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Liberal multiculturalism masks an old barbarism with a human face | Slavoj Zizek. The recent expulsion of Roma, or Gypsies, from France drew protests from all around Europe – from the liberal media but also from top politicians, and not only from those on the left. But the expulsions went ahead, and they are just the tip of a much larger iceberg of European politics. A month ago, a book by Thilo Sarrazin, a bank executive who was considered politically close to the Social Democrats, caused an uproar in Germany. Its thesis is that German nationhood is threatened because too many immigrants are allowed to maintain their cultural identity.

Although the book, titled Germany Does Away with Itself, was overwhelmingly condemned, its tremendous impact suggests that it touched a nerve. Incidents like these have to be seen against the background of a long-term rearrangement of the political space in western and eastern Europe. Recent electoral results in the west as well as in the east signal the gradual emergence of a different polarity.

A Lecture by Slavoj Zizek. Radio Open Source with Christopher Lydon. Discourse notebook. Bartleby, le préféré des philosophes. Recensé : Gisèle Berkman, L’effet Bartleby. Philosophes lecteurs. Paris, Hermann, 2011. 160 p., 22€. La nouvelle de Melville, Bartleby, the scrivener, a longtemps constitué un objet de fascination pour les philosophes, qui sont nombreux à l’avoir commentée.

Le propos de Gisèle Berkman n’est pas ici d’ajouter son interprétation personnelle, mais de montrer en quoi et pourquoi ce texte de l’un des plus grands écrivains américains du XIXe siècle a tant donné à penser aux philosophes du XXe, et particulièrement au courant que l’on peut approximativement situer en France entre 1960 et 1980.

L’histoire Commençons par faire brièvement retour sur la fable dont il s’agit. À partir de ce moment, la formule constitue la réponse de Bartleby à toute demande ou suggestion. Bartleby l’écrivain Le premier chapitre du livre de G. De la société des frères Le commentaire que G. De la fable de Melville à celle des philosophes Certaines interprétations convainquent plus que d’autres. Daniel Cohen : "rien ne nous garantit la paix et la prospérité" Dans votre nouveau livre "la Prospérité du vice. Une introduction (inquiète) à l'économie", vous embrassez 40 siècles d'histoire, durant lesquels se sont produits de nombreuses crises.

La crise que nous vivons actuellement, dans quelle catégorie la classez-vous ? C'est la première crise qui frappe un monde formé d'une unique civilisation. L'humanité tout entière est entrée dans la civilisation occidentale. Je ne crois pas, comme Huntington, que nous sommes dans une guerre des civilisations. La mondialisation est une occidentalisation. L'idée que l'occident se fait encore aujourd'hui de lui-même - Montesquieu et le doux commerce, Condorcet et l'éducation (la scolarisation est de fait un des aliments de la croissance et se produit partout), l'âge de la raison -, cette idée qu'on a conçue au XVIIIème siècle est géniale, mais elle ne s'est pas réalisée.

Pourquoi parlez-vous de prospérité du vice ? Trop blasé et trop envieux pour être heureux, tel est l'homme moderne ? Elisabeth Levy face à Peter Sloterdijk 1/3 - une vidéo News & Politics.