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Social learning

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1 000 façons de jouer pour apprendre. Les jeux sont anciens dans les écoles. On se souvient de nos jeux de cour de récréation, des marelles, des chats perchés ou des parties de balles endiablées, ou bien des jeux de société auxquels l'enseignant autorisait la pratique les derniers jours de classe. Jouer serait peut-être un besoin viscéralement humain et certains imaginent les façons de l'intégrer à l'enseignement. Depuis que les chercheurs se sont aperçus que le plaisir d’apprendre était un moteur, notamment par le fonctionnement des hormones en jeu pour apprendre, la ludopédagogie a trouvé ses lettres de noblesse. Les jeux de rôle Vous souvenez vous de Gary Gygax et de son célèbre Donjons et Dragons inventé dans les années 70 ? C’est certainement lui qui a donné le ton à une génération qui laisse aujourd’hui entrer le jeu dans les entreprises. Un maître du jeu inventait une histoire et les joueurs adoptaient les comportements de leurs personnages pour répondre à l’appel de l’aventure.

Les jeux en salles Les jeux sérieux. 3 leviers pour engager les salariés dans leur formation. Premier levier : la pertinence du contenu de formation rapporté aux attentes de l’apprenant. On parle bien ici de contenu (informations, savoirs), non de design. Une façon de s’assurer de l’adéquation du contenu aux besoins, c’est d’impliquer l’apprenant dans la décision voire dans la conception du contenu… en un mot dans la stratégie de formation dont il est la partie prenante essentielle.

C’est aussi de développer une pédagogie qui prend en compte l’expérience déjà acquise par l’apprenant. Cette démarche pourra s’appuyer sur le modèle de Knowles (il y en a d’autres), qui fait au fond le lien entre formation et travail. Toujours dans ce registre, les concepteurs pédagogiques devront s’assurer que les capsules de formation pourront s’intégrer souplement dans le flux du travail - brièveté des séquences de formation, diffusion sur tout type de terminal dont mobile utilisé par le salarié, possibilité de mise en application immédiate, etc.

Principe de personnalisation : comment l'appliquer au e-learning. Vous êtes en train de lire ou d’écouter des explications quand, soudain, vous réalisez que vous avez décroché et vous n’avez aucune idée de ce que vous venez de lire ou d’entendre ! Vous revenez en arrière et vous vous replongez dans votre étude, mais impossible, vous n’y arrivez pas. Peut-être n’êtes-vous pas très concentré ? Mais peut-être qu’il y a une autre explication… La grande majorité des livres de formation, des guides pratiques et des documents informatifs sont écrits dans un style très formel. Pourquoi ? Parce que c’est ainsi que l’on apprend à écrire à l’école, tout simplement. Dans son livre E-Learning and the Science of Instruction (Le e-learning et la science de l’éducation), Richard Mayer consigne le fruit de ses recherches qui suggèrent que l’on s’efforce plus de comprendre quelque chose lorsque nous sommes engagés dans une discussion avec quelqu’un d’autre.[1] Il semblerait que notre cerveau soit plus efficace lorsque nous bénéficions d’une stimulation d’ordre social.

3 principes essentiels de conception graphique. Si vous êtes comme la plupart des concepteurs pédagogiques, vous êtes sans doute plus à l’aise à l’écrit et en culture générale qu’en graphisme. Et si vous travaillez seul ou au sein d’une toute petite équipe, vous êtes probablement responsable de beaucoup de choses, de la conception pédagogique au graphisme en passant par la conception multimédia. Le e-learning est d’abord un média visuel, il tient autant de la communication visuelle que de l’ingénierie pédagogique. Bien que vous n’ayez pas besoin d’être un pro du graphisme pour concevoir des cours efficaces, comprendre les concepts graphiques essentiels vous aidera à faire des choix plus réfléchis en organisant les éléments de vos diapos et influencera la façon dont vos apprenants interagiront avec votre contenu.

Voici trois conseils simples – mais très efficaces – de graphisme qui amélioreront vos modules. Astuce n°1 : utilisez le contraste pour guider vos apprenants Les apprenants remarquent ce qui est différent. 1. 2. 3. 9 éléments à prendre en compte pour bien choisir son outil auteur e-learning. Avec un tel nombre d’outils auteurs e-learning sur le marché, ce n’est pas facile pour un novice dans le domaine (ni pour quelqu’un d’expérimenté, d’ailleurs !) De savoir quel logiciel répond le mieux à ses besoins. Pourtant, le fait de choisir l’outil le plus adapté à chaque projet est l’une des clés de la réussite. Le logiciel choisi doit pouvoir répondre aux besoins de l’apprenant et du concepteur. Vous aurez certainement besoin d’un outil qui permet d’intégrer le module à un LMS (Learning Management System ou plateforme de formation en ligne) ou à un autre système de suivi.

La connaissance des trois catégories principales d’outils auteur e-learning est un bon point de départ : on distingue les applications web, les outils de bureau et les extensions PowerPoint. 1. Le budget dont vous disposez pour acheter un outil est le premier élément à prendre en considération. Quelles fonctionnalités propose-t-il ? Assurez-vous de bien comprendre tout ce que vous obtenez pour le prix indiqué. Le microlearning : quoi, comment et pourquoi. (Je dois vous prévenir que cet article est susceptible de vous ouvrir l’appétit…) Un gros module e-learning bien complet est comme un plat de fête. Il faut du temps pour le préparer, il est riche, remarquable et un peu intimidant. Il vous faut du temps pour le digérer et vous ne pouvez pas, sans risque, le manger en une seule fois !

Pour sa part, le microlearning ressemble plus aux amuse-gueules de l’apéritif. Vous pouvez en manger beaucoup sans vraiment vous en apercevoir et d’ailleurs, la plupart du temps, vous en mangez plus que ce que vous aviez prévu ! Le microlearning détaille (comme on détaille des légumes en petits morceaux) l’information ou le contenu en petits « grains », rapides et faciles à consommer. La tendance actuelle dans l’apprentissage en ligne est la « bouchée », petite et digeste ! Comme vous l’avez compris, l’idée est de découper les modules e-learning copieux en plus petits « grains ». Le microlearning est plus accessible Le microlearning est riche et varié. 50 usages des médias sociaux en formation. L’étude Cegos sur les pratiques de formation confirme que 60% des salariés nous expliquent apprendre avec des outils du type wiki, blog, podcast, réseaux sociaux d’entreprise … Ce chiffre progresse chaque année et les nouveaux outils nous permettent d’inventer de nouveaux usages.

J’avais initié la liste il y a 1 an avec 30 usages, vous avez été très nombreux à commenter ce post appréciant ainsi cette sélection … je vous propose d’en découvrir 20 nouveaux (new) à étudier pendant l’été pour enrichir vos formations dès la rentrée … Le micro-Blogging (ex: Twitter) Le partage de photos (ex: Flickr, Picasa) Le blog (ex: Worldpress, Typepad) Les podcast ou videocast Enregistrer une session de formation (présentiel ou visio-formation) pour la diffuser en différé. newMaintenir l’engagement dans des cursus longs par la diffusion régulière de nouvelles émissions. newPermettre aux apprenants de revoir directement sur smartphone ou tablette tactile les moments forts de la formation. new.

La data peut aider les formateurs à améliorer leurs contenus e-learning. Exploiter les données recueillies par le LMS pour optimiser en continu la qualité des formations digitales, c’est l’un des nombreux chantiers engagés par 360 Learning pour 2016. L’enjeu : aller au-delà des techniques traditionnelles d’évaluation pour offrir aux formateurs un feedback concret, neutre et directement activable. Gros plan avec Nicolas Hernandez. Comment optimiser l’évaluation des formateurs ? Aujourd’hui, les parcours e-learning sont généralement évalués sur la base du modèle de Kirkpatrick.

Les apprenants sont invités à répondre à une série de questions à chaud puis à froid, pour juger notamment de l’efficacité des enseignements. C’est un feedback intéressant pour mesurer les effets de la formation sur l’apprenant mais qui ne permet pas au formateur d’obtenir des billes concrètes pour faire évoluer sa prestation. Nous avons donc voulu réfléchir à un dispositif orienté « action ». Que proposez-vous ? Concrètement, cela se présentera sous quelle forme ?