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C4C 4 July Declaration – Licences for Europe: The Right to Read Must be the Right to Mine | C4C. Un être humain sur cinq utilise un réseau social. The PC's Death Might Also Mean the Web's Demise | Wired Business. Photo: Ariel Zambelich/WIRED The long, torturous death throes of the PC grew more excruciating than ever last year. Several research firms say PC shipments plunged a record 10 percent last year, the steepest drop ever. But, as smartphones and tablets take over our world, it’s not just laptops and desktops that could wind up on the pile of dead tech.

They may drag the web down with them. Keith Rabois thinks so, and he’s not alone. @semil nobody is going to be using the web soon.— Keith Rabois (@rabois) November 29, 2013 @Stammy the web is just the long tail of apps that you haven’t installed yet. cc @DavidSacks— Keith Rabois (@rabois) November 29, 2013 @mims @anveshreddyj twitter will be for content. The gist of the argument is this: as app-happy mobile devices become the primary way we compute, the good old browser becomes irrelevant.

In the WIRED cover story “The Web Is Dead,” former editor-in-chief Chris Anderson said much the same thing in August, 2010: What we lose is openness.

Edition

Dévoile les tendances IT 2014 : A quoi ressemblera l'Internet de demain? Va-t-on délocaliser aussi nos administrations ? La France, à l'instar de nombreux pays développés, a délocalisé pour des raisons économiques une partie importante de son industrie manufacturière. Pourrait-on imaginer qu'elle délocalise également ses administrations publiques, et ce jusqu'à certains services régaliens de l'Etat ? Cette hypothèse peut sembler à première vue complètement insensée. Et pourtant, aussi surprenante et inacceptable qu'elle puisse paraître, cette perspective n'a rien d'inimaginable. Elle pourrait même devenir réalité dans un avenir proche, pas celui d'une lointaine science fiction, mais celui même de la législature en cours. La situation de la France dans le numérique est paradoxale. Si la pénétration des nouveaux outils et usages comme ceux permis par les mobiles y est comparable à celle des régions développées du monde, le numérique suscite plus qu'ailleurs la peur et le rejet.

Les concepts de la société de l'information ont été principalement mis en oeuvre par les américains. Pourquoi ? The Guide to the Future of Medicine: 40 Trends Shaping the Future. A Magazine Is an iPad That Does Not Work.m4v. Découvrez Oscar, le personnage virtuel qui réagit à vos émotions. A LA UNE • Google, Facebook, Apple… Le pire des mondes. Company Builds a Face-Scanning Emotion Detector, Seeks Important Uses for It. Last year more than 1,000 people in four countries sat down and watched 115 television ads, such as one featuring anthropomorphized M&M candies boogying in a bar.

All the while, webcams pointed at their faces and streamed images of their expressions to a server in Waltham, Massachusetts. In Waltham, an algorithm developed by a startup company called Affectiva performed what is known as facial coding: it tracked the panelists’ raised eyebrows, furrowed brows, smirks, half-smirks, frowns, and smiles. (Watch a video of the technology in action below this story or here.) When this face data was later merged with real-world sales data, it turned out that the facial measurements could be used to predict with 75 percent accuracy whether sales of the advertised products would increase, decrease, or stay the same after the commercials aired.

By comparison, surveys of panelists’ feelings about the ads could predict the products’ sales with 70 percent accuracy. Neurocam wearable camera reads your brainwaves and records what interests you. The neurocam is the world's first wearable camera system that automatically records what interests you. It consists of a headset with a brain-wave sensor and connects to an iPhone. The system estimates whether you're interested in something from the brain-waves captured by the sensor, and uses the iPhone's camera to record the scenes that appear to interest you.

Just buy wearing the neurocam, the scenes you have shown an interest in are recorded automatically, and are added to an album which you can look through later. "Right now, the iPhone's camera is ready to record what's in my line of sight through a prism. The iPhone shows what the camera has captured, so it feels as if it's reading my mind. My brain-waves are analyzed by an iPhone app, which quantifies my level of interest on a scale from 0 to 100.

"We're using the iPhone so that analysis and capture can be done with one device. Questions de pharmacologie générale. Il n'y a pas de simple pharmakon. Parce que – lisant beaucoup Héraclite, Fink et pas mal d’autres penseurs de cette veine, y compris Nietzsche et donc Wittgenstein – je faisais l’hypothèse qu’absolument tout ce qui est humain serait jeu et qu’il y aurait des jeux faits pour « jouer le jeu du monde » – je reprends ici l’expression de Fink (1966) – en sortant de ce monde comme un « poisson volant ». Dans un livre, Passer à l’acte (2003), j’explique qu’Aristote pense que nous vivons dans un milieu tel que, comme le poisson dans l’eau, nous ne voyons pas ce milieu dans lequel nous vivons. Aristote dit qu’il y a quelque chose que le poisson ne verra jamais : l’eau dans laquelle il nage. Il ne peut la voir qu’en sortant de l’eau. Mais quand il sort de l’eau, il ne voit plus rien : il ne verra donc jamais l’eau.

Cette métaphore, cette parabole du « poisson volant », je l’ai faite parce que j’ai passé cinq ans en prison et que je suis ainsi sorti du « jeu du monde ». Aujourd’hui, cette question du jeu m’intéresse toujours. Le futur du travail dans l’entreprise (2/2) : … sans l’entreprise. Le numérique sape les fondements historiques de « l’entreprise ». Hors de celle-ci, point de travail ? L’entreprise n’a pourtant pas toujours existé en tant que telle ni dans sa forme actuelle, c’est une construction sociale… dont le numérique déstabilise les fondations. Car, aujourd’hui, les « nouvelles technologies » ne sont plus seulement des outils à son service, elles constituent aussi de nouveaux moyens de production, de mesure de la valeur et de rétribution.

Est-ce au point de déconnecter radicalement le travail de l’entité « entreprise » ? Avec le numérique, tout s’automatise progressivement, ou presque : les caissières de supermarché s’effacent, les ouvriers se font rares, les voitures sans conducteurs et articles écrits par des robots deviennent une réalité… Cette rapidité du progrès technologique nous conduit à repenser en profondeur les notions de « travail » et de « salaire »… Les machines prennent-elles le travail ?

Deux chiffres édifiants appuient cette vision : 2013/07/09 > BE Canada 424 > Les mathématiques appliquées sont partout ! MathématiquesLes mathématiques appliquées sont partout ! Les changements climatiques, les épidémies de virus, la gestion des ressources naturelles et le développement urbain ont quelque chose en commun : ces défis auxquels la planète fait face pourraient bien être relevés grâce aux... mathématiques ! En effet, depuis mars 2013, sous l'égide de l'UNESCO, des mathématiciens de plus de 150 organisations scientifiques collaborent au programme mondial Mathématiques de la planète Terre 2013 (MPT) pour intensifier les efforts de recherche sur les enjeux fondamentaux concernant la planète, soutenir des hypothèses à l'aide de données et de méthodes statistiques, et sensibiliser le public aux services que peuvent rendre les mathématiques. Cette initiative a vu le jour au Québec, dans les locaux du Centre de recherches mathématiques (CRM) qui se trouvent à l'Université de Montréal.

Codes secrets Calculs pratiques L'élan des modèles. D’autres outils et règles pour mieux contrôler les données. Nous le disions dernièrement : l’avenir est à une autre innovation, une innovation proposant une utilisation plus respectueuse de nos données. C’est également l’avis de Sandy Pentland et de ses collègues du MIT qui travaillent à proposer protocoles et outils pour permettre aux utilisateurs de mieux contrôler leurs données personnelles. L’année dernière pour la revue The Edge, Sandy Pentland, directeur du Laboratoire des dynamiques humaines du MIT qui réfléchit à comment la société peut bénéficier des Big Data, expliquait comment réinventer la société à l’heure des Big Data.

Image : Sandy Pentland, via The Edge. « La puissance du Big Data, c’est de reposer sur les informations de comportement des gens plutôt que de reposer sur de l’information sur leurs convictions », estime Pentland. La compréhension des systèmes homme-machine est ce qui va rendre nos systèmes sociaux futurs stables et sûrs, assure Pentland. Comprendre le monde La question de la propriété des données Et concrètement ? Internet, ses bienfaits pour vous ! Protéger son identité sur Internet : pourquoi et comment ? Qui a besoin de protéger son identité et ses données sur Internet ?

Sébastien Gambs : Les journalistes d’investigation, les professions médicales et juridiques, les activistes... sont des exemples courants. Cependant, il n’y a pas que les professionnels ou les entreprises à être concernés. Sur Internet, le grand public peut vouloir se mettre à l’abri des exploitations commerciales ou frauduleuses de ses données personnelles et de son identité. Peut-on cacher facilement son identité sur Internet ? C’est difficile parce qu’on peut profiler un internaute de multiples façons.

Ces méthodes d’identification ne requièrent pas de connaître directement l’identité de l’internaute mais permettent de pister ce navigateur particulier, et donc la personne derrière ce navigateur. Pour mieux protéger son identité, que faut-il faire ? Autant que possible, il ne faut pas dévoiler sa véritable identité - ce qui revient à porter un masque. Que peut-on attendre de l’initiative « do not track » ? Faut-il se laisser convaincre par George Soros, le libéral qui ne croyait plus a. Atlantico : Dans une interview accordée à l'Institute for New Economic Thinking (voir ici), le financier et milliardaire George Soros a déclaré que le "paradigme dominant de la théorie du choix rationnel et du marché efficient a conduit [l'économie] à la faillite, [une faillite] très similaire à celle du système financier mondial après Lehman Brothers".

Presque cinq après la faillite la banque d'affaire américaine le 15 septembre 2008, George Soros a-t-il raison de dire que le dogme de l'efficience des marchés a failli ? Joseph Leddet : Dans la théorie économique classique, les marchés financiers sont réputés être "efficients", avec des prix cotés résultant de "choix rationnels" ; en d'autres termes, selon cette théorie, le marché "a toujours raison", ses prix intègrent toutes les informations utiles sur les valeurs à coter (actions, obligations, métaux précieux, produits dérivés ...), et il est impossible à un quelconque opérateur de gagner contre le marché.

Comment Internet (et les smartphones) a changé notre degré d'attention. Atlantico : Une étude de Business Insider révèle que 88% des téléspectateurs américains utiliseraient leur smartphone tout en regardant la télévision. Les technologies de plus en plus intrusives nous ont-elles transformés en des êtres multitâches incapables de faire une seule chose à la fois ? Quelles peuvent être les conséquences d’une telle évolution ? Jeremy Bodon : Le multi écran est en effet une pratique croissante qui vient s’ajouter à celle déjà bien répandue qu’est le multitâche, et qui consiste à faire des allers-retours entre sa boîte mail et son navigateur web, ou à chatter tout en consultant des informations sur Internet. Au XVIIe siècle, Pascal disait « que tout le malheur des hommes vient d’une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos dans une chambre. » Or aujourd’hui avec la banalisation de ces nouveaux médias, les individus sont perpétuellement affairés et distraits.

Quels sont les processus cognitifs en œuvre dans ce phénomène ? Internet > comportements irrationnels. Sciences Humaines et SocialesLes outils d'information modernes favoriseraient les comportements irrationnels Les outils internet et les médias sociaux sont des sources d'information clés lorsqu'il s'agit de prendre une décision en tant que citoyen ou même consommateur. Cependant, ces technologies peuvent parfois nous induire en erreur en faussant les faits, nous faisant ainsi agir contre nos propres intérêts. On peut prendre comme exemple le fait d'acheter une propriété à un prix trop élevé simplement parce que l'on nous pousse à croire que c'est ce que tout le monde est en train de faire. Une nouvelle étude, réalisée par des chercheurs de l'université de Copenhague et publiée dans le journal Metaphilosophy permet d'éclaircir ce phénomène en analysant notamment plusieurs procédés de diffusion de l'information fortement affectés par les technologies modernes.