Objection de conscience : une jeune étudiante en médecine témoigne. Euthanasie : un médecin -lecteur du Salon Beige- témoigne dans Ouest-France. « L'euthanasie est rejeté en commission au Sénat | Accueil | Création d'un 2e ordinariat pour les Anglicans de retour dans l'Eglise » 25 janvier 2011 Euthanasie : un médecin -lecteur du Salon Beige- témoigne dans Ouest-France Un médecin apporte son témoignage dans Ouest-France d'aujourd'hui : Pour le Salon Beige, ce même médecin, fidèle lecteur, témoigne : "Depuis quinze ans, je m'efforce donc d'appliquer discrètement mais strictement l'objection de conscience médicale face à tout avortement et tentative d'euthanasie, sans l'avoir vraiment encore formalisée ni clamée - ce qui devient difficile dans le service publique hospitalier ; et quand je n'interviens pas sur le Salon Beige ou autre blog je signe les pétitions qui se présentent.
Posté le 25 janvier 2011 à 11h18 par Michel Janva | Catégorie(s): Culture de mort : Euthanasie Commentaires Bravo ! Rédigé par : Jean | 25 jan 2011 11:29:35 Chers amis, vous demandez de vous soutenir pour faire appliquer la loi de 1905. Marc Bergerot. L'objection de conscience héroïque d'un policier italien. Il y a 67 ans, le sacrifice de Giovanni Palatucci | 1903 clics ROME, vendredi 10 février 2012 (ZENIT.org) – « La figure de l’œuvre de Giovanni Palatucci, loin de s’atténuer, grandit au fil du temps », a fait remarquer le regretté Père Piersandro Vanzan, sj, en 2004, à l’occasion de la conclusion de la première étape de la béatification du policier italien qui pourrait être considéré comme un martyr de l’objection de conscience. Il a placé par dessus tout « la défense du droit à la vie » des juifs persécutés. Qu’un policier, qu’un questeur, désobéisse, au nom de sa conscience et le paie de sa vie, voilà l’exemple peu commun de ce jeune Italien mort à Dachau le 10 février 1945, à 36 ans, victime de la faim et des sévices, après avoir sauvé quelque 6 000 juifs.
De la critique à l’objection active Il avait critiqué la bureaucratie de la police italienne de l’époque, en confidence, avec un journaliste. Le questeur en titre de Fiume avait fui, après l’armistice du 8 septembre 1943. Anita Bourdin. Letter from Birmingham Jail - Full text. *AUTHOR'S NOTE: This response to a published statement by eight fellow clergymen from Alabama (Bishop C. C. J. Carpenter, Bishop Joseph A. Durick, Rabbi Hilton L. Grafman, Bishop Paul Hardin, Bishop Holan B. LETTER FROM BIRMINGHAM JAIL April 16, 1963 While confined here in the Birmingham city jail, I came across your recent statement calling my present activities "unwise and untimely. " I think I should indicate why I am here In Birmingham, since you have been influenced by the view which argues against "outsiders coming in. " But more basically, I am in Birmingham because injustice is here. Moreover, I am cognizant of the interrelatedness of all communities and states.
You deplore the demonstrations taking place in Birmingham. In any nonviolent campaign there are four basic steps: collection of the facts to determine whether injustices exist; negotiation; self-purification; and direct action. You may well ask: "Why direct action? Now, what is the difference between the two? Moreana113pages55-64.pdf (Objet application/pdf) L’Etat et la conscience. Le prochain congrès de l’Union Internationale des Juristes Catholiques se tiendra à Madrid les jeudi 12 et vendredi 13 novembre 2009. Le thème retenu est "L’état et la conscience". Ce prochain colloque permettra notamment de revenir la question de l’objection de conscience. La conscience, qui n’est pas simplement un sentiment subjectif, permet à tout homme de découvrir ce qu’il est bon de faire et ce qu’il faut éviter. C’est en elle que peut se découvrir la loi naturelle (Benoît XVI, Gaudium et spes, n° 16). L’objection de conscience.
Le citoyen n’est pas obligé en conscience de suivre les prescriptions des autorités civiles si elles sont contraires aux exigences de l’ordre moral, aux droits fondamentaux des personnes ou aux enseignements de l’Évangile (Compendium, n° 399). Notre société pourtant si tolérante a parfois bien du mal à accepter ce droit à l’objection de conscience. L’objection de conscience peut prendre une forme plus commune, moins spectaculaire qui est témoignage. Franz Jägerstätter. Blessed Franz Jägerstätter, O.F.S., (in English also spelt Jaegerstaetter) (20 May 1907 — 9 August 1943) (born as Franz Huber) was an Austrian conscientious objector during World War II.
Jägerstätter was sentenced to death and executed. He was later declared a martyr and beatified by the Catholic Church. Life[edit] Jägerstätter farmstead in St Radegund Jägerstätter was born in Sankt Radegund, Upper Austria, a small village between Salzburg and Braunau am Inn. He was the illegitimate child of Rosalia Huber, a chambermaid, and Franz Bachmeier, a farmer.[1] He was first cared for by his grandmother, Elisabeth Huber.
In his youth, Franz gained a reputation for being a wild fellow, but, in general, his daily life was like that of most Austrian peasants. When German troops moved into Austria in 1938, Jägerstätter was the only person in the village to vote against the Anschluss in the plebiscite of 10 April. Arrest and death[edit] Legacy and beatification[edit] Bibliography[edit] References[edit] Franz Jägerstätter - A Man of Conscience Trailer. Franz Jägerstätter - A Man of Conscience | Center for Media and Democracy. Christ ou Hitler? Vie du bienheureux Franz Jägerstätter - DDB. The collected writings of Franz Jagerstatter. A few weeks ago, Orbis Books published Franz Jagerstatter: Letters and Writings from Prison, the first complete collection of his writings in English.
Through his intimate letters and powerful reflections on faith, church and death, we enter the mind of a contemporary saint and martyr. And we learn a thing or two about growing in sanctity and how we might resist war and practice Christ’s peace. On August 9, 1943, for refusing to take “the military oath of unconditional obedience to Hitler,” Franz Jagerstatter was beheaded. A year and a half ago, he was beatified during a Mass in Linz, Austria, with his children present along with his dear widow Franziska, now 96.For decades Jagerstatter’s story languished.
Then Gordon Zahn uncovered the story. Zahn's book In Solitary Witness came out in 1964. Most of his last writings, in particularly, were written clandestinely and in chains, to be delivered to Franziska after his execution. Finally, we know the answers. Le bienheureux Franz Jägerstätter, Autrichien et antinazi. Franz Jägerstätter 1907-1943. Persée : Portail de revues en sciences humaines et sociales.