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Ressources théoriques

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Activisme, action directe et techniques de lutte anarcho-syndica. Distributions de tracts La plus simple des techniques de propagande, une des moins coûteuse également lorsque l’accès à la photocopieuse est possible au travail par exemple. La distribution peut se faire dans la rue, dans les facs, à la sorties des usines… l’autre possibilité est de diffuser le tract dans les boîtes aux lettres des quartiers populaires, par exemple. Pour optimiser le taux de lecture, le contenu doit être concis, aéré et agrémenté d’éléments graphiques percutants: Le tract est plus facilement conservé et lu s’il contient un intérêt graphique : Texte au recto et montage photo ou caricature au verso.

Diffusion de fanzines et journaux indépendants - Radios - Distros La réalisation d'un fanzine, même si elle est intéressante et riche en contacts, est assez coûteuse par rapport au volume de diffusion, et forcément (largement) déficitaire. Ecrire aux médias - Créer des logiciels libres au code source accessible et donc gratuits, évolutifs et personnalisables Cybermanifestions 1. TOC29_dossiers_militants.pdf (Objet application/pdf)

Les ONG et l’alerte écologique - La vie des idées. La défense de l’environnement appartient à la catégorie de ces grandes causes mondialisées comme la lutte contre les discriminations ou la promotion des droits de l’homme. Ce qui se joue à Copenhague relève d’un agenda international qui réunit les représentants des gouvernements, les experts internationaux et les organisations non-gouvernementales (ONG). Le rôle de ces dernières en matière de protection de la planète est complexe ; toutefois, depuis l’origine, le cœur de leur action consiste à informer l’opinion publique et à diffuser l’idée que les enjeux environnementaux réclament des décisions d’urgence. Il s’agit pour elles d’alerter l’opinion, de souligner les paradoxes des politiques publiques internationales – notamment les écarts de conduite des États.

Au moment où commence la conférence de Copenhague, cet article se penche sur le dynamisme de la mobilisation écologiste qui, à force de persévérance, a réussi à imposer ses préoccupations sur les agendas internationaux. Dynamiter ou dynamiser la démocratie ? La plupart des démocraties des pays développés vivent une crise de confiance. Le renouveau passe-t-il par une redynamisation ou par un dynamitage du système ? Aujourd’hui, tout le monde ou presque se réclame de la démocratie. Pourtant, personne n’est d’accord sur ce qu’elle devrait être. Démocratie libérale ou radicale ? Démocratie participative ou représentative ? Démocratie locale ou centralisée ? Il existe aujourd’hui quantité d’analyses sur l’état de la démocratie et sur les moyens de la renouveler. Le triomphe de la démocratie à la fin du XXe siècle s’est accompagné d’une perte de confiance dans sa capacité à résoudre les crises du nouveau siècle, qu’elles soient économiques, sociales ou internationales.

Les diagnostics de crise L’historien Pierre Rosanvallon met l’accent sur le sentiment de « défiance » qu’éprouvent les citoyens à l’égard du pouvoir politique (3). Un néolibéralisme des règles Pour P. Controverses sur la participation démocratique L’avenir des démocraties 1. Action_directe.pdf (Objet application/pdf) Le « verdissement » de l'opinion publique. Si l'écologisme a fluctué au cours des trente dernières années, le consensus autour des questions environnementales est toujours solide. Seules les formes d'engagement et la sociologie des militants semblent s'être transformées. Une légende contemporaine attribue volontiers la paternité de l'écologisme au grand chef indien Seattle ; les historiens des idées, comme Luc Ferry, souvent moins bien intentionnés, en découvrent les prémices dans les procès médiévaux contre les animaux ou dans le régime hitlérien.

Ils font remonter l'écologisme loin dans le passé, aux romantiques, à Jean-Jacques Rousseau, et même à François d'Assise : en fait, ces reconstructions téléologiques ignorent la spécificité de cette pensée contemporaine qui naît à la fin des années 60. C'est en effet en 1962 que Rachel Carson, avec Le Printemps silencieux, sensibilise l'opinion publique américaine aux agressions chimiques. Ces Français qui voulaient faire la révolution aux Etats-Unis | La couverture du livre « Révolutionnaires du nouveau monde » de Michel Cordillot Luttes sociales, luttes écologiques : pourquoi ces luttes suivent-elles des voies si désespérément parallèles ? Le livre de l’historien Michel Cordillot, « Révolutionnaires du nouveau monde », ne répond pas plus à la question qu’il ne la pose. Mais l’actuel contexte américain, chargé en catastrophes industrielles, oblige à entrelarder sa lecture de questions annexes.

Cette extrapolation est très personnelle. Sinon, comment un ouvrage sous-titré « Une brève histoire du mouvement socialiste francophone aux Etats-Unis (1885-1922) » se trouverait-il chroniqué ici dans American Ecolo ? Le lien est ténu, mais pourtant solide. Il mêle émigration, intégration culturelle, immersion politique, constat écologique et social. Le mazout engluant le golfe du Mexique relègue déjà aux oubliettes la mort des onze employés de la plate-forme pétrolière.

Les immigrés d’hier sont devenus l’élite « [...] Ils avaient raison. Section de sociologie. Ressources thématiques fiches de lecture Le thème "Les conflits sociaux" a figuré au programme des agrégations de sciences économiques et sociales entre 2005 et 2007. Sous la responsabilité de Christine Détrez (ENS-LSH), les élèves préparant l'agrégation dans les ENS et les conférenciers invités ont contribué à l'élaboration d'un fonds documentaire sur cette question, composé de fiches de lectures, d'exposés, de cours...

Ce sont ces documents que vous pouvez désormais consulter en libre accès. Présentation et bibliographie officielles du thème d'agrégation "Les conflits sociaux" Fiches de lecture Attention : quelques unes des fiches de lecture recensées ci-dessous ne sont accessibles actuellement qu'en accès restreint, dans la mesure où les publications correspondantes figurent dans les bibliographies officielles des thèmes actuels du programme de l'agrégation. "Devenirs militants", dossier de la Revue française de science politique, février-avril 2001 Castel. Chazel F. Conflits_fiches_rfsp_2001.pdf (Objet application/pdf) L'écologisme : un volcan en sommeil ?

Bilan du Colloque 2006 de Lyon. Bilan du Colloque sur la désobéissance civile Les 17 et 18 mars 2006, s'est tenu le colloque sur la désobéissance civile à Lyon. Organisé par le MAN de Lyon et la Confédération Paysanne, ce colloque était soutenu par le journal Silence et Non-Violence XXI. Plus de 150 personnes y ont assisté, la salle était bien remplie avec un public d'horizon et d'âge variés. L'intervention de Anna Massina a porté sur son évolution de "bonne petite fille catholique" qui a appris à se taire et à obéir et qui est devenu animatrice des Faucheurs Volontaires au sein de la CANVA ; elle souhaite diffuser l'idée qu'il faut apprendre à désobéir.

Le débat a abordé la lutte en Palestine et les projets d'actions contre le nucléaire militaire. La journée de samedi a commencé par un savant exposé de Alain Réfalo, président du Centre de Ressources sur la Non-violence de Midi-Pyrénés sur les sources de la désobéissance civile d'Antigone à Henri David Thoreau en passant par La Béotie. Yvette BAILLY Avril 2006. Institut Pierre Renouvin – Centre de recherche en histoire des r. Désobéissance civile ou civique ? Depuis la publication de l’ouvrage de José Bové et Gilles Luneau Pour la désobéissance civique (La Découverte, 2004), le débat sur la traduction de l’expression anglaise civil disobedience et sur la meilleure façon de dénommer la désobéissance non-violente aux lois injustes a été relancé.

Ainsi, plusieurs articles récents parus dans Le Monde Diplomatique et dans Politis notamment, ont préféré utiliser l’expression « désobéissance civique » à celle de « désobéissance civile ». Toutes les traductions françaises de l’expression civil disobedience ont jusqu’à maintenant privilégié le terme de « désobéissance civile ». Dans les écrits de Thoreau, Gandhi et Martin Luther King, tout comme dans les ouvrages d’Hannah Arendt et de John Rawls, le lecteur français ne trouvera pas l’expression « désobéissance civique ».

La définition donnée par Gandhi qui insistait sur la civilité (la non-violence) de la désobéissance s’imposait et permettait de la différencier de la désobéissance « criminelle ». Éco-terrorisme ... ou quand les activistes écologistes devien. Cela fait longtemps que je voulais vous en parler, et à l’heure où des activites de Greenpeace sont en train de bloquer l’accès au chantier du nouveau réacteur EPR, à l’heure où la France se droitise et rigidifie, il est temps de lancer le sujet… Un article de Véronique Smée dans Novethic paru hier souligne les difficultés à avancer sur les problématiques de changement climatique en Europe à cause de certains états membres. En l’occurence, il s’agit ici du président tchèque Vaclav Klaus, « négationniste » proche des milieux conservateurs américains pour qui les écologistes sont “plus dangereux que le communisme”… Selon lui, “plus la société est riche, plus la qualité de l’environnement est grande » et “le communisme a été remplacé par la menace d’un environnementalisme ambitieux“.

Bien entendu, comme le souligne le Dr O’Connor, il faut bien différencier l’environnementalisme de l’éco-terrorisme. Mais comment ont-ils fait pour entretenir une telle confusion me diriez vous ? Les dérives violentes des mouvements de contestation éthiques. L'émergence de nouvelles formes de contestations sociétales La fin de la Guerre froide et le remplacement de l'idéologie par l'économie comme principal objet des rivalités internationales n'a pas mis fin, heureusement à l'existence de forts courants d'idées cherchant à remettre en cause l'évolution des sociétés développées.

Au contraire, l'apparente victoire de l'économique sur le politique a engendré, en réaction au règne du libéralisme et à la société de consommation et de la recherche du profit l'accompagnant, l'éclosion et le développement de multiples mouvements contestataires qui s'opposent de manière parfois violente à tout ou partie de l'évolution qu'est en train de connaître un monde sous direction américaine. Ces mouvements sont essentiellement nés dans les pays développés et en particulier aux Etats-Unis.

Greenpeace créé il y a plus de 30 ans, reste le mouvement le plus connu du grand public de part sa maîtrise des coups médiatiques. Les nouveaux outils de la contestation. Wiki: Non-violence. 09-10 | printemps-été 1993 - La violence politique dans les démo. Persée : Portail de revues en sciences humaines et sociales. La violence politique. L'expression « violence politique » nous oblige à nous intéresser au problème de la place occupée dans les systèmes politiques (qu’ils soient ou non démocratiques) par la force. Une telle question est particulièrement importante dans un Etat de Droit comme le nôtre, car pour le sens commun, la violence est souvent considérée comme quasi absente de nos systèmes politiques, elle en est même souvent l’antinomie. Les grandes études empiriques ou historiques, menées depuis ces trente dernières années (Chesnais, 1981 ; Hibbs, 1973 ; Tilly, 1986) retiennent pratiquement toujours comme critère de la violence politique, l’usage délibéré de la force pour blesser ou détruire physiquement (Gurr, 1970). 2.1.

L’approche de Gurr Gurr (2000) qui s’est fortement inspiré des travaux de Berkowitz (1962, 1969, 1989, 1993), avance l’idée d’une interdépendance entre la violence politique et la violence sociale. On trouve à l’origine de tout processus de violence politique la notion de frustration. 2.2. 3.1. 008878ar.pdf (Objet application/pdf) Désobéisseurs. 6. Jean-Marie Muller : «Prendre l’opinion à témoi. Des écolos dans le réseau. Ce n'est plus à démontrer, de par sa nature, l'Internet facilite les mobilisations en tous genres. Militantisme politique ou social, le Web est de tous les combats, et, plus particulièrement, des combats liés à l'environnement. Le rôle du Net dans les luttes écologiques, les 4es Entretiens scientifiques de Brest (1) ont tenté de le mettre en lumière le week-end dernier, avec le dossier Erika, premier vrai sujet d'étude sur ce thème.

«Le naufrage, ça a été la première expérience du genre. Les citoyens internautes se sont coordonnés, ont obtenu des informations et agi en ligne, analyse le sociomètre (statisticien en sociologie) Jean-Pierre Pagès, ils sont intervenus dans le débat public en amont des procédures officielles.» Pour lui, c'est carrément «une nouvelle forme de démocratie qui s'est mise en marche». Mobilisation. Visite. Action. . (1) science-ethique.enst-bretagne.fr (2) www.radiophare.net (3) www.greenpeace.fr (4) www.earth-first.org NOUALHAT Laure. Écologisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'écologisme, ou environnementalisme, est à la fois un courant de pensée (idéologie ou philosophie), un corpus de valeurs et de propositions incluant notamment celles du mouvement écologiste.

L'orientation de l'activité politique ou parapolitique vise au respect, à la protection, la préservation ou la restauration de l'environnement dans une forme très poussée. James Lovelock, père de la théorie Gaïa, est l'un des représentants les plus célèbres de cette doctrine. L'environnementalisme englobe plusieurs courants dont l'écologie profonde, le conservatisme, l'environnementalisme de la version réformiste à la version radicale, l'anarcho-écologisme, l'écoféminisme (alliant réflexion sur l'écologie et sur la structure sociale), l'écofascisme[précision nécessaire]… Écologie et écologisme[modifier | modifier le code] L'écologisme est étroitement lié à l'écologie et à l'histoire de l'écologie. Histoire[modifier | modifier le code]

Loin de la dépolitisation, la protestation emprunte de nouvelles. Londres de notre correspondant Les effectifs des grands partis sont en recul. L'engagement politique semble sur le déclin. La participation électorale ne cesse de baisser. Les sociétés modernes sont-elles en voie de dépolitisation ? Je ne pense pas du tout que ce soit le cas. Il y a eu un changement significatif dans les formes d'organisation et d'engagement politique. Nous constatons effectivement un déclin réel des grands partis, des associations locales, des clubs sportifs... Mais ces groupes, aussi nombreux soient-ils, ne se rapprochent-ils pas davantage des avant-gardes ou des sociétés secrètes du XIXe que des grands partis de masse du siècle dernier ? C'est vrai dans une certaine mesure. Vous dites que ces mouvements ne s'inscrivent pas toujours dans un axe droite-gauche. C'est cette complexité qui est difficile à appréhender.

A vous entendre, aucun de ces mouvements n'est en mesure de générer un véritable changement social. Certains de ces groupes sont tournés vers le passé. «La désobéissance vise à provoquer le débat public» Alors que s'ouvre devant la cour d'appel de Toulouse le procès de neuf élus et syndicalistes, dont le député Noël Mamère (Verts) et José Bové, «faucheurs volontaires d'OGM», Isabelle Sommier, maître de conférences en sciences politiques et directrice du Centre de recherches politiques de la Sorbonne (CNRS), analyse le phénomène dit de désobéissance civile.

Elle effectue ses recherches sur la violence en politique et sur les mouvements sociaux, dont les luttes animées par les altermondialistes. Comment est né le mouvement dont se revendiquent les «faucheurs volontaires d'OGM» ? La désobéissance civile est un mode d'action qui fait florès. Elle a été théorisée aux Etats-Unis au milieu du XIXe siècle par l'écrivain Henry David Thoreau qui protestait contre la guerre faite au Mexique et contre l'esclavage des Noirs en refusant de s'acquitter des impôts.

La désobéissance civile gagne-t-elle la société politique ? Sans doute. Quelle est selon vous l'efficacité des élus dans ce mouvement ? Germm03dupuis.pdf (Objet application/pdf) Etude sur la nature des mouvements écologistes... - La recherche.