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Le logiciel libre et le mythe de la méritocratie. En janvier 2008, Bruce Byfield écrivait, dans un article que nous avions traduit ici-même (Ce qui caractérise les utilisateurs de logiciels libres) : « La communauté du Libre peut se targuer d’être une méritocratie où le statut est le résultat d’accomplissements et de contributions ».

Le logiciel libre et le mythe de la méritocratie

Deux ans plus tard, le même nous propose de sonder plus avant la véracité d’une telle assertion, qui ne va finalement peut-être pas de soi et relève parfois plus du mythe savamment auto-entretenu. Et de poser en guise de conclusion quelques pertinentes questions qui si elles trouvaient réponse participeraient effectivement à combler l’écart constaté entre la théorie et la pratique. Nos propres discours n’en auraient alors que plus de consistance et de maturité[1] Les projets open source et le mythe de la méritocratie Open Source Projects and the Meritocracy Myth Bruce Byfield - 2 décembre 2009 - Datamation(Traduction Framalang : Olivier et Cheval boiteux) « Ce n’est pas une démocratie, c’est une méritocratie. »

Fracture et solidarité numériques, par Jean-Pierre Archambault - Rien de tel pour aborder la rentrée scolaire qu’un excellent article de synthèse de notre ami Jean-Pierre Archambault qui réunit ici deux de ses sujets favoris : le logiciel libre et la place de l’informatique à l’école.

Fracture et solidarité numériques, par Jean-Pierre Archambault -

Il est intéressant de noter que l’auteur a associé dans le titre les termes « fracture » et « solidarité », sachant bien que le logiciel, les contenus et les formats libres et ouverts apportent non seulement une réponse au premier mais développent et favorisent le second[1] Un article un peu long pour un format blog mais qui vaut le coup ! Pour vous donner un ordre d’idée il correspond à deux cents messages Twitter que l’on parcourerait en enfilade ;-) Fracture et solidarité numériques URL d’origine du document Jean-Pierre Archambault - septembre 2009 - Association EPILicence Creative Commons By-Nd Le thème de la fracture numérique est solidement installé dans le paysage des débats sociétaux. Le numérique partout La fracture numérique Un problème d’accès . . . Et Curriki[16]. Framapack - L'installeur de logiciels libres. L'avenir libre de Bernard Stiegler ou gratuit de Jacques Attali.

Un titre un peu caricatural pour un billet qui met simplement en parallèle deux récentes et intéressantes interviews vidéos, la première de Jacques Attali, la seconde de Bernard Stiegler.

L'avenir libre de Bernard Stiegler ou gratuit de Jacques Attali

Choisis ton camp camarade ? Pas vraiment, parce que les deux intellectuels n’abordent pas exactement le même sujet, bien qu’il soit à chaque fois question de l’avenir de nos sociétés (on remarquera qu’ils citent tous deux Wikipédia mais pas avec le même dessein). Jacques Attali La gratuité - Dans le cade de l’émission Conversation d’avenirs sur Public Sénat22 décembre 2009 - URL d’origine de la vidéo Bernard Stiegler. Economie Sociale et Logiciels Libres : le temps de l’alliance.

Auteur : Bastien Sibille bastien.sibille@gmail.com Ce texte a été écrit pour appeler à la convergence des mouvements du libre et de l'économie sociale.

Economie Sociale et Logiciels Libres : le temps de l’alliance

Il a bénéficié de nombreuses remarques de plusieurs listes de discussions sur lesquelles il a été lu, et notamment la liste du groupe de travail de l'April « LibreAssociation », dont beaucoup des thèmes de travail recoupent les arguments qui y sont développés. Ce texte est sous licence Creative Commons (CC BY ND). Deux mondes co-existent qui dressent des remparts contre la tentation hégémonique du capitalisme : l’un est ancien et puise ses racines dans le XIXe siècle industriel – le monde de l’économie sociale (coopératives, mutuelles, associations…) ; l’autre est plus jeune et tisse ses réseaux dans le XXIe siècle informatique – le monde du logiciel libre.

Raisons de l’alliance Depuis une vingtaine d'années des communautés d'informaticiens, puis des entreprises informatiques, ont développé ce qu'on appelle des « logiciels libres ». Du Web Libre. S'il est important aujourd'hui de s'intéresser au Web, c'est que de simple outil à usage essentiellement de loisir, il est en passe de devenir une véritable plate-forme qui va probablement prendre une place conséquente dans la vie d'un portion croissante de la population.

Du Web Libre

Le Web comme une plate-forme ? C'est un mantra que l'on entend souvent et qui désigne la prochaine étape du flux et du reflux entre le terminal et les serveurs. Du temps de nos grands-parent, dans les années 70, les terminaux étaient passifs, de simples Minitels connectés à des serveurs qui stockaient les données et les traitaient. Nos parents ont connu l'avènement du PC dans les années 80/90: le terminal devenait un ordinateur à part entière sur lequel s'exécutaient des applications et où on rangeait nos données.

Aujourd'hui on assiste à un reflux : les données et les applications sont en train de repartir sur le réseau.