background preloader

Infrastructure

Facebook Twitter

Corridor Abidjan-Lagos : 187,1 millions de dollars pour un tronçon au Togo. L’aménagement de 30 kilomètres de route en 2x2 voies au Togo, en allant vers la frontière avec Bénin, fera l'objet d'un co-financement de 187,1 millions de dollars, huit mois après le passage à Lomé d'une mission composée de représentants d'institutions internationales chargées d'en valider le principe. Petite avancée pour l’axe Abidjan-Lagos. La promesse d’un corridor de plus de 1 000 km a été formulée il y a presque deux décennies par la Côte d’Ivoire, le Ghana, le Togo, le Bénin et le Nigeria, sans être tenue jusqu’à présent. Finalement, le financement de l’aménagement du tronçon togolais a été bouclé a fait savoir la Banque africaine de développement (BAD) dans un communiqué le mardi 20 décembre.

Un programme de lutte contre l’érosion côtière – la mer n’étant qu’à 100 mètres au point le proche – a par la même occasion été validé. C’est le tronçon routier entre Avépozo et Aného qui doit bénéficier de ce programme. Les détails et délais du chantier ne sont pas précisés. Togo - Route Lomé – Cotonou : la BAD débloque 40,8 millions de dollars. Bordant la côte entre Lomé et la frontière avec le Bénin, le tronçon routier Avépozo - Aného (30 km) constitue un maillon menacé de l’axe qui relie les capitales togolaise et béninoise, et plus globalement du corridor routier Abidjan – Lagos. Par le présent projet, la Banque contribue à la fois à l’élargissement de la route, permettant d’absorber le trafic croissant de véhicules, et des mesures de protections côtières : l’aménagement de 28 épis rocheux le long de la côte et le rechargement en sable de la plage devraient permettre de ramener la vitesse de recul de la côte à 1 mètre par an, contre 15 à 20 mètres par an à l’heure actuelle.

Les côtes du Golfe de Guinée sont particulièrement touchées par l’’érosion marine, phénomène qui s’aggrave avec le changement climatique. Le grignotage des côtes combinées avec les inondations, constitue une menace croissante pour les populations et les infrastructures de ces zones littorales densément peuplées et économiquement dynamiques. Routes: Lomé-Vogan-Anfoin confiée à une entreprise chinoise - - Journal d\\\\\\\\\\\\\\\'information togolaise et panafricaine. Précedemment attribuée à CECO BTP depuis 3 ans, la route Lomé-Vogan-Anfoin passe finalement à la China Road and Bridge Corporation (CRBC) pour 30 milliards CFA. Business et politique à la togolaise : casser une entreprise togolaise qui a maille à partir avec le pouvoir et confier son chantier à une chinoise.

Voilà comment marchent les affaires au Togo, pays dit libéral ! Le 20 décembre dernier, le Premier ministre Selom Klassou a visité le chantier de la voie Lomé-Vogan-Anfoin pour constater l’avancement des travaux conduits par la CRBC. Routes: Coulez CECO Group ! Les Chinois ont repris pour 30 milliards de francs CFA un marché attribué à l’entreprise CECO Group, pour 26 milliards sur financement de la BOAD et de l’Etat du Togo. Depuis janvier 2014, les travaux n’ont connu aucun avancement et le marché a été retiré à la société togolaise CECO. Entre temps beaucoup d’eau a coulé sous le pont. Les raisons d’une telle faillite sont inconnues. Constantin Amouzou, le loup des BTP. Le Togo et le Burkina Faso lancent la réhabilitation de 303 km sur le corridor Lomé-Cinkassé-Ouagadougou.

© Afreepress (Lomé, le 23 octobre 2013)- Le premier ministre togolais, Arthème Séléagodji Ahoomey-Zunu et son homologue burkinabé, Beyon Luc Adolphe Tiao ont donné jeudi à Cinkassé (650 km au nord de Lomé), les premiers coups de pioche pour les travaux de réhabilitation et de renforcement de 303 kilomètres de voie en état de forte dégradation sur le corridor Lomé-Cinkassé-Ouagadougou long de 950 km, a appris l’Agence de presse Afreepress. D’un coût total de 102 milliards de francs CFA financés par la Banque africaine de développement (BAD), la Banque ouest africaine de développement (BOAD) et la Banque d’investissement et de développement de la CEDEAO, ces travaux vont prendre en compte 150 km côté togolais et 153 côté burkinabé.

S’ajoutent des travaux de construction de pistes et de péage. C’est la preuve, a-t-il ajouté, de la volonté des Chefs de l’Etat burkinabé et togolais d’intégrer les pays, de faciliter l’intégration des économies, d’aider les populations à se retrouver. Telli K. Infrastructures : des images qui parlent d’elles-mêmes. Méga financement pour le Port de Lomé.

La Société financière internationale (SFI, Groupe Banque mondiale), a annoncé la concrétisation d'un financement de 225 millions d'euros en faveur de « Lomé Container Terminal » (LCT). La SFI a mobilisé un consortium de bailleurs de fonds composé de la Banque africaine de développement (BAD), la DEG - Deutsche Investitions - und Entwicklungsgesellschaft mbH - allemande, de la FMO néerlandaise, du Fonds de l'OPEP pour le développement international (OFID) et de la PROPARCO française. La LCT utilisera ces fonds pour développer un nouveau terminal de transbordement de conteneurs dans le port de Lomé. C’est le projet d'investissement privé le plus important jamais réalisé au Togo ; il un jouera un rôle fondamental pour réduire les coûts et les obstacles aux échanges et stimuler l'intégration régionale.

En photo : Dammipi Noupokou, le ministre des Transports et Dr. Fu Yuning, président de China Merchants Group (CMHI), le 21 novembre 2012 à Hong Kong. Togo : un consortium de financement apporte 225 millions € au projet Lome Container Terminal. (Agence Ecofin) - IFC, un membre du groupe de la Banque mondiale, a annoncé aujourd'hui la concrétisation d'un financement de 225 millions € octroyé à la Lome Container Terminal SA (LCT), au Togo.

IFC est le principal organisateur du financement de la LCT, un financement mobilisé par un consortium de bailleurs de fonds composé de la Banque africaine de développement, la DEG allemande, la FMO néerlandaise, le Fonds de l'OPEP pour le développement international (OFID) et la Proparco française. Ce projet d'infrastructures majeur constitue le projet d'investissement privé le plus important jamais réalisé au Togo et jouera un rôle fondamental pour réduire les coûts et les obstacles aux échanges et stimuler l'intégration régionale. La LCT utilisera ces fonds pour développer un nouveau terminal de transbordement de conteneurs dans le port de Lomé. Le coût total du projet est estimé à 324 millions €. Les différentes étapes de la construction de terminal portuaire de Lomé Sur le même sujet.

Togo : Modification de la loi autorisant la construction d'un terminal à conteneurs au Port de Lomé. LOME (Xinhua) - La loi togolaise autorisant la construction pour près de 400 millions d'euros d'un terminal à conteneurs privé au Port de Lomé a été modifiée mardi afin de la conformer à des dispositions constitutionnelles et communautaires, a appris l'agence Xinhua. L'Assemblée nationale togolaise a recouru à cette modification en adoptant un projet de loi à cet effet qui accorde des avantages fiscaux et des droits de douanes. Cette modification rend la loi plus compatible avec les règles constitutionnelles et les règlements de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (Uemoa) en matière d'investissement. "Il reste au gouvernement de s'atteler pour la réalisation des autres conditions", a indiqué le ministre des Transports, Ninsao Gnofam. Il s'agira notamment de l'obtention de l'avis de la Cour constitutionnel pour sécuriser le dispositif et l'avis de la Commission de l'Uemoa qui conférera le caractère d'importance régional à ce projet de terminal à conteneur.

Housing/ Real Estate