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Sondages et petits calculs

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Median voter theorem. One possible model; here, if parties A and B want to catch the median voters, they should move towards the center. The red and blue areas represent the voters that A and B expect they have already captured. The median voter theorem states that "a majority rule voting system will select the outcome most preferred by the median voter".[1] The median voter theorem makes two key assumptions. First, the theorem assumes that voters can place all election alternatives along a one-dimensional political spectrum.[2] It seems plausible that voters could do this if they can clearly place political candidates on a left-to-right continuum, but this is often not the case as each party will have its own policy on each of many different issues. Similarly, in the case of a referendum, the alternatives on offer may cover more than one issue.

Explanations[edit] The weak form of the median voter theorem says the median voter always casts his or her vote for the policy that is adopted. History[edit] Quand se joue l'élection présidentielle ? LE MONDE | • Mis à jour le | Par Thomas Wieder A un peu plus de 100 jours du premier tour, la présidentielle est-elle pliée ? Evidemment, nul ne le sait. Même si François Hollande domine dans les sondages, l'histoire montre qu'à cette période de l'année, rares sont les scrutins qui sont déjà joués. Dès les prochains jours, cependant, les rapports de force pourraient se figer. Février 1981 – Mitterrand s'impose durablement Début janvier 1981, la réélection de Valéry Giscard d'Estaing ne fait guère de doute.

Il faut en fait attendre début février pour que la victoire du candidat socialiste apparaisse comme une hypothèse sérieuse. Le deuxième facteur expliquant l'inversion des rapports de force entre Giscard et Mitterrand début février 1981 est la déclaration de candidature de Jacques Chirac, le 3. Une fois réalisée l'unité des socialistes derrière Mitterrand, et dès lors que la campagne de Chirac est lancée, Valéry Giscard d'Estaing se trouve piégé. 120405-opinionway-lefigaro-v7.pdf (Objet application/pdf) La vérité vraie sur le vote des Français aux présidentielles depuis 1988. Heureusement que la Fondation Terra Nova est là! Grâce en effet à la note rédigée par Michel Balinski et Rida Laraki, les Français voient enfin mis à jour leurs désirs politiques inconscients et refoulés: en 1988, ils voulaient en réalité élire Raymond Barre à la présidence de la République; en 1995, Édouard Balladur; en 2002, Lionel Jospin; et, en 2007, François Bayrou.

Pourquoi dès lors ont-ils réélu François Mitterrand en 1988, élu puis réélu Jacques Chirac en 1995 et 2002, élu enfin Nicolas Sarkozy en 2007? Tout simplement parce que"le scrutin majoritaire empêche les électeurs de s’exprimer librement" puisque "depuis au moins l’élection présidentielle de 1988, il y a un sérieux doute que l’élu soit le candidat voulu par l’électorat" (sic!). Ainsi, "l’écrasant score de 82,2% des voix pour Chirac contre Le Pen en 2002 ne mesure en rien l’opinion réelle des électeurs sur le candidat Chirac". Résumons le postulat de départ: les Français - quels cons ces Français! Explorez quatre années de présidence Sarkozy. La campagne présidentielle de 2012 est déjà mal partie. - Nicolas Sarkozy et François Fillon en campagne en avril 2007. Jean-Paul Pelissier / Reuters - La campagne pour l'élection présidentielle 2012 commence très mal.

La crise aurait dû forcer le pays à regarder ses blessures, à mesurer les efforts des autres, à repenser sa stratégie. Elle aurait dû le porter vers l'extérieur et vers l'avant. Il se passe l'inverse. Que l'esprit de 2007 est loin... La campagne 2012 part dans le sens opposé. A droite, l'analyse de la crise a conduit Nicolas Sarkozy à trancher, lui aussi, pour l'étatisme. A côté des deux grands partis, alors qu'au moins un candidat de raison et de sérieux aurait pu profiter du boulevard ouvert par les glissades populistes, ne se présentent que des personnes «hors système» au goût venu d'ailleurs: un Borloo du Nord, un Villepin du pays de la rancune, un Hulot descendu de la canopée. Cette régression fait et fera le bonheur des extrêmes. Un an reste à courir avant le vote. Eric Le Boucher publicité Devenez fan sur , suivez-nous sur. Au-delà des intentions de vote : quand l’indécision est une insoumission.

Préambule : l'étude a été menée du 14 au 28 avril, avant "l'affaire DSK". Alors que les sondages donnent le président de la République d’ores et déjà battu, c’est un tableau du champ de bataille bien différent que la communauté des Français moyens que nous avons réunie dresse sous nos yeux. Aux contours bien plus indécis, incertains, chaotiques. Et dans lequel Nicolas Sarkozy dispose encore d’une position stratégique, et a encore son rôle à jouer. Un champ de bataille beaucoup plus difficile à appréhender que ce que les sondages habituels laissent penser : nécessairement, quand la majorité des Français de classes moyennes que nous avons interrogés déclarent non seulement ne pas encore savoir pour qui voter, mais ne VOULOIR voter pour aucun des candidats en lice.

C’est que, comme en 2007, mais de façon encore plus violente, l’indécision apparaît aujourd’hui comme le principal parti politique parmi ces classes moyennes désenchantées et exigeantes à la fois. . « Cette prime ? Sondages : les courbes peuvent-elles se croiser ? Nicolas Sarkozy se donne trois semaines pour prendre l'avantage en multipliant les prises de parole. De son côté, François Hollande sait depuis le début qu'il doit gérer une campagne où il ne peut que baisser dans les sondages. Nicolas Sarkozy l'a toujours dit, il lui faut terminer le premier tour en tête. Il croit en l'effet psychologique qui peut faire «changer l'espoir de camp», et créer un nouveau climat de campagne.

Cet effet sera important, juge l'un de ses conseillers, «surtout au regard des quatre années écoulées ». À ce jour, la plupart des instituts rangent les deux candidats à un ou deux points d'écart. En revanche, le candidat socialiste reste inhabituellement haut pour un premier tour. Un résultat «forcément serré» De son côté, François Hollande sait depuis le début qu'il doit gérer une campagne où il ne peut que baisser dans les sondages. Les proches de François Hollande veulent dédramatiser l'enjeu. «François Hollande reste extrêmement haut. Sondages contradictoires. Présidentielle : Pourquoi François Hollande ne sera pas élu. Selon le modèle de prévision électorale de Bertrand Lemennicier, malgré ce que disent apparemment les sondages, la structure « bi-modale » du marché politique français rend improbable la victoire de François Hollande.Par Bertrand LemennicierArticle publié en collaboration avec l’Institut Turgot En 2012, se tiendra la dixième élection présidentielle de la Vème République française.

Face à Nicolas Sarkozy [2], qui devrait briguer un nouveau mandat de cinq ans, les socialistes, et donc François Hollande leur candidat, apparaissent – si l’on en croit les sondages – en position favorable pour l’emporter en particulier au deuxième tour. Ce candidat l’emporterait avec 57% des votes contre 43% à Nicolas Sarkozy [3]. Même son de cloche lorsque l’on se reporte aux paris sur les élections présidentielles de 2012.

La cote fractionnelle de François Hollande sur les paris de Londres est de ½, celle de Nicolas Sarkozy est de 6/4. L’élection de 2012 vue par l’analyse spatiale Revenons en arrière. Notes : Présidentielle : Pourquoi François Hollande ne sera pas élu. Bayrou, Hollande, Sarkozy : le match des projets. Petit bilan (subjectif) du mandat de Nicolas Sarkozy. Pour ceux qui ne l’ont pas vu, il n’est pas trop tard : regardez cet excellent documentaire de William Karel, diffusé le 21 décembre dernier sur Arte et qu’on peut encore retrouver sur Youtube. Looking for Nicolas Sarkozy est une rétrospective du bilan de Nicolas Sarkozy, à travers le regard de 18 correspondants de médias étrangers installés à Paris.

Ils sont interrogés très sobrement, face à la caméra, et leurs propos sont entrecoupés d’images d’archives retraçant cinq années de pouvoir sarkozyste. Un regard forcément subjectif, et parfois un peu décalé, puisque comme l’a relevé l’UMP, qui crie au lynchage, il est un peu cocasse de voir des journalistes chinois ou russes critiquer le président français alors qu’ils n’ont pas la possibilité de le faire en ce qui concerne leur propre pouvoir politique. Mais passons. Ce film reste intéressant car les journalistes étrangers ont probablement bien plus de recul que les journalistes français pour établir ce genre de bilan. Like this: