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Les juristes sous l'Occupation

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Persée : Portail de revues en sciences humaines et sociales. Les facs sous Vichy: étudiants ... Décryptage du forum "Livres de guerre" Le Glossaire de Francis a trouvé : Dans ce texte : Armistice ou capitulation à merci de Jacques Ghémard le samedi 14 août 2004 à 17h48 Page 304 et suivantes du livre "Le Véritable Procès du Maréchal Pétain", à propos d'une lettre "Datée de Vichy, le 29 mai 1941, elle émane du professeur Basdevant, de la Faculté de droit de Paris, jurisconsulte du ministère des Affaires étrangères " Monsieur le Maréchal, J'ai l'honneur de vous rappeler que vos prédécesseurs ont bien voulu me désigner pour donner des consultations juridiques au ministère des Affaires étrangères, en qualité de jurisconsulte de ce département, et qu'en octobre dernier, votre ministre des Affaires étrangères et votre secrétaire d'Etat à l'Instruction publique m'ont retenu à Vichy pour continuer à remplir ce rôle, plutôt que de me laisser reprendre mon enseignement : je me suis conformé à leur décision.

A chacun sa manière de traduire un semblable sentiment : après le professeur Basdevant, le général Weygand. Amicalement Jacques. Basdevant29mai1941.pdf (Objet application/pdf) Danièle Lochak: La doctrine sous Vichy ou les mésaventures du positivisme. Ressources documentaires sur le génocide nazi / Documentary Resources on the Nazi Genocide © Michel Fingerhut, auteurs et éditeurs, 1996-8. Troper.pdf (Objet application/pdf) Robes noires, années sombres: La Résistance dans les milieux judiciaires - Liora Israël. Occupation : l'Ordre des avocats de Paris reconnaît sa faute. Mercredi 05 Octobre 2011 07:00 LE MONDE DU DROIT À l’occasion du 71e anniversaire de la loi de Vichy interdisant l’exercice de la profession d’avocats aux juifs, le bâtonnier de Paris, Jean Castelain, accompagné des membres du Conseil de l’ordre, s’est rendu au Mémorial de la Shoah, lundi 3 octobre 2011. À À cette occasion, le bâtonnier Jean Castelain, revenant sur l’attitude du Conseil de l’ordre sous l’occupation, a déclaré : "On n’échappe pas à ses responsabilités par quelque artifice de langage.

Je souhaite aujourd’hui dire clairement, afin qu’il n’y ait aucun doute dans l’esprit de quiconque, qu’en abandonnant à leur sort nos confrères juifs, notre Ordre a commis une faute dont il répond devant l’Histoire et qu’il a manqué aux principes fondamentaux sur lesquels il repose. Il fait ici et aujourd’hui amende honorable par ma voix ". Persée : Portail de revues en sciences humaines et sociales.