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Droite

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La naissance de la droite française. La naissance de la droite française [lundi 18 octobre 2010 - 23:00] Histoire La première contre-révolution (1789-1791) Éditeur : Presses universitaires de France (PUF) Dès ses commencements, la Révolution française n’a cessé de susciter les interrogations des contemporains. Tous, opposants ou partisans du changement, ont eu immédiatement la perception qu’une époque allait se fermer pour toujours pour faire place à une nouvelle. En suivant cette approche, qui est en même temps politique et historiographique, les résistances au processus révolutionnaire ont été longtemps expliquées a contrario. Le livre de Jacques de Saint Victor renverse ce cadre interprétatif et propose une lecture novatrice de la pensée et des positions politiques des premiers opposants à la Révolution française. «Le sarkozysme fait face à une baisse tendancielle du taux de profit politique»

Pierre Rosanvallon sur les sarkozysmes - Mediapart - une vidéo Actu et Politique. Pierre Rosanvallon: «L'échec du sarkozysme, la panne de la gauche» Le nationalisme « soft » de Nicolas Sarkozy. Les discours de Nicolas Sarkozy sur l’immigration et l’identité nationale peuvent être qualifiés de « nationalistes ». Mais il s’agit d’un nationalisme « soft » adapté aux lois de la démocratie télévisée auxquelles nous sommes soumis aujourd’hui. Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Intérieur, en visite officielle en Guyane en 2006. Les discours de Nicolas Sarkozy sur l’immigration et l’identité nationale peuvent être qualifiés de « nationalistes » au sens que le dictionnaire donne à ce terme : « exaltation du sentiment national pouvant aller jusqu’à la xénophobie. » Mais il s’agit d’un nationalisme « soft » adapté aux lois de la démocratie télévisée auxquelles nous sommes soumis aujourd’hui. Les 5 grands thèmes nationalistes du discours sarkozyste 1. Le discours sarkozyste prolonge la tradition nationaliste d’abord par son vocabulaire. 2. 3. 4. 5.

Un nationalisme soft adapté aux contraintes de la démocratie télévisée Ceci dit, il faut se garder des anachronismes. Le retour «des» droites. Il y a deux façons de lire ce qui se passe autour de la question de la suppression de la taxe professionnelle voulue par le Président et refusée par une partie significative de la majorité. Soit on s'en moque et l'on dit c'est le désordre à l'UMP (ce n'est pas faux mais une fois qu'on a dit ça on n'a rien dit de passionnant), soit on constate avec soulagement que le Parlement vit encore puisque la fronde peut être aussi bien vue comme un débat, comme si les parlementaires de la majorité avaient décidé de délacer leurs gros godillots. On va d'ailleurs pouvoir bientôt savoir où est la vérité. Pugilat ou vrai débat?

Le Parlement a-t-il vraiment plus de pouvoir qu'avant, comme le prétend l'exécutif ? Ce débat laisse réapparaitre les anciennes droites telles qu'elles avaient été classifiées par René Rémond, dés 1954 dans son livre référence, «Les droites en France». Publicité Thomas Legrand Image de Une: Jean-Pierre Raffarin Stephane Mahe / Reuters Devenez fan sur , suivez-nous sur. “Nicolas Sarkozy réveille l’autre politique” La pluralité des droites et l'UMP, par Pascal Perrineau - L. Se penchant, dès les années 1950, sur l'énigme de la droite française, René Rémond avait eu l'intuition que "la solution de l'énigme était dans la pluralité". Elle était à la fois autoritaire et libérale, archaïsante et moderniste, élitiste et populiste...

Cette diversité s'organisait en courants et, de 1815 à nos jours, l'historien en décelait trois principaux : légitimiste, orléaniste et bonapartiste. Cette tripartition des droites fait partie des quelques axiomes fondamentaux de la vie politique française. Certes, avec le temps, la droite légitimiste s'est effacée du paysage politique, même si elle survit, à l'état de témoin, dans certains cénacles de la droite extrême.

En revanche, la persistance d'une différence profonde entre une droite libérale et parlementaire, qualifiée d'orléaniste, et une droite davantage autoritaire et présidentialiste, intitulée bonapartiste, est plus qu'évidente, et marque de son sceau nombre d'affrontements au sein de la droite. La droite et la Ve république. Depuis 1962, les attitudes à l’égard des nouvelles institutions se sont distribuées de manière stable sur l’échiquier politique : les gaullistes et leurs héritiers défendaient le régime tandis que la gauche le rejetait. Les premiers se félicitaient de la prééminence retrouvée du pouvoir exécutif, prééminence que la gauche, de manière certes moins appuyée lorsqu’elle était au pouvoir que dans l’opposition, condamnait au nom de son anti-bonapartisme et de sa volonté de restaurer un véritable pouvoir parlementaire.

Cette distribution des rôles semble dépassée. La gauche, qui n’a pas voté la réforme constitutionnelle de 2008, n’a cependant plus de propositions concrètes pour atteindre les objectifs qu’elle s’était fixés en matière institutionnelle, se contentant de critiquer l’hyper-présidence de Nicolas Sarkozy. En réalité le débat s’est déplacé vers l’organisation héritière du gaullisme, l’UMP. La question du fonctionnement des institutions devient ainsi un sujet de débat sein de l’UMP. Louis Pauwels - "Le monôme des zombies"

Quand @Place_Beauvau communique

Tea Party Patriots : le renouveau de la droite américaine - La v. « La révolution n’est pas un dîner de gala », disait Mao. Mais il se peut qu’elle soit une tea party (un goûter), du moins selon les plus virulents opposants actuels du président Obama. Un mouvement citoyen décentralisé inconnu avant 2009, invoquant le nom d’un moment fondateur dans l’histoire américaine – la Boston Tea Partyde 1773 –, est en passe de devenir la première formation politique d’opposition, du moins si l’opposition se mesure en décibels.

L’élection du républicain Scott Brown comme sénateur du Massachusetts le 19 janvier, qui a privé les Démocrates de leur super-majorité au Sénat et a mis en péril la réforme du système de santé souhaitée par Obama, est considérée comme la première victoire des Tea Partiers. Leur foudre populiste n’épargne pas non plus les Républicains, même s’ils sont leurs alliés objectifs du fait de leur commune opposition à Barack Obama : le parti de George W. Bush est, à leurs yeux, coupable de modération et de compromission face à l’ennemi commun. Rencontre avec Sabine Herold - Intox2007.info, blog politique. Soutenez moi un peu (oups) [dons] Voila un appel à don, j’en fait régulièrement.

Vu que je ne re-trouve pas de travail, que les promesses de contrat des uns sont du vent et ne parlons pas des arnaques sur projets.. Et oui voila.. Ce n’est pas lié à l’actualité judiciaire du moment avec la plainte pour injure publique par M.Le Pen, même si celle-ci peut éventuellement me créer un peu quelques soucis. (more…) arnaque, arnaques, ASS, Blog, blogs, blogueurs, comm, complot, con, cons, contrat, CTU, Euro, GUE, lit, MES, moi, moi je, newsletter, PPE, projet, promesse, promesses, PS, pub, rance, réseau, son, travail, UE, us Hollande : 89% de Sarkozy un petit calcul s’impose , au sujet de la dette. D’après son projet de 2012 , le nain pestilentiel Sarkozy proposait de réduire la dette en faisant un total de 75 Milliards d’euros d’économies d’ici 2016 soit en 4 années pleines. et rajouter 40 Milliards d’impôts nouveaux pour arriver a l’équilibre budgétaire en 2016.

Posted by Rva in Hollandie (more…) A nouveau syndicat étudiant, nouvelle "indépendance" - LeMonde.f. Un ou plusieurs libéralismes ? - La vie des idées. Recensé : Catherine Audard, Qu’est-ce que le libéralisme ? , Paris, Gallimard, coll. « Folio Essais », 2009. 844 p., 9, 70 €. Le libéralisme a mauvaise presse en France. Dans cet ouvrage didactique mais ambitieux, Catherine Audard entend réparer cette injustice en présentant l’apport de la pensée anglophone, de Locke à John Rawls, à la philosophie morale du libéralisme. Cette tradition de pensée, souligne-t-elle, ne s’arrête pas, bien sûr, aux frontières des pays de langue anglaise.

Elle estime d’ailleurs que « le contraste entre une culture politique française républicaine et une culture anglo-saxonne libérale n’a pas de sens historique ou philosophique ». Mais les auteurs anglo-américains libéraux restent moins connus et, surtout, les enjeux normatifs issus du libéralisme irriguent davantage le débat public dans le monde anglophone.

Le noyau du libéralisme Cette souveraineté de l’individu n’entraîne pas l’atomisme. Les libéralismes, « nouveau » et « néo » La synthèse rawlsienne.

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