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Où allons-nous ? Dans le sillage des récentes notes sur Strauss-Kahn et les répercussions de son "affaire" pour des militants socialistes,de multiples interrogations tarraudent aussi bien les militants de gauche que les "observateurs" et que l'on peut résumer à deux questions. Que faire ? Et Où allons-nous ? Ceux qui pensent que le "strausskahnisme" est mort, se trompent et ceux qui, à gauche, ont débouché le champagne, l'ont fait trop tôt...

Silence, patience et constance sont les trois mots d'ordre qui devraient gouverner toute réflexion dans une période de grande confusion dans laquelle chacun souhaite sortir par le haut avec à la fois la sécurité de rester "dans le film", appeuré qu'il est de n'être nulle part. Il y a un air de déjà vu. En 2007-2008, après le départ de Dominique Strauss-Kahn au FMI, ses amis avaient été incapables de rester ensemble.

Bien qu'ils avaient choisi de contribuer au débat dans le PS à partir du texte Besoin de gauche, ils avaient divergé sur la tactique. Bienvenue sur le blog de Pierre Kanuty. Comment Strauss-Kahn a changé le FMI. NEW YORK – Il y a une peu plus de 13 ans, lors de la réunion du FMI à Hong Kong en 1997, le Fonds avait tenté d’amender sa charte de manière à obtenir plus de liberté pour pousser les pays vers la libéralisation de leur marché des capitaux. Il n’aurait pas pu choisir un pire moment : la crise est-asiatique était alors en préparation – une crise qui était largement le résultat de la libéralisation des marchés de capitaux dans une région qui, étant donné son taux d’épargne élevé, n’en avait pas besoin.

Il s’agissait d’une demande des marchés financiers occidentaux – et des ministères des finances occidentaux qui les servent de manière si loyale. La dérégulation financière aux Etats-Unis a été la cause principale de la crise globale qui a éclaté en 2008, et la libéralisation des autres marchés financiers et de capitaux a permis la propagation ce trauma « made in USA » à travers le monde. La crise a démontré que des marchés libres et sans entrave ne sont ni efficients, ni stables. Enjeux mondiaux, solutions mondiales. Le petit DSK illustré » Article » OWNI, Digital Journalism. Canal + nous proposait il y a quelques jours de passer "un an avec DSK". Antoine Mairé revient sur ce reportage à décharge. Les hommes politiques ne sont pas que des stakhanovistes en costume deux pièces, ce sont avant tout des hommes. Il y a deux semaines sur Canal+, on nous a raconté la vie de l’un d’entre eux, et pas n’importe lequel : un chef d’Etat sans Etat.

Non content de figurer en tête de tous les sondages (63% d’opinions favorables, 33% d’intentions de vote), Dominique Strauss-Kahn est donc quelqu’un de charmant, marié à une femme idéale. Au bout de ces 50 minutes réalisées par Nicolas Escoulan et intitulées “Un an avec DSK”, il ne fait aucun doute que cet homme de 61 ans, animé par une force politique à la dimension internationale, est celui que toute la France attend. Et quel dommage, avec le recul, que le retentissement médiatique du film ait été couvert par quelque menu tsunami, catastrophe nucléaire et autre Marine Le Pen. Un argumentaire sans faille Du Franc-parler. Dominique Strauss-Kahn : vrai et faux. Signez l’Appel à la candidature de DSK ! | Génération DSK.

1. Vivre mieux : améliorer les conditions de vie des jeunes Réduction des inégalités entre les jeunes dans l’éducation : Les moyens des établissements d’enseignement secondaire ou supérieur sont trop… lire la suite L’équipe qui avait fait partie de l’aventure « Génération DSK » te propose de se retrouver autour d’une nouvelle formation, parce que le combat pour faire gagner la gauche et les idées… lire la suite « Mais alors tout le monde peut voter ? » Je ne pourrais même pas dire combien de fois j’ai déjà entendu cette question. 14ème sur 15 pays d’Europe occidentale : c’est le classement de la France en termes d’inégalités sociales de santé. Extraits du documentaire “Un an avec DSK” Propos contre DSK : Serge Klarsfeld dresse un parallèle avec Léon Blum - Politique. La déclaration de Christian Jacob à propos de Dominique Strauss-Kahn "rappelle fâcheusement celle de Xavier Vallat sur Léon Blum", estime l'avocat Serge Klarsfeld, président de l'Association des fils et filles de déportés juifs de France, dans un communiqué diffusé mardi 15 février.

Il fait référence aux propos de Xavier Vallat, futur commissaire général aux questions juives, qui à propos de la nomination de Léon Blum comme chef du gouvernement avait déploré que "la France, vieux pays gallo-romain, soit désormais dirigé par un juif". "Stopper ce genre de dérive" "Dans une France qui n'est plus rurale, ni antisémite, écrit Serge Klarsfeld, nombreux sont les noms et les personnalités qui ne s'identifient pas à la France de Jean Giono et de Philippe Pétain, à commencer par le président de la République et le secrétaire général de l'UMP". (Nouvelobs.com avec AFP) Léon Blum était-il "à l'image de la France ?" LE MONDE | • Mis à jour le | Par Matthias Fekl, adjoint (PS) au maire de Marmande (Lot-et-Garonne) ; vice-président du conseil régional d'Aquitaine Ces derniers jours, la politique nationale a pris une tournure franchement nauséabonde.

L'indignation, récemment remise à l'honneur par Stéphane Hessel, est une première réponse aux attaques ad hominem rances et moisies qui ont visé DSK depuis que sa possible candidature fait paniquer une certaine droite. Un bref détour par le passé peut être utile aussi. Certes, l'Histoire ne se répète jamais à l'identique ; l'on ne trouvera pas dans le passé de modèle à plaquer tel quel sur le présent ; il ne s'agit donc pas de comparer figures d'hier et personnalités d'aujourd'hui.

Pourtant, comment ne pas penser, ces jours-ci, à Léon Blum (1872-1950), dont on oublie souvent qu'il fut en son temps l'homme le plus détesté de France, à droite et à l'extrême droite, bien sûr, mais aussi, à des degrés et à des titres divers, à gauche. PS : la guerre Aubry-DSK. Sauvons la génération perdue. :: [ Initiative Nationale pour le Développement Humain ] :: Trois thématiques à caractère transversal feront l’objet de communications et de débats en séance plénière au cours de la première journée du Forum. 1. Développement Humain et Redistribution des Richesses Pendant longtemps, certains gouvernements des pays en développement ont soutenu que la première priorité était de libéraliser leurs économies, d’atteindre la stabilité macroéconomique et d’adopter des politiques axées sur les marchés qui stimulent la croissance économique ; la croissance devant produire des ressources supplémentaires pour tous, facilitant ainsi la lutte contre la pauvreté.

Mais c’était oublier que les inégalités faussent la répartition des ressources et qu’on assiste souvent à un phénomène de paupérisation continu sur fond de croissance. Séance d'ouverture présidée par M. abdellatif JOUAHRI, Wali Bank Al Maghrib Intervention de M. Intervention M. Intervention Mme. Intervention Cheikh Ahmed MOHAMED ALI, Président de la Banque Islamique de Développement 2. 3. FMI - L'accomplissement des promesses faites à l'Afrique, Par Do. Par Dominique Strauss-Kahn, Directeur général, FMIVersion originale (anglais) publiée dans le blog du FMI — iMFdirect J’entreprends cette semaine ma troisième visite en Afrique subsaharienne en un an.

Et quelle différence en douze mois! Il y a un an, l’Africa était plongée dans les remous de la crise financière mondiale. La crise causait des ravages sur plusieurs plans : effondrement des exportations, banques en difficultés à cause de l’augmentation des créances improductives et chute des investissements. Mais l’amélioration des politiques gouvernementales (en anglais) face à la crise a permis au continent de traverser la tempête beaucoup mieux que prévu et le FMI prévoit que l’Afrique se remettra relativement vite, avec un rebond de la croissance moyenne à 4½ % cette année et 5½ % en 2011.

Ce sont les accomplissements de l’Afrique, mais le FMI et la communauté internationale y sont aussi apporté leur contribution — modeste, mais importante. Œuvrer au service de la cause de l’Afrique. Retour en force de l'Afrique, Par Dominique Strauss-Kahn, Direct. Par Dominique Strauss-Kahn, Directeur général, FMIVersion originale (anglais) publiée dans le blog du FMI — iMFdirectLe 9 mars 2010 Aux lendemains de la crise financière mondiale, l’Afrique subsaharienne frémit d’une énergie nouvelle — et un large consensus s’établit sur la marche à suivre pour l’avenir.

Par-dessus tout, l’Afrique affirme avec force qu’elle entend être maîtresse de son destin et non se laisser mener par d’autres. C’est à tout le moins mon sentiment initial après deux jours de dialogue au Kenya avec le Président Kibaki et ses collaborateurs, avec les dirigeants de la société civile et les syndicalistes, les universitaires et étudiants et les Kenyans ordinaires. Le « retour en force de l’Afrique », c’est ainsi que j’ai décrit mes impressions dans un débat télévisé en direct à Nairobi avec le Premier Ministre Odinga, le Ministre des finances M.

Kenyatta, la lauréate du Prix Nobel Mme Wangari Mathai, Akere Muna, de Transparency International et mon ami Bob Geldof. La diagnostic de Dominique Strauss-Kahn sur la crise grecque - L. Crise grecque, régulation, rôle du FMI... Dominique Strauss-Kahn. La Tribune : Les réunions du FMI et du G20, la semaine dernière, ont montré que la régulation du secteur financier n'avance guère... Dominique Strauss-Kahn : En matière de régulation financière, on est encore loin du compte. Ce n'est pas surprenant, parce ce sont des questions extrêmement techniques. Il faut rappeler que pour élaborer les normes dites de "Bâle 2", on a mis douze ans ! On ne prendra pas ce temps-là aujourd'hui, on ne l'a d'ailleurs pas. Mais le travail sérieux n'a été lancé qu'il y a un an. Le calendrier de la complexité technique n'est pas le même que celui de la politique : dans tous les pays où la puissance publique a aidé les banques, l'opinion publique réclame que l'on agisse.

Certains pays ont critiqué votre projet de taxe bancaire destiné à abonder un fonds de sauvegarde du système financier. Je suis convaincu que derrière la question financière à traiter, il y a un problème politique, touchant à la démocratie. Oui, il y a là un vrai risque. Grèce : le FMI travaille Berlin au cœur. C’est en force que le FMI et la Banque centrale européenne (BCE) ont décidé hier de s’attaquer à l’épine qu’est devenue l’Allemagne dans le traitement du dossier grec.

Dominique Strauss-Kahn et Jean-Claude Trichet, les présidents de ces deux institutions, ont rencontré l’un après l’autre les chefs des groupes parlementaires du Bundestag pour tenter de convaincre les députés de la nécessité de voter sans délai le plan de sauvetage qui doit permettre d’éviter la faillite de la Grèce. Le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, espère ainsi faire adopter le texte dans une procédure accélérée, au plus tard en fin de semaine prochaine, par les deux chambres du Parlement. Et ce malgré les élections en Rhénanie du Nord-Westphalie qui se dérouleront le 9 mai. En bonne camarade, la chancelière, Angela Merkel, a donc appelé hier à «accélérer» les négociations en cours avec le gouvernement grec, afin d’activer le plus rapidement possible le plan de sauvetage. Puits sans fond. Banques. Dominique Strauss-Kahn: la Grèce va être dans "une situation ins. « Je comprends la colère de la population grecque» L’appel au FMI reste la meilleure solution !

Après la Grèce, le Portugal. Après le Portugal, l’Espagne. Après l’Espagne l’Italie ? Le jeu de massacre semble devoir se prolonger. Faut-il donc craindre pour l’euro ? Pas forcément : le Traité européen a prévu la situation dans laquelle nous nous trouvons et préconise la bonne solution. À Maastricht, le choix était entre une union monétaire imparfaite et pas d’union du tout.

C’est très clairement le premier choix qui a été fait. La plus importante est celle qui est apparue au grand jour. Mais l’illusion peut être plus grave. . « L'Union ne répond pas des engagements des administrations centrales, des autorités régionales ou locales, des autres autorités publiques ou d'autres organismes ou entreprises publics d'un État membre, ni ne les prend à sa charge, sans préjudice des garanties financières mutuelles pour la réalisation en commun d'un projet spécifique. En proscrivant toute aide à un gouvernement qui ne peut pas faire face à ses obligations, cet article joue un rôle fondamental. Varsovie-Bucarest-Paris, dans les pas de DSK. DSK: un personnage clé en Europe. La boîte à idées planétaire de Dominique Strauss-Kahn - LeMonde. DSK, la « rupture » au FMI. Juin 2011, le sacre de Cannes. Le sacre, ce ne sera ni celui de Nicolas Sarkozy, l'hôte du G20 dans la capitale du cinéma, ni celui de Martine Aubry, la star des primaires du PS, ce sera en réalité celui de Dominique Strauss-Kahn.

Un an avant les présidentielles, Cannes recevra les chefs d'État et de gouvernement du G20 ? Obama, Merkel, Hu Jintao, etc... Et celui que tous écouteront, ce sera le patron du FMI, DSK. En moins de trois ans, Dominique Strauss-Kahn a remis le Fonds au centre du monde. Il y a organisé une véritable « rupture ». Quand le professeur d'économie s'était installé, le 1er novembre 2007, à Washington, le FMI était une institution moribonde, sans moyen et en panne de légitimité. Patriat (PS) appelle à une candidature de Strauss-Kahn en 2012 - Tribune: Dominique Strauss-Kahn, le recours pour 2012 - LExpress. Pour la gauche, l'enjeu de l'élection présidentielle de 2012 se résume à une simple question: quelle personnalité sera la plus à même d'incarner un projet crédible et moderne pour notre pays à l'horizon 2020?

En 2012, la France sortira d'une décennie d'hésitations chiraquiennes, puis de précipitations sarkozystes. Elle sera affaiblie sur le plan intérieur, avec une croissance en berne et un appareil productif fragilisé, et sur la scène internationale, avec une perte d'influence sans précédent en Europe. Jamais, depuis 1945, notre pays n'aura produit autant d'inégalités: à l'école, sur le marché du travail, devant l'impôt, face aux âges de la vie. Le modèle de l'Etat-Providence est en panne, par manque de courage politique. Depuis dix ans, les gouvernements successifs se sont contentés de procéder à des ajustements correctifs des excès du marché, en favorisant systématiquement la rente sur le travail. La gauche française prendra-t-elle le risque de se priver de son talent? Le blog d'Aiglon : socialiste et démocrate: Face aux citoyens, D. Si DSK marque des points dans l'opinion, ce n'est pas parce qu'il ne fait rien et qu'il se tait, en fait c'est tout le contraire.

Sous sa houlette on découvre que le FMI se transforme progressivement en institution interventionniste de la meilleure facture. En voulant que le FMI aide la Grèce, il désoriente les banques centrales adeptes du laisser faire. En proposant une nouvelle panoplie d'instruments financiers il tente de développer la régulation nécessaire pour limiter l'inventivité des banques et la propagation de leurs produits à risques. Ne serait ce que l'idée de taxer les revenus des banques pour leur faire payer le coût des crises futures, est déjà en soi une innovation pour l'institution qu'il dirige, les organes de contrôle et les Etats.

Les conservatismes et les jalousies se déchaînent tant les "vaches sacrées se sentent menacées. La définition de cette nouvelle croissance, c'est d'ores et déjà la base d'un programme. Moscovici évoque la "candidature naturelle" de DSK pour 2012 - P. Cambadélis: "On n’a pas besoin de demander à DSK de s’engager ma. Présidentielle: «L'attente et l'espoir» des proches de Strauss-K. L'inconfortable situation de DSK. DSK favori contre Sarkozy. Oui mais ensuite ? Pour l'égalité réelle - Les études - Publications - Fondation Je. Réflexions pour la gauche du XXIe siècle - Les études - Publicat. La bulle DSK finira-t-elle par éclater ? Le sondage qui montre que le socialiste qui fait le plus voter à. Dominique Strauss-Kahn, le retour du "Balladur socialiste" | Rue. De qui s'inspire DSK?