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Libéralisme

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Ce que le libéralisme promet - 29. Le libéralisme institutionnel dans la France du XVIIIe siècle. Le libéralisme institutionnel dans la France du XVIIIe siècle [mardi 28 septembre 2010 - 09:00] Histoire du Droit Grande robe et liberté.

Le libéralisme institutionnel dans la France du XVIIIe siècle

La magistrature ancienne et les anciennes institutions libérales Éditeur : Presses universitaires de France (PUF) 375 pages L’archéologie des doctrines politiques et juridiques contemporaines conduit au constat suivant : ces doctrines n’apparaissent jamais primitivement dans la forme que nous leur connaissons actuellement. On ne manquera pas de préciser que l’auteur adopte une démarche tendant à considérer – à la suite de Lucien Jaume – que le libéralisme n’est pas un bloc monolithique, mais qu’il existe plusieurs libéralismes. Le libéralisme, une philosophie sociale - Arnault Skornicki, article Philosophie. Le libéralisme, apologie du laisser-faire et individualisme débridé ?

Le libéralisme, une philosophie sociale - Arnault Skornicki, article Philosophie

Loin de se réduire à ces slogans, il s’agit d’une tradition morale et politique vieille de trois siècles, aussi plurielle que contrastée, aussi riche que contestée, mais soudée par quelques idées-forces. Depuis la dernière crise économique mondiale, il semble qu’un nouveau spectre hante le monde : celui du libéralisme. Ce n’est cependant pas la première turbulence que ce dernier traverse au cours de sa longue histoire, et il n’est pas dit qu’il ne puisse à nouveau survivre à celle-ci. Cette capacité de rebond n’est pas sans rapport avec la richesse et la fertilité d’un courant de pensée qui ne peut guère se réduire à une apologie du libre marché ou une défense sans condition des droits imprescriptibles d’individus atomisés.

Revenons préalablement sur quelques idées reçues tirées de la vulgate (aussi bien libérale qu’antilibérale). Quelques idées reçues Arnault Skornicki. Face à la pluralité culturelle : le libéralisme en question - No. Face à la pluralité culturelle : le libéralisme en question [lundi 28 septembre 2009 - 05:00] Philosophie Le Multiculturalisme Éditeur : Presses universitaires de France (PUF) Vers la république des différences Éditeur : Presses universitaires du Mirail (PUM) Ces deux ouvrages ont en commun d’examiner la capacité du libéralisme politique à apporter des réponses à la prise en compte du pluralisme culturel dans nos sociétés démocratiques.

Face à la pluralité culturelle : le libéralisme en question - No

On ne peut rêver meilleur guide que Patrick Savidan pour une estimation précise de ce qu’induit, pour les fondements de l’État démocratique, le modèle multiculturaliste d’intégration. Un ou plusieurs libéralismes ? - La vie des idées. Recensé : Catherine Audard, Qu’est-ce que le libéralisme ?

Un ou plusieurs libéralismes ? - La vie des idées

, Paris, Gallimard, coll. « Folio Essais », 2009. 844 p., 9, 70 €. Le libéralisme a mauvaise presse en France. Le libéralisme : une promesse - Nonfiction.fr le portail des liv. Le libéralisme en question - Nonfiction.fr le portail des livres. Le libéralisme en question [mercredi 21 octobre 2009 - 09:00] Philosophie Le Sens du politique.

Le libéralisme en question - Nonfiction.fr le portail des livres

Essai sur l'humanisme démocratique Éditeur : Mardaga D’une lecture aisée, avec un réel souci didactique, l’ouvrage de Laurent de Briey manifeste une vraie profondeur. Sur la question de la compatibilité du libéralisme et de l’attachement communautaire, on ne peut que remarquer l’absence de référence aux réflexions de Ronald Dworkin. Au-delà du libéralisme et du républicanisme, la démocratie délib. VIII. John Rawls, Une théorie politique de la justice. La philosophie américaine des dernières décennies a donné un nouvel essor à la réflexion morale et politique.

VIII. John Rawls, Une théorie politique de la justice

Comme on s'accorde assez généralement à le reconnaître, Une théorie de la Justice de John Rawls1 en est l'un des événements marquants. Quoique pour des raisons relatives au contexte, aux traditions ou à d'invincibles inerties, un sentiment comparable ne se soit pas clairement imposé en France, aux Etats-Unis l'importance de ce livre a été tenue pour décisive2. Certes, l'inspiration de Rawls a donné lieu à des commentaires et à des appréciations de tendances diverses; on a vu dans Une théorie de la justice une version du transcendantalisme kantien, parfois un produit typique de la philosophie analytique et de ses méthodes. En même temps, les commentaires plus politiques n'ont pas été sans produire des réactions d'hostilité dont la critique des libertariens et celle des communautariens peuvent être tenues pour exemplaires3.

Débats d'hier et d'aujourd'hui Rawls et ses critiques. L'éthique économique de John Rawls. La liberté après le libéralisme. 1 Raymond Boudon, Pourquoi les intellectuels n’aiment pas le libéralisme, Paris, Odile Jacob, 2004. (...) 1L’humeur politique du temps semble être à l’amour de la liberté, et de la philosophie qui s’est emparée de ce nom, le libéralisme.

La liberté après le libéralisme

On peut dès lors s’étonner avec un sociologue tocquevillien de ce que de nombreux « intellectuels n’aiment pas le libéralisme1 ». Le juste et le bien - La vie des idées. Recensé : Michael J.

Le juste et le bien - La vie des idées

Sandel, Justice. What’s the Right Thing to Do ? , Londres, Penguin Books, 2009, 308 p., 17, 62 euros. Une société juste doit-elle promouvoir la vertu de ses citoyens ? Ou le droit doit-il être neutre au regard des différentes conceptions du bien ? Léducation à la citoyenneté démocratique entre libéralisme polit. Qu'est-ce que le libéralisme ? Éthique, politique, société - rai. « Le libéralisme contemporain semble être à la fois omniprésent et introuvable » [ 1 ] . Aujourd’hui triomphant comme politique économique mais largement remis en question comme force politique, le libéralisme constitue pour nous un objet problématique. Que penser lorsque l’on considère à la fois la « philosophie libérale », qui défend la liberté de l’individu, les « partis politiques libéraux », avec la polysémie bien connue de ce terme entre les espaces politiques anglophones et français, et « l’économie libérale » qui apparaît comme inséparable du capitalisme et de la mondialisation ?

C’est à partir de ce constat que Catherine Audard se demande si « libéralisme » n’est que le nom d’un monstre, informe à force d’être protéiforme. Ce que l’on désigne habituellement par « libéral » est si confus, renfermant tant de différences, que l’on peut en arriver à s’interroger : doit-on exclure certains de ces sens au profit de certains autres ? La thèse d’Audard est donc double. Un libéralisme enraciné Civisme et subjectivité chez Benjamin Co. Aux sources du néolibéralisme - La vie des idées. Recensé : Serge Audier, Le Colloque Lippmann.

Aux sources du néolibéralisme - La vie des idées

Aux origines du néo-libéralisme, Latresne, Éditions Le Bord de l’Eau, 2008. L’ouvrage de Serge Audier se présente en deux parties. Le protectionnisme, un libéralisme internationaliste - La vie de. Depuis l’accélération de la crise économique et financière en septembre dernier, une peur hante les classes politiques et médiatiques occidentales : le retour du « protectionnisme ».

Le protectionnisme, un libéralisme internationaliste - La vie de

De sommet du G7 en sommet du G20, elles répètent que c’est la hausse des barrières douanières qui a transformé le krach de 1929 en dépression et que, pour répondre efficacement à la crise, il faut avant tout résister au « démon nationaliste » du protectionnisme, qui conduit inéluctablement à l’effondrement du commerce international et, in fine, à la guerre. Le raisonnement analogique a été une source d’inspiration formidable dans l’histoire des sciences, y compris pour la science humaine qu’est l’économie : Isaac Newton et Albert Einstein, mais aussi Adam Smith et John Maynard Keynes, y ont eu recours. Le haro actuel contre la tentation protectionniste à partir de l’exemple de 1929 en est un exemple frappant. L’invention du protectionnisme Cet objectif fut partiellement atteint. Social-démocratie et libéralisme, une relation oubliée - La vie. Recensé : Gareth Stedman Jones, La Fin de la pauvreté ? Un débat historique, éditions è®e, Paris, 2007 (2004 pour l’édition anglaise), traduit par Vincent Bourdeau, François Jarrige et Julien Vincent.