background preloader

Société-civile

Facebook Twitter

Sécurité : de l'art de façonner l'opinion publique. LES THÉORIES CONTEMPORAINES DE L'OPINION PUBLIQUE :UN RETOUR AUX « CLASSIQUES » Entre société civile et société poli. Plaidoyer pour les conseils de développement. Communiqué de l'ADELS et de l'UNADEL relatif au projet de loi de réforme des collectivités territoriales. Alors que le projet de loi de réforme des collectivités territoriales sera bientôt examiné par nos parlementaires, l'Association pour la Démocratie et l'Education Locale et Sociale (ADELS) et l'Union Nationale des Acteurs et des Structures de Développement Local (UNADEL) attirent l'attention des pouvoirs publics sur les implications de la suppression des pays et, de ce fait, des conseils de développement qui les accompagnent.

Au-delà des autres dispositions de ce texte, les mouvements nationaux qui oeuvrent pour une démocratie de proximité expriment leurs inquiétudes devant la fin programmée de la seule instance rendue obligatoire par la loi pour associer les habitants et les forces vives des territoires de projet à la définition de leur avenir. Preuve de leur pertinence et de leur modernité, les conseils de développement ont su évoluer rapidement au regard des enjeux de la société. L’espace public et la formation du peuple - La vie des idées. Le passage de la multiplicité des intérêts à l’unité de la volonté générale est l’un des grands enjeux de la théorie démocratique. Comment un peuple peut-il naître de la multitude ?

Un ouvrage collectif se penche sur le rôle de l’espace public comme lieu de dépassement des volontés particulières. Crédit photo (cc) : smif Recensé : Isabelle Koch, Norbert Lenoir (dir.), Démocratie et espace public : quel pouvoir pour le peuple ? , suivi d’une traduction inédite d’un texte de Carl Schmitt, La Tyrannie des valeurs, Hildesheim, Zürich, New York, Georg Olms Verlag, 2008, 268 p., 44,80 €. Au confluent de l’histoire des idées et de la théorie politique, le volume édité par Isabelle Koch et Norbert Lenoir, Démocratie et espace public : quel pouvoir pour le peuple ? S’il n’est pas toujours aisé d’identifier un dénominateur commun ou un fil conducteur à l’ensemble de ces contributions, une thématique court au long du livre, sur laquelle il vaut la peine de s’attarder. Le projet allemand de « Société Civile » - Bilan et perspectives.

Introduction La campagne allemande pour les élections législatives du 27 septembre prochain reflète la récente appropriation, par les partis politiques, d’un concept né dix ans auparavant. Particulièrement développée et médiatisée lors de la dernière législature, la « politique d’engagement » s’est désormais constituée en champ politique à part entière. S’il on observe une certaine unanimité autour de la politique d’ « engagement citoyen » dans les argumentaires de campagne des divers partis politiques allemands, celle-ci concerne principalement sa composante la plus consensuelle, c’est-à-dire la politique de soutient au bénévolat.

Pourtant, le concept d’Engagement à l’origine de cette politique, est hautement plus ambitieux et implique un changement radical du paradigme sociopolitique institutionnel allemand. 1/ Société civile et Engagement Citoyen L’Etat, le secteur économique et… la société civile [1] L’idée d’Engagement Citoyen 3/ Bilan et perspectives. Redonner des racines à la démocratie. La démocratie comme levier. Dans «Jalons vers un monde possible» (éditions Le bord de l'eau, avril 2010), Thomas Coutrot réhabilite d'une certaine façon une thèse du théoricien socialiste Bernstein (1850-1932): «Le but, quel qu'il soit, n'est rien pour moi, le mouvement est tout.» Le mouvement consistait, pour Bernstein, à subvertir le capitalisme par des voies démocratiques et pacifiques. Mais dans cette perspective, la grande question que soulève Thomas Coutrot est celle des formes et du potentiel de la démocratie, car manifestement il n'attend pas grand-chose d'une démocratie représentative en partie confisquée.

Pour cela, ses sources d'inspiration ne sont pas d'abord celles de l'économie, fut-elle hétérodoxe, mais plutôt Cornelius Castoriadis, Axel Honneth, Polanyi, des psychologues français du travail, mais aussi le sociologue américain Erik Olin Wright ou le sociologue britannique John Kelly pour sa très intéressante théorie de la «mobilisation». Une vraie bouffée d'oxygène intellectuel!

LES SONDAGES DOPINION Outils de mesure à utiliser avec précaution ?