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Politique

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Peur du socialisme libéral ? Voilà que l’on s’affole. A droite comme à gauche, le «pacte de responsabilité» proposé par François Hollande suscite les commentaires des uns et provoque la désorientation des autres. Le Président esquisse un discours de vérité qui constitue une rupture. D’abord, dans sa manière de gouverner : il s’agirait enfin de faire correspondre les paroles aux actes et d’inscrire ceux-ci dans un récit qui fait sens. Ensuite, par rapport à un socialisme de gestion trop souvent honteux en même temps qu’inabouti. Ce socialisme tente de fabriquer des compromis entre les libertés et la solidarité, les dynamiques individuelles et les régulations collectives, les initiatives de la société civile et le volontarisme de l’Etat. S’agit-il d’un socialisme libéral ? Jean-François PASCAL Consultant en communication et ex-plume de Jean-Marie Bockel (sénateur puis secrétaire d’Etat)

Ryan, Christie, Rubio, Bush, Rice... Qui sont les candidats républicains potentiels à la présidentielle 2016? | USA 2012. >> A lire également: les principaux candidats potentiels du côté démocrate Barack Obama à peine réélu, les regards se tournent déjà vers la présidentielle de 2016. Cette élection sera particulière car elle verra s’organiser des «vraies» primaires à la fois côté républicain et côté démocrate, puisque la Constitution interdit à Barack Obama d’effectuer plus de deux mandats. Une multitude de prétendants à la fonction suprême devrait donc apparaitre. Tour d’horizon non exhaustif des possibles candidats du côté républicain. Déjà battu lors des primaires en 2008, Mitt Romney semble hors course pour 2016: depuis le début du XXème siècle, seul Richard Nixon a réussi à être élu président après avoir été vaincu une première fois. «Il y aura certainement un bien plus grand nombre de candidats expérimentés en 2016 [...]

Paul Ryan lors d'un meeting de campagne à Mansfield, le 4 novembre 2012. Chris Christie lors d'une conférence de presse devant un centre d'aide aux victimes de l'ouragan Sandy. Contre la proportionnelle! Avec le ralliement, dimanche 19 février, de Nicolas Sarkozy, les six candidats à l'élection présidentielle qui se détachent dans les sondages d'intentions de vote sont désormais tous favorables pour les élections législatives à une dose (plus ou moins forte) de proportionnelle, voire à la proportionnelle intégrale (Marine Le Pen, Jean-Luc Mélenchon, Eva Joly).

À titre personnel, j'y demeure opposé. Un mode de scrutin doit répondre à deux exigences: - permettre de dégager une majorité parlementaire - permettre l'expression du pluralisme des opinions La solution résulterait donc dans un mode de scrutin qui mixte les deux. Or, je n'y suis pas favorable, car tous les députés ne seraient plus élus de la même façon. En 2007, François Bayrou avait d'ailleurs théorisé cette différence: "Je propose d’attribuer 50% des sièges par circonscription – des députés qui représentent les territoires; et 50% des sièges à la proportionnelle par liste nationale, comme en Allemagne (1).

Dès lors, quelle solution? C.N.C.C.F.P. - Douzième rapport d'activité - 2009. Adopté par la commission en sa séance du 25 janvier 2010 La Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques (CNCCFP) a été créée par la loi n° 90-55 du 15 janvier 1990 relative à la limitation des dépenses électorales et à la clarification du financement des activités politiques. Elle a été mise en place le 19 juin 1990. La loi du 15 janvier 1990 définit la commission comme un organisme collégial. Le Conseil constitutionnel a précisé que la commission est une « autorité administrative et non une juridiction » (décision 91-1141 du 31 juillet 1991). Le Conseil d’état dans son rapport public 2001 a classé la commission dans les autorités administratives indépendantes, statut qui a été juridiquement consacré par l’ordonnance n° 2003-1165 du 8 décembre 2003 portant simplifications administratives en matière électorale.

La commission a été renouvelée par décret du 19 avril 2005. Membres du Conseil d’état : M. Les membres de la commission ont élu le président, M. La "Déclaration de Manhattan": le manifeste qui secoue l'Amériqu. Elle a été signée par des leaders catholiques, protestants, orthodoxes, unis pour défendre la vie et la famille. Avec la Maison-Blanche ans dans le collimateur. En Europe elle aurait été qualifiée d'"ingérence" politique de l’Eglise par Sandro Magister ROME, le 25 novembre 2009 – De ce côté-ci de l'Atlantique, l’information est passée presque inaperçue: un vigoureux appel public pour défendre la vie, le mariage, la liberté religieuse et l'objection de conscience, lancé conjointement – c’est rare – par des personnalités de tout premier plan de l’Eglise catholique, des Eglises orthodoxes, de la Communion anglicane et des communautés évangéliques des Etats-Unis.

Parmi les leaders religieux qui ont présenté l'appel au public, vendredi 20 novembre au National Press Club de Washington (photo), il y avait le cardinal Justin Rigali, archevêque de Philadelphie, Donald W. La rédaction finale du texte a été confiée au catholique Robert P. Et tout de suite après : Et c’est vrai. Ce n’est pas tout. La démocratie : une idée neuve ? Personnalisme.

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