sánchez de Cepeda et Beatriz d'Ávila y Ahumada.

Statue de Thérèse à Ávila. Mystique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La mystique ou le mysticisme est ce qui a trait aux mystères, aux choses cachées ou secrètes[1]. Le terme relève principalement du domaine religieux, et sert à qualifier ou à désigner des expériences spirituelles de l'ordre du contact ou de la communication avec une réalité transcendante non discernable par le sens commun. « Mystique » vient de l'adjectif grec μυστικός, (mustikos).

C'est un mot de la même famille que le verbe μυέω (muéô) qui signifie « initier ou enseigner, et que le nom μυστήριον (mustérion) qui a donné « mystère ». Bien qu'il remonte à l'Antiquité, le terme mystique n'est employé comme substantif, c'est-à-dire comme nom pour désigner « la mystique », que depuis le XVIIe siècle[2],[3]. Avant cela il n'existe que comme adjectif : est mystique ce qui relève de la connaissance du mystère ou d'un mystère. À partir des années 1920 a commencé à se poser la question de savoir si la mystique pouvait être athée[4]. Mysticisme. Il n'existe pas plus de définition uniforme du mysticisme que d'unanimité sur sa délimitation d'avec la philosophie, la théologie ou la spiritualité. Le terme est tiré de l'adjectif gréco-latin mysticus (caché, mystérieux), utilisé par les auteurs chrétiens du Moyen Age en relation avec l'ecclésiologie et la doctrine des sacrements (le "corps mystique" du Seigneur), l'exégèse biblique (le "sens mystique" ou anagogique de l'Ecriture) et la "théologie mystique" de Denys l'Aréopagite (vers 500).

A l'époque moderne, il a pris un sens plus large, étendu aux doctrines d'autres religions et milieux culturels et recouvrant, dans un contexte chrétien, tout ce qui tend à l'abolition de la distance entre l'homme et Dieu, l'importance accordée au moment subjectif de l'expérience personnelle de la divinité étant très variable (Christianisme). Auteur(e): Martina Wehrli-Johns / LA 1 - Le mysticisme médiéval apr. 1326). 2 - La mystique à l'époque moderne Références bibliographiques Bibliographie– C. Gnose. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. De façon très générale, la Gnose (du grec γνῶσις, gnôsis : connaissance) est un concept philosophico-religieux selon lequel le salut de l'âme (ou sa libération du monde matériel) passe par une connaissance (expérience ou révélation) directe de la divinité, et donc par une connaissance de soi[1].

Le mot Gnose a notamment été utilisé dans les premiers siècles de notre ère, de façon polémique, par des théologiens chrétiens (en particulier Irénée de Lyon dans sa Dénonciation et réfutation de la gnose au nom menteur (vers 180)) pour désigner certains mouvements du christianisme ancien dénoncés comme hérétiques. La découverte en 1945 des manuscrits de la Bibliothèque de Nag Hammadi a fourni des témoignages directs de ces mouvements, dont la vision et l'intérêt ont été renouvelés, et qu'on désigne aujourd'hui par « gnosticisme historique », ou simplement gnosticisme. Distinction Gnose-Gnosticisme[modifier | modifier le code] Saint Simon Stock. D’origine anglaise, il fut général de l’Ordre au moment de son implantation en Europe.

Il a laissé le souvenir d’un religieux profondément attaché à la Vierge Marie. On lui attribue une vision de la Vierge au cours de laquelle celle-ci lui serait apparue avec le scapulaire en lui disant : « Voici le privilège que je te donne, à toi et à tous les enfants du Carmel. Quiconque meurt revêtu de cet habit sera sauvé. » Il adressait souvent à la Vierge Marie cette prière qui est devenue la prière mariale par excellence de l’Ordre : Flos carmeli Vitis florigera Splendor caeli Virgo puerpera Singularis Mater mitis Sed viri nescia Carmelitis Esto propitia Stella Maris Fleur du CarmelVigne fleurieSplendeur du CielVierge fécondeUnique Douce MèreQui ne connus pas d’homme,Aux enfants du CarmelSois propiceÉtoile de la mer.

Scapulaire (vêtement) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Scapulaire de Notre Dame du Mont-Carmel ou Scapulaire Marron, porté par les laïcs Le terme scapulaire (du latin scapula, épaule) désigne aujourd'hui deux sacramentaux chrétiens : le scapulaire monastique et le scapulaire de dévotion, les deux étant appelés "scapulaires"[1],[2]. Le "scapulaire monastique" est apparu le premier, aux environs du VIIe siècle dans l'Ordre de Saint-Benoît[3]. Le tissu est un peu plus large que les vêtements, il est composé d'un grand morceau de tissu à l'avant et à l'arrière, joint sur ​​les épaules par deux bandes de tissu. Il peut varier en forme, en couleur, taille et style.

Les scapulaires monastiques ont pour origine les tabliers portés par les moines du Moyen Âge, et ont ensuite été étendus aux habits des membres d'organisations religieuses, ordres ou confréries. Le "scapulaire de dévotion" est un objet beaucoup plus petit, il a évolué à partir du scapulaire monastique. Chapelet et Scapulaire. L'exorcisme de Léon XIII. De Salve Regina. Exorcisme contre Satan et les Anges révoltés. Publié par Ordre de S. S. LÉON XIII Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Prière à saint Michel archange Très glorieux Prince des armées célestes, saint Michel archange, défendez-nous dans le combat, contre les principautés et les puissances, contre les chefs de ce monde de ténèbres, contre les esprits de malice répandus dans les airs (Eph. Exorcisme Au nom de Jésus-Christ, notre Dieu et Seigneur, avec l'intercession de l'Immaculée Vierge Marie, Mère de Dieu, de saint Michel archange, des saints Apôtres Pierre et Paul et de tous les saints (et appuyés sur l'autorité sacrée de notre ministère), nous entreprenons avec confiance de repousser les attaques et les ruses du démon.

Psaume 67 (on le récite debout) V. R. V. R. V. R. V. R. Oraison Des embûches du démon, délivrez-nous, Seigneur. Que vous accordiez à votre Eglise la sécurité et la liberté pour vous servir ; nous vous en supplions, exaucez-nous. Sacramental. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les sacramentaux[1] sont des signes sacrés de natures très diverse[2], dont le rite est défini par l’Église catholique, allant de la bénédiction d’objet, de personnes, exorcismes, processions, prières et célébrations. Ils sont considérés comme mineurs par rapport aux sept Sacrements et sont ordonnés à ces derniers, pour aider à profiter de leurs effets[3].

Le Catéchisme de l'Église Catholique affirme : « La sainte Mère Église a institué des sacramentaux, qui sont des signes sacrés par lesquels, selon une certaine imitation des sacrements, des effets surtout spirituels sont signifiés et sont obtenus par la prière de l'Église. Par eux, les hommes sont disposés à recevoir l'effet principal des sacrements, et les diverses circonstances de la vie sont sanctifiées »[4].

On distingue : Usages dans les Églises catholique, orthodoxe et anglicane[modifier | modifier le code] Protection contre le Démon[modifier | modifier le code]