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Commune de Paris

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Élections municipales du 26 mars 1871 à Paris. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Contexte[modifier | modifier le code] Après la journée du 18 mars et le retrait sur Versailles des autorités légales, c'est le Comité central de la Garde nationale qui détient le pouvoir de fait dans la capitale. Surpris de cette facile victoire et peu enclin à assumer les responsabilités politiques de la situation[1], le Comité central décide rapidement d'organiser de nouvelles élections municipales qu'il fixe au 22 mars.

Cette date doit être reportée d'abord au 23 puis au 26 mars en raison de deux évènements : d'une part, les efforts de conciliation entrepris par les maires d'arrondissement et les élus parisiens (dont Clemenceau, Millière, Tolain, Cournet, Lockroy, Malon) essayant d'éviter l'affrontement entre l'Assemblée nationale et la garde nationale.d'autre part, les manifestations les 21 et 22 mars du parti de l'ordre et de l'occupation de certaines mairies d'arrondissement par des bataillons bourgeois de la garde nationale. La Commune de Paris, 1871. L’union des femmes. Alors que les combats continuent autour d’Asnières, aujourd’hui des citoyennes ont crée l’Union de Femmes pour la défense de Paris et les soins aux blessés. Elles ont lancé un appel aux femmes de Paris, leur enjoignant de rejoindre l’Union pour aider à défendre la ville contre l’armée monarchiste.

De nombreuses femmes n’ont pas attendu la création de cette Union pour s’engager dans la Garde Nationale, comme cantinières, ambulancières ou soldats. De gauche à droite Marie Ferré, Louise Michel et Paule Minck, mairie du Xe ( google map ) On connait la situation de soumission à laquelle l’Empire réduisait les femmes. Elles n’ont pas le droit de vote et ne sont pas considérées comme des citoyennes. À Paris, nombreuses sont celles qui ont perdu un mari ou un compagnon dans les combats contre les prussiens, et maintenant contre les versaillais. Pendant le siège, ce sont elles que l’on voit faire la queue aux distributions de nourriture, qui est rationnée dans la ville.

Chansons historiques de France 213 : La Semaine sanglante, 1871. Chansons historiques de France 165 : Bonhomme ! vers 1880. The Siege and Commune of Paris - Master Title Index. INDEX DES MISES A JOUR. La Commune de Paris, révolution sans ... Paris Commune: Image Galleries. Paris Destroyed Individual buildings and city-wide photographs showing the extent of the destruction caused by two months of artillery bombardment, looting, and wide-spread to fire attacks. Civil War Photographs of soldiers and the barricades they built throughout the city of Paris, including photographs and paintings of the massacres to follow.

Political Caricatures Various political caricatures depicting the events or contemporary opinions on the Civil War. Significant Monuments Photographs of the Hotel de Ville (City Hall of Paris) both after and before its destruction (destroyed by bombardment and arson of the French army — it had served as the main office of the Paris Commune). Mémoires de Louise Michel/Appendice II. EXTRAIT DE L’Intransigeant DU 7 JANVIER 1882. La première accusée appelée est Louise Michel. La vaillante citoyenne est très calme. C’est de sa voix lente et d’une façon très précise qu’elle répond aux questions du président. — Vous êtes prévenue d’outrages aux agents, lui dit M. Puget. — Ce serait plutôt à nous de nous plaindre de brutalités et d’outrages, répond Louise Michel, car nous avons été très calmes.

Voici ce qui s’est passé et ce qui motive sans doute ma présence ici : En arrivant chez le commissaire de police, j’ai vu en bas plusieurs agents qui frappaient violemment un homme. M. le Président : Ce récit est en désaccord avec la déposition des témoins que nous allons entendre. Louise Michel : Ce que j’ai dit est la vérité. Le témoin appelé est un nommé Conar, gardien de la paix. Louise Michel : C’est faux ! L’agent persiste à affirmer la véracité de son récit. Louise Michel répète qu’elle a dit la vérité et qu’elle ne peut dire autre chose. Louise MICHEL: exemple de courage d’une femme au tribunal. Par M.B. «Puisqu’il semble que tout cœur qui bat pour la liberté n’a droit qu’à un peu de plomb, j’en réclame une part, moi ! [...] Si vous n’êtes pas des lâches, tuez-moi!»

Louise MICHEL à ses juges. De toutes les stations de métro parisien, une seule porte un nom de femme : Louise MICHEL, en la commune de Levallois-Perret, où l’écrivaine fut enterrée lors de funérailles qui ont rassemblé 120.000 personnes… J’ai été ébloui par la justesse de ses description du peuple canaque, lorsque je vivais à Nouméa. Rappelons que Louise MICHEL est avant tout une poète, en plus d’avoir été si populaire auprès du peuple, mais aussi par de noms illustres comme Georges Clemenceau ou Victor Hugo. SOUVENIRS DE CALÉDONIE (où elle fut déportée au bagne de 1873 à 1880, et aida les Canaques.) Ici l’hiver n’a pas de prise, Ici les bois sont toujours verts ; De l’Océan, la fraîche brise Souffle sur les mornes déserts, Et si profond est le silence Que l’insecte qui se balance Trouble seul le calme des airs.

Paris Commune: Image Galleries. Paris Destroyed Individual buildings and city-wide photographs showing the extent of the destruction caused by two months of artillery bombardment, looting, and wide-spread to fire attacks. Civil War Photographs of soldiers and the barricades they built throughout the city of Paris, including photographs and paintings of the massacres to follow. Political Caricatures Various political caricatures depicting the events or contemporary opinions on the Civil War. Significant Monuments Photographs of the Hotel de Ville (City Hall of Paris) both after and before its destruction (destroyed by bombardment and arson of the French army — it had served as the main office of the Paris Commune). Mémoires de Louise Michel.