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ProgQuebec

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The 70. Quelle époque. J'avais 15 ans, on se tenait en gang et on se faisaitune religion de découvrir tout ce qui se réalisait en musique progressive. C'était King Crimson,Pink Floyd, Gentle Giant, Genesis, Tangerine Dream, Emerson Lake and Palmer, Yes,et combien d'autres. Et en parallèle, sans qu'on s'en rende vraiment compte, étant tropjeunes encore, il y avait cette explosion d'artistes de chez nous qui se préparait. Les chansonniers des années 60 semblaient avoir atteint leur apogée.

Puis c'est Jean-Pierre Ferland qui risque le tout pour le tout: JAUNE. Et on se met à s'intéresser à Diane Dufresne, Jacques Michel, Offenbach, Octobre. Deux de mes frères partent sur une terre, quelque part en Estrie. Et on continue de tripper sur Maneige, Sloche, Morse Code. Et mes trois enfants, eux, quelle décennie les attend? Salut Michel, Je te félicite pour ton travail. Salutations à vous tous et toutes! Merci à Michel et tous les autres pour m'avoir fait connaître une musique sienvoûtante. En 1970 ? Gala Records. Jean-Christophe Laurence La Presse, Montréal 6 février 2010 Qu'ont en commun les magasins HMV, l'étiquette classique Deutsche Grammophon, le petit chien de RCA Victor et le quartier Saint-Henri à Montréal?

La réponse en un mot: Berliner. Il y a un début à tout, et l'industrie du disque ne fait pas exception. Or, bien peu savent que l'histoire de l'enregistrement sonore commence en partie ici, à Montréal, au tout début du XXe siècle.From Berliner to RCA Victor, une compilation très instructive lancée par l'étiquette Gala, raconte cette naissance «accidentelle» qui a changé le visage de la chanson québécoise. On peut dire, sans trop se tromper, que tout a commencé le 1er janvier 1900. Car c'est à cette date, très précisément, que l'inventeur allemand Emile Berliner lance les tout premiers disques «pressés» au Canada.

RCA, BMG, HMV Après un silence de 10 ans, Herbert recommence à enregistrer des artistes locaux en 1916, incluant la grande vedette de l'époque Hector Pellerin. Oubliés? A Guide to the Progressive Rock Genres. V2.0A shared resource of The Gibraltar Encyclopedia of Progressive Rock and Gnosis web sites by Mike McLatchey Considering the problems inherent in merely agreeing upon a definition of progressive rock, the task of identifying and describing its widely varied genres is a difficult and somewhat arbitrary exercise. It is the very nature of the music that ostensibly serves to move forward to leave behind the familiar and become something removed from its departure point. Thus, progressive rock, by definition, can be said to move beyond its origins. In like fashion, this guide intends to follow suit and accompany progressive rock as it moves forward without restriction.

However, progressive rock has now long grown past being an indicator of an artist's forward-moving musical direction and has become tied down to stylistic mannerisms, a fate antithetical to its central definition. Today, the definition of progressive rock often signifies less about research and more about recapitulation. Jean-Christophe Laurence: Sloche risen! | Music. Leurs souhaits ont été exaucés puisqu'on vient de relancer Stadaconé et J'un OEil, les deux albums de cette formation de rock progressif des années 70. Sloche n'a jamais connu un grand succès commercial. Vingt-cinq mille disques vendus, à tout casser - ce qui n'est déjà pas si mal. Mais il laisse un souvenir durable dans la mémoire de certains «tripeux» qui considéraient le groupe comme la réponse québécoise à Frank Zappa. Exagéré? Bien sûr, tout cela a un peu vieilli.

«On ne faisait pas de concessions, mais on n'était pas juste intellos. Ce n'était pas suffisant, hélas! Fait à noter, l'étiquette ProgQuébec s'est démenée comme un diable dans l'eau bénite pour parvenir à remettre la main sur les bandes originales. Espérons que l'opération n'aura pas été vaine et qu'elle ouvrira la porte à d'autres rééditions. THE ULTIMATE progressive rock of Quebec. Michel Rivard chantait : « En soixante-sept tout était beau / C’était l’année d’l’amour, c’était l’année d’l’Expo (...) »... Mais 1967, c’était aussi l’année de la parution du très surprenant Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band des Beatles, un disque enregistré non pas pour promouvoir la tournée suivante du groupe (les Beatles ont donné leur dernier concert le 29 août 1966, au Candlestick Park de San Francisco), mais pour permettre aux musiciens de lâcher la bride à leurs inspirations multiformes, le contexte, qui leur était pour le moins favorable, leur permettant les explorations musicales les plus folles.

Les jeunes musiciens de l’époque comprendront rapidement que l’on peut désormais créer une musique qui n’est pas forcément destinée au « top 40 » et que l’on peut faire du rock sans se priver d’utiliser d’autres genres musicaux. L’Infonie, c’est 1967 aussi, et c’est bien l’Expo qui en sera le déclencheur. Toujours en 1969, du côté de Valleyfield, le groupe Dionysos voit le jour.

Progressive Rock: Rare Records, Reissues, Other Selections - Series III - Volume 9. Category:canadian Progressive Rock Groups.