background preloader

Juin 2010

Facebook Twitter

Médias & Publicité : NKM lance le 2e volet du grand. 750 millions d'euros seront dévolus à la numérisation des contenus culturels, éducatifs ou scientifiques. Après les réseaux et les tuyaux, voici le temps des contenus et des services. Lundi, Nathalie Kosciusko-Morizet, la secrétaire d'État à l'Économie numérique, a donné le coup d'envoi du second volet de 2,5 milliards d'investissement promis dans le cadre du grand emprunt. En tout, ce ne sont pas moins de 4,5 milliards d'euros que l'État a promis de consacrer au développement du numérique, soit 15% de l'enveloppe totale. Neuf priorités L'État a donc défini neuf priorités d'investissement «aux champs d'action pour l'instant assez vastes. Cela s'explique par le fait que nous devons faire appel aux acteurs eux-mêmes pour compléter notre vision de leurs activités. En revanche, les autres secteurs aux contours parfois plus flous voient encore leur financement à l'étude. 60% de la croissance » NKM et Ricol dévoilent le plan numérique.

Acharnement du pouvoir : m thodes staliniennes - AgoraVox le m d. Quand les médias établis se réveilleront il sera trop tard - Tra. Les professionnels ont remarqués que le Huffington Post, qui vient de fêter son cinquième anniversaire, est sur le point de dépasser le site du New York Times en trafic et devrait bientôt le rattraper en revenus. C’est une excellente illustration de comment fonctionnent les technologies perturbatrices… Au mois de mars le trafic du HuffPo , comme ils disent les initiés, se situait en dessous de la barre des 13 M de visiteurs uniques alors que celui du New York Times était au dessus mais pas très loin. Les autres grands: Washington Post, Wall Street Journal et Los Angeles Times sont totalement largués.

Au niveau mondial en avril: le HuffPo avait 22 millions de visiteurs uniques, derrière CNN.com (43 millions) et AOL News (31 millions). Mais c’est la courbe qui compte. Il n’y a pas que le trafic. On sait, grâce aux travaux de Christensen que les technologies innovantes sont souvent, au départ, inférieures à celles qu’elles perturbent et qui les méprisent parce qu’elles sont moins bonnes.

Elysée, députés, ministres : la rigueur n'est pas pour eux. Les députés ont une belle retraite. «Un député touche, après 5 ans d’activité, la même retraite que le salarié du privé qui a travaillé 40 ans». L'association Sauvegarde Retraites a mis les pieds dans le plat, vendredi dernier. Il suffit d'un mandat à un député pour s'assurer 1 550 euros de retraite, 3 096 euros pour 2 mandats, 4 644 euros pour trois avec un maximum de 6 192 euros.

En moyenne, cette dernière s'élève à 2 700 euros mensuelles. «Ainsi un député qui a exercé deux mandats et qui prend sa retraite à 60 ans, avec une espérance de 20 ans touchera, au total, 743 000 euros de pension alors qu’il n’aura versé que137 160 euros de cotisation.» Ce régime est financé à 88% par des subventions de l'Etat. Pire, l'Elysée ne sait pas maîtriser son budget: les dépenses réelles ont dérapé de 2,6 millions d'euros l'enveloppe allouée. Le gouvernement fait le dos rond face au rebond du chômage - EMP. Sécurité sanitaire: les scientifiques refusent d'être manipulés. Conjoncture : Les dépenses publiques se sont envolée. D'après l'Insee, elles ont dérapé de 3 % l'an dernier, pour atteindre 56 % du PIB, un record absolu en France. Alors que se tient jeudi, à l'Élysée, la grande réunion sur les finances publiques, l'analyse des données du passé ne porte pas à l'optimisme.

Selon l'Insee, en 2009, les dépenses publiques totales - celles de l'État, de la Sécu et des collectivités locales réunies - ont augmenté de 3,8 % en valeur. Avec une inflation à 1 %, cela signifie que la hausse en volume a été… de 3 %. Résultat : les dépenses publiques ont représenté 56 % du PIB en 2009, un record pour la France, qui ne serait dépassé, au sein de l'OCDE, que par la Suède et le Danemark. Dans le programme de stabilité que Paris a envoyé en janvier à Bruxelles, les dépenses étaient censées se limiter à 55,6 % du PIB.

Pire, la France s'est engagée auprès de ses partenaires européens à ce que les dépenses publiques ne progressent pas de plus de 0,9 % en volume chaque année entre 2010 et 2013. Dépenses sociales, RSA.