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Le Web Sémantique en entreprise : comment et à quels niveaux ? Bien qu’elle ait été lancée par le W3C dés 1998, l’initiative du Web sémantique [1] reste encore aujourd’hui marginale face aux problématiques courantes du Web, comme par exemple la publication de contenu.

Le Web Sémantique en entreprise : comment et à quels niveaux ?

Pourtant, le WS est déjà riche de nombreux langages et outils qui peuvent trouver leur place au sein de l’entreprise, et améliorer la manière dont celle-ci traite, organise et publie ses données. Web "sémantique" ? Le terme de web sémantique, rencontré de manière assez courante dans le domaine de l’informatique du Web, recouvre des concepts encore flous pour de nombreuses personnes. Pour comprendre ce qu’est le Web sémantique, il faut avant comprendre ce qu’est le Web "traditionnel", aujourd’hui : un espace universel d’échange d’informations, consultables par tout internaute. L’objectif du Web sémantique est, tout simplement, d’apporter la sémantique formelle nécessaire pour que des machines, elles aussi, puissent consulter et interprêter les informations présentées sur le Web. <! <! Le blog de Marie-Anne Chabin. Archiver, après ?

Le blog de Marie-Anne Chabin

Marie-Anne Chabin, Djakarta, 2007 Ce qui ce conçoit bien s’énonce clairementNicolas Boileau Jadis, et naguère encore, on ne parlait pas d’archiver. Bien que le Dictionnaire historique de la langue française (Robert) signale l’apparition du verbe en 1556, son emploi est très rare en français classique, de même qu’au XIXe siècle et pendant la plus grande part du XXe siècle. Et puis voilà qu’après un demi-millénaire d’hibernation, il se réveille, prend corps et s’installe : « Est-ce que les factures ont bien été archivées ? Autrefois, on disait les choses autrement : il était question de mettre aux archives, de classer aux archives, de verser aux archives et plus généralement de conserver les archives. On parle toujours de conserver les documents. L’excellent Manuel d’archivistique, publié en 1970, ignore le mot archivage ; on y parle d’entrée aux archives ou de versement[1]. Ce que dit la loi La loi française ne définit pas l’archivage.

Ce que suggère la tradition. Nos langues à l’heure du capitalisme linguistique « InternetActu.net - (Navigation privée) Que transforme Google en analysant nos requêtes ?

Nos langues à l’heure du capitalisme linguistique « InternetActu.net - (Navigation privée)

En intervenant directement sur nos mots, sur nos phrases et donc sur notre pensée ? A l’heure du capitalisme cognitif – c’est-à-dire, si l’on suit Yann Moulier-Boutang dans son livre éponyme, une économie qui exploite la connaissance -, Google domine déjà le marché des mots, explique Frédéric Kaplan, chercheur à l’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne. Faire de chaque mot une marchandise Google a construit son succès puis sa richesse autour de deux algorithmes.

Le premier permet de classer les ressources du web. Rappelons les principes simples de ce second algorithme qui permet de fixer la valeur de chaque mot. Ce jeu d’enchères a lieu des millions de fois par seconde, à chaque requête d’un utilisateur. Dans ces conditions, il est pertinent d’analyser les autres services que Google propose au travers de ce prisme. L’intelligence collective à petite échelle. Qu’entend-on généralement par « intelligence collective » ?

L’intelligence collective à petite échelle

Pour le monde du web, la messe est dite : c’est le produit émergent de l’interaction entre plusieurs milliers, voire millions d’individus, certains ne partageant avec les autres qu’une quantité minimale de leur réflexion (c’est la théorie du surplus cognitif chère à Clay Shirky, comme il l’a développe dans on livre éponyme ou chez TED). Et bien entendu, c’est le web lui-même qui est le média de choix de cette intelligence collective. Cette définition repose sur certains postulats, pas toujours explicites : Plus on est de fous, plus on rit. Autrement dit, l’intelligence collective n’apparait qu’avec un très grand nombre d’interactions entre des multitudes d’agents.

Pourtant, il existe une autre approche de l’intelligence collective, bien plus ancienne que le net ou le web : la « fusion » entre quelques esprits, le plus souvent seulement deux, pouvant aboutir à une explosion inattendue de créativité. Rechercher.