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Environnement / constats

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Formulaire d'inscription Jeunes Reporters pour l'Environnement 2015-2016. Adobe-flash-player-18. Top 5 des sponsors les plus foutage de gueule de la COP 21. 1Engie, ex-GDF – SUEZ Pourquoi Engie soutient la COP21 ? A cause de son PDG, Gérard Mestrallet, dont le discours (ici dans le Figaro (link is external)) ressemble à celui d’un militant écologiste de la première heure : « C’est d’abord une question de conviction personnelle. Je ne fais pas partie des climato-sceptiques, et j’ai l’absolue certitude que le réchauffement de la planète peut conduire à une catastrophe et endommager durablement l’équilibre à la surface du globe. » Ce qu’on a oublié de vous dire : La multinationale entreprend actuellement une prospection massive de gaz de schiste dans six pays.

Or, si ce gaz est « propre » en soi, son extraction libère 30 pour cent de méthane en plus que l’extraction de gaz classique. Et ce composant chimique (CH4) est 34 à 86 fois plus polluant, en terme de rétention de chaleur, que le dioxyde de carbone. Score de greenwashing : 100 pourcent 2Renault-Nissan, l’accroc au pétrole Pourquoi Renault – Nissan soutient la COP21 ? Bon plan : Ces grands médias qui sous-traitent en Afrique. Une actualité peut faire bondir à plus d’un million, le nombre de visiteurs sur LeMonde.fr (link is external). Conséquence, des commentaires par milliers et autant de messages à valider afin d’éviter les dérapages racistes ou diffamatoires.

Une modération « impossible à gérer en interne, d’autant qu’il faut pouvoir faire face à de fortes variations liées à l’actualité », explique Isabelle André, PDG du Monde Interactif. Le groupe totalise aujourd’hui près de 100.000 commentaires chaque mois. Pour faire face à cet afflux de commentaires, les médias font appels à des prestataires de services spécialisés dans la « gestion de communauté ».

Sur ce secteur, trois entreprises se tirent la bourre : (link is external)Netino* (link is external), Concileo (link is external) et Atchik Services (link is external). Participatif Si les médias ne jurent plus que par le participatif, c’est que c’est souvent synonyme d’audiences en hausse. Intermédiaires Délocalisation Call center Economies (Ir)responsable. Chop My Money. Réfugiés climatiques : la Nouvelle-Zélande craint d'ouvrir une brèche. Son affaire aurait pu rester confinée dans un dossier du tribunal néo-zélandais de l’émigration, quand sa demande d’asile avait été rejetée en 2013.

Mais c’est avec un retentissement certain que Ioane Teitiota, père de famille de 36 ans, avait été propulsé sur la scène internationale en raison de l’argument avancé par son avocat : son client a besoin d’un visa car il vit une situation d’urgence climatique. L’homme mène un combat pour pouvoir rester en Nouvelle-Zélande, où il a déménagé en 2007 et où sont nés ses trois enfants. «Le problème avec la montée du niveau de la mer est réel et il affecte nos enfants […]. Il peut y avoir des inondations, nous pourrions nous noyer», expliquait l’épouse d’Ioane Teitiota lors du procès de 2013.

Cette montée des eaux menace directement l’archipel de Kiribati qui s’érode et s’enfonce petit à petit dans les eaux. Réfugié politique, réfugié climatique Au centre du débat judiciaire : l’utilisation du mot «réfugié» dans l’expression «réfugié climatique». Marla Spivak: Why bees are disappearing. Takepart. Sea-level rise is coming. Even if we keep global temperatures from rising more than 2 degrees Celsius above historic norms—the benchmark for avoiding catastrophic climate warming—we may still see oceans creep four feet farther inland by 2100 and rise 20 feet by as soon as 2200.

That’s according to a new study published in the July issue of Science. Researchers looked at three decades’ worth of data on ice-cap oxygen levels, then analyzed it to determine how varying amounts of CO2 in the modern-day atmosphere lined up with atmospheric CO2 and sea levels in the prehistoric past. CO2 levels were last at today’s concentration—roughly 400 parts per million and rising—about 120,000 years ago, according to the researchers. Back then, the average global temperature was around 1 to 2 degrees higher than it is now, and the sea level was about 20 feet higher.

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