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Publicis Etude. Le tourisme des années 2020 - Etude. Etude créativité résultats - investissements créativité | L’ADN. Dans le cadre de l’Adobe MAX 2016, un événement dédié à la création, Adobe publie les résultats de State of Create, une étude internationale sur la créativité, révélant qu’investir dans la créativité offre des résultats tangibles… Revenus plus élevés, meilleure compétitivité accrue : les équipes d’Adobe souhaitent tirer la sonnette d’alarme auprès des entreprises qui n’investissent pas assez dans la créativité et le design. Réalisée à travers cinq pays (Etats-Unis, Royaume-Uni, Allemagne, France et Japon), l’étude revient sur l’importance accordée à l’investissement dans la créativité selon les pays.

Etre créatif : un avantage pour les principaux concernés, mais aussi pour l’économie et la collectivité 56% des Français reconnaissent que la créativité est profitable à l’économie. En France, 56% reconnaissent que la créativité est profitable à l’économie, et 62% à la collectivité. Mais seuls 40% des répondants se qualifient de créatifs, et 31% d’entre eux estiment pleinement leur potentiel… Etude : les usages des tablettes en France. Les allocataires de minima sociaux en 2010 - Etude. L’emploi des jeunes peu qualifiés en France - Etude. Etude mondiale sur les marques en quête de sens. Havas Media révèle dans son étude mondiale Meaningful Brands que seules 20 % des marques ont un impact positif notable sur notre sentiment de bien-être et de qualité de vie. Par ailleurs, pour la deuxième année consécutive, Havas Media a également constaté que la plupart des personnes resteraient indifférentes si 70 % des marques venaient à disparaître.

Une nouvelle preuve pour Havas Media que les approches actuellement adoptées pour développer et mesurer la valeur de la marque sont dépassées. Meaningful Brands* est un indice et un outil d’analyse mondial qui propose un nouveau cadre pour mesurer et développer la valeur de la marque dans l’environnement actuel. Ikea, Google, Nestlé, Danone, Leroy Merlin, Samsung, Microsoft, Sony, Unilever et Bimbo sont les 10 premières marques mondiales. Ikea, Google, Nestlé, Danone, Leroy Merlin, Samsung, Microsoft, Sony, Unilever et Bimbo sont les 10 premières marques mondiales. Gouvernements locaux et régionaux en Europe, structures et compétences - Etude.

Etude KPMG – tendances et perspectives du bâtiment – 2012 - Multimédia - Conjoncture. Les logements locatifs aidés de 1995 à 2009 et leurs occupants - Etude. Le fait métropolitain : entre réalité géographique et enjeux institutionnels, quelles perspectives de gouvernance ? - Etude. La définition de l'OCDE. En 2000, l’Organisation de Coopération et de Développement Economique (OCDE) a proposé une définition de l’innovation sociale en tant que « réponses nouvelles aux problèmes sociaux, qui améliorent le bien-être individuel et collectif ».

Mais il a fallu attendre 2011 pour que l’organisation issue du Plan Marshall fournisse une proposition de définition… du bien-être, via son « Better life index ». Critiquée pour son caractère trop individualiste, cette définition du bien-être fournit des pistes pour les champs d’action de l’innovation sociale. En l’an 2000, quarante après sa création par 18 pays d’Europe, alliés aux Etats-Unis et au Canada, l’OCDE a proposé une définition de l’ « innovation sociale » qui sans être « La » seule définition possible, est régulièrement citée dans les débats et dans les publications consacrés au sujet. Définition détaillée de l'innovation sociale par l’OCDE Analyse critique : de quel bien être parle-t-on ? 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. Pour l'opinion, un Etat protecteur et le respect mutuel sont les conditions indispensables à la cohésion sociale. Pour l'opinion, un Etat protecteur et le respect mutuel sont les conditions indispensables à la cohésion sociale For the French, welfare state and mutual respect guarantee social cohesion S.

Hoibian N° 243 - Septembre 2011 Thème(s) :Conditions de vie / Société > Valeurs / Croyances / Modes de vieConditions de vie / Société > Éducation / JeunesConditions de vie / Société > Habitat / LogementPolitiques sociales / Emploi > Chômage / Publics en difficulté / Dispositifs sociaux Résumé : La notion de « cohésion sociale » rencontre, depuis une vingtaine d’années, un écho grandissant dans les médias, le monde politique, associatif, professionnel ou institutionnel. Abstract : For the past twenty years social cohesion has been a successful concept among politicians, associations and media. Follow our Web flow in English 4 pages - 4.57 € Mots-clés : solidarité familiale - action sociale - solitude - protection sociale - conditions de vie - logement - inégalités commander | télécharger gratuitement retour.

Note d'analyse 247 - De nouvelles organisations du travail conciliant égalité femme/homme et performance des entreprises. Les aménagements horaires sont déterminants pour l’articulation de la vie professionnelle et de la vie privée. Aujourd’hui, ils se résument souvent au temps partiel, qui peut peser sur les trajectoires professionnelles de leurs bénéficiaires et perpétuer l’inégale répartition des tâches entre les femmes et les hommes.

Il convient de les repenser pour répondre aux mutations sociétales (implication croissante des pères, essor des couples bi-actifs et des familles monoparentales) et aux enjeux de transformation de l’organisation des entreprises. Des exemples étrangers attestent que des pratiques bénéfiques tant pour l’employeur que pour les salariés peuvent émerger : abandon de la référence temporelle traditionnelle du travail, annualisation des horaires, semaine compressée, partage de poste, planification des horaires atypiques, télétravail, etc. Le Centre d’analyse stratégique formule trois propositions : 1. 2. 3. Un peu d’anthropologie dans un monde de performance : de l’art de penser les sujets, pas les objets | Notre Lien Quotidien.

Les associations tirent les salaires de l’économie sociale vers le bas. Par Muriel Jaouën, le 13/05/2012 Si les disparités salariales sont moins fortes dans l’économie sociale que dans l’économie dominante, la moyenne des rémunérations y est également plus faible. L’économie sociale regroupe 2,3 millions de salariés en 2009, soit 10 % des emplois en France. Les associations représentent 1,8 million d’emplois, les coopératives bancaires, agroalimentaires et de commerce 300 000 salariés et les mutuelles d’assurance 120 000. Quant aux fondations, elles emploient 70 000 salariés. Dans une récente note (*), l’Insee montre que ces chiffres cachent des rapports de rémunération à double tranchant. 12,8 euros bruts de l’heure dans le monde associatifEn 2009, 10 % des salariés de l’économie sociale gagnent moins de 8,8 euros bruts de l’heure et 10 % gagnent plus de 24,2 euros. 69% de femmesAvec une moyenne annuelle de 26 300 euros, les rémunérations associatives sont inférieures à celles du privé.

Autre facteur en cause : la pratique du temps partiel. Analyse du modèle Scandinave « Le Minarchiste. Pour obtenir les données utilisées pour cet article:Scandinave_data Suite à mon article sur la Suède, certains lecteurs mon demandé d’analyser le modèle Scandinave plus en détails. Ces pays – qui sont la Suède, la Finlande, la Norvège et le Danemark – ont des taux d’imposition élevés, un filet social étendu et généreux, des taux de syndicalisation élevés, mais figurent tout de même parmi les plus riches du monde et on semble y trouver une superbe qualité de vie (santé, éducation, etc). La Scandinavie serait-elle un paradis gauchiste? Serait-ce la preuve que le socialisme-démocratique est un modèle viable? Je vous propose ici une plongée en profondeur dans le modèle Scandinave… Selon les données de la Banque Mondiale (2010), les pays Scandinaves sont très riches et se classent tous dans le top 20 en terme de PIB/capita (PPP). Libre entreprise Les pays Scandinaves embrassent le libre-échangisme.

Concernant la règlementation, les pays Scandinaves sont très libéraux. Marché du travail Défense. Les musées commencent enfin à comprendre Internet. Temps de lecture: 2 min Depuis plus d'une décennie, les musées du monde entier se demandent quelle stratégie adopter sur Internet. Des stratégies différentes ont émergé, laissant place à des sites plus ou moins interactifs ou contenant purement des informations pratiques, à des applications variées, à des partenariats avec Google...

«Alors qu’ils accroissent leur présence en ligne, les musées continuent de se demander ce qu’un espace virtuel peut apporter au public et quels sont les liens à tisser entre cet espace dématérialisé et l’espace physique représenté par l’institution elle-même», écrivait encore Jean-François Notebaert, maître de conférence en marketing, en 2011. Deux obstacles empêchent surtout les musées de mettre en ligne la richesse de leur collection.

Le coût de la numérisation, et surtout les mentalités. C'est ainsi que la plupart du temps, les musées proposent des vignettes d'une taille ridicule, comme ici sur le site du musée du Louvre: