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Le Centre

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Politique : Borloo installe l'UDI, «l'UDF du XXIe siècle» L'Union des démocrates et indépendants tenait dimanche à Paris son assemblée constituante. Son président assure représenter «le véritable seul espoir». Jean-Louis Borloo s'est offert un beau dimanche. Au milieu de la grande salle de la Mutualité de Paris, pleine à craquer, le président de l'UDI a réussi le lancement de son nouveau parti. Au moins en terme d'image. Arrivée au bras de «Madame Simone Veil» - applaudie par une salle debout -, Jean-Louis Borloo savoure le moment.

Le serment de la Mutualité Dans son discours d'ouverture pour cette journée, Hervé Morin, président du Nouveau Centre, l'avait juré: «Non, l'UDI, ce n'est pas l'enterrement de nos familles et de nos sensibilités libérales, radicales, démocrates-chrétiennes. Élu officiellement à l'unanimité par ses 300 membres fondateurs «président» du nouveau parti centriste dimanche matin avant la réunion publique, Jean-Louis Borloo a précisé la difficile question des alliances qui empoisonne la vie du centre depuis vingt ans. Les centristes pourraient perdre leur groupe à l'Assemblée, Législatives 2012.

Définitions du centre

Centristes : tristes tropismes - VIE POLITIQUE. Bienvenue sur le blog Alliance centriste : Le Centre pour Jean-L. L'électorat centriste existe mais la bipolarisation domine le pa. Le mois de juin est particulièrement chargé pour toutes les nuances de la palette « centriste » : courrier adressé vendredi 4 juin aux adhérents du MoDem par François Bayrou, organisation mardi 8 au Sénat d'Assises de la refondation du centre par Jean Arthuis, congrès du Nouveau Centre, ce week-end des 12 et 13 juin, à Tours, puis « États généraux des centristes de l'UMP » à l'Assemblée nationale la semaine prochaine. Il y a huit ans, tous appartenaient pourtant à la même formation politique : l'UDF. Au sein même de la majorité présidentielle, les ex-UDF sont « éparpillés façon puzzle », comme le souligne le sénateur de centre droit Nicolas About en reprenant un dialogue de Michel Audiard.

Au-delà de la multiplication des structures, La Croix a analysé les raisons pour lesquelles le centre peut, ou non, se faire, ou se refaire, une place sur l'échiquier politique. • La bipolarisation • Le double «grignotage» • La concurrence d'Europe Écologie • La droitisation de l'UMP Laurent de BOISSIEU. C’est quoi, c’est où, c’est qui le centre ? Et le code génétique centriste ? : L'Hérétique (Démocratie et hé. Comme beaucoup d'internautes attirés par la théorie politique, j'ai pris connaissance de la passe d'armes qui a opposé Jean-François Kahn et François Bayrou quant à la définition d'un centre. Je pense que pour compléter le panorama, il faudrait aussi lire le billet de Laurent de Boissieu, journaliste à La Croix et expert ès centre et théories du centre.

D'ailleurs, dès qu'il y a un grand rassemblement centriste, il couvre généralement l'évènement. En fait, je crois que je ne suis d'accord avec aucun des trois. Kahn voit le centre comme un milieu, un mi-chemin entre deux extrémités. Il appelle à inventer un ailleurs qui soit une alternative à la politique et au monde tels qu'on les connaît aujourd'hui. Bayrou lui réplique que l'ailleurs existe et qu'il rentre dans la définition du centre telle qu'il la propose. Eh bien pour ma part, et je plussoie Jean Arthuis, je pense qu'il existe un code génétique du centre au même titre que ceux de droite et de gauche qu'évoque François Bayrou. Bockel rejoint Borloo et Morin au sein de l'Alliance républicaine. Bon anniversaire, Bernard Stasi ! Dimanche prochain, le 4 juillet 2010, Bernard Stasi, tu vas avoir 80 ans. C’est l’âge des vieillards et pourtant, j’ai beaucoup de mal à t’imaginer comme une "personne âgée".

Tu es, avec Raymond Barre, l’une des personnalités politiques qui a solidement structuré mes convictions politiques. Tu n’es jamais avare de ton temps, de ta pédagogie, de ton empathie, quand il s’agit d’expliquer, d’argumenter, de convaincre, d’écouter. Ta foi et ta conviction, tu l’as prouvé, sont toujours passées avant ton ambition et les honneurs. C’est d’ailleurs dommage. Quelques mois seulement ministre à l’âge de quarante-deux ans sous Georges Pompidou et rien sous Valéry Giscard d’Estaing, rien sous François Mitterrand malgré ta nature propre au consensus, rien sous Jacques Chirac malgré une amitié de plus de trente ans. Enfin, pas vraiment "rien"… Je t’ai rencontré pour la première fois en 1988 en Bretagne et j’ai eu l’occasion de te revoir assez souvent à l’occasion de plusieurs universités politiques.

Maxime Verner, 21 ans, candidat à l'élection présidentielle. Maxime Verner, en 2010 (DR). A côté de lui, Jean Sarkozy, conseiller général de 24 ans, manquerait presque d’ambition. Agé de trois ans de moins, Maxime Verner entend se présenter à la prochaine élection présidentielle. A part leur jeunesse, pas grand-chose ne rapproche d’ailleurs ces deux jeunes gens, surtout pas l’origine sociale.

Le premier est né à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine) et a pour père le président de la République. Le second vient de Bron (banlieue de Lyon) et est le fils d’un chauffeur de taxi. Quand il arrive ce lundi matin dans les studios de « La Matinale » du Mouv, dont Rue89 est partenaire, Maxime Verner (prononcer « Vernère ») ressemble, lui aussi, à la caricature du jeune loup tête à claques. La main est dans la poche, le cheveu ramassé en arrière, la voix aiguë mais assurée, le pull en col V sur une chemise blanche... « Si les Français votent pour vous à plus de 50% ... » « Sarkozy tient à vous adresser ses encouragements » « Il sait appuyer sur les bons leviers »

Barack Obama ou les vertus du centrisme. Compromis ou trahison ? Entre la pureté des idéaux et des programmes, d'un côté, et, de l'autre, les laborieuses synthèses qu'impose la politique au jour le jour, que choisir ? Barack Obama a tranché : l'intérêt général, celui d'une majorité d'Américains, supposait qu'il cède du terrain aux républicains, même sur un sujet qui relève de la TNT politique - les impôts des riches. Il l'a fait. La gauche démocrate est furieuse, mais le président a raison. En dépit d'une bronca d'une partie des élus démocrates, le Sénat a voté, lundi soir 13 décembre, le compromis budgétaire conclu entre la Maison Blanche et les républicains. Première leçon politique de l'épisode : les républicains, sortis renforcés du scrutin législatif de novembre, font sentir leur poids, avant même la réunion du nouveau Congrès, en janvier. La bataille a porté sur la reconduction pour deux ans des réductions d'impôts consenties par George W.

Sous la pression républicaine, M. La question est de savoir ce que M. Adrien Zeller, le centriste alsacien atypique, personnaliste et européen - Sylvain Rakotoarison sur LePost.fr. La France a perdu l’an dernier un personnage très spécifique du paysage politique, dont l’ambition était focalisée avant tout sur les actes et pas sur une carrière personnelle qu’il aurait pu juger dérisoire.

Il y a juste un an, le 22 août 2009, le président du Conseil régional d’Alsace Adrien Zeller disparaissait à 69 ans d’un second accident cardiaque à l’hôpital d’Haguenau. Le premier l’avait conduit à un coma artificiel le 14 juillet 2009. Plus de mille cinq cents personnes ont assisté à son enterrement les 26 août 2009 à Saverne et 27 août 2009 à Strasbourg avant l’adieu définitif sous l’Ode à la Joie de la 9e Symphonie de Beethoven.

Proche et à l’écoute J’ai eu la grande chance d’avoir rencontré à plusieurs reprises Adrien Zeller, souvent dans des situations à la fois politiques et détendues. Simple car proche des personnes avec qui il était dans l’instant présent. Atypique car il est assez difficile d’étiqueter Adrien Zeller. Centriste mais particulier Agronome et économiste. Tout ce que vous voulez savoir (ou pas) sur la confédération des centres sans oser le demander. Une motion approuvant "l'adhésion du Nouveau Centre, membre fondateur, à la confédération des centres" devrait être approuvée ce samedi à l'occasion d'un conseil national du parti présidé par Hervé Morin. Explications sur cette confédération. 1) Qui?

Les partis politiques fondateurs pressentis sont: le Nouveau centre (Hervé Morin, ex-UDF).le Parti radical (Jean-Louis Borloo, ex-UDF, ex-UMP), qui se prononcera les 14-15 mai parallèlement à la rupture de son contrat d'association avec l'UMP.la Gauche moderne (Jean-Marie Bockel, ex-PS), qui se prononcera le 28 mai.peut-être l'Alliance centriste (Jean Arthuis, ex-UDF, ex-MoDem), qui se prononcera le 2 juillet.sans doute Alternative libérale. La nouvelle structure aura trois catégories de membres: partis politiques (Nouveau centre, Parti radical, Gauche moderne...).clubs politiques associés (Convention démocrate d'Hervé de Charette, Jeunes centristes...).adhérents directs (personnes physiques n'appartenant à aucun autre parti politique). 2) Quoi? Statuts et charte de la confédération du centre-droit. Centre: la désinformation par les sondages. C'est à la mode: sonder les Français en leur demandant qui est selon eux le meilleur candidat du centre à l'élection présidentielle de 2012.

François Bayrou? Dominique de Villepin? Jean-Louis Borloo? Hervé Morin? Quel dommage de perdre de l'argent à commanditer et du temps à commenter des sondages aussi déconnectés de la réalité du paysage politique français. Qu'on en juge: - François Bayrou (MoDem, ex-UDF) est dans l'opposition - Hervé Morin (Nouveau Centre, ex-UDF) appartient à la majorité de droite - Jean-Louis Borloo (UMP-Parti Radical, ex-UDF) et Dominique de Villepin (UMP / République Solidaire, ex-RPR) appartiennent non seulement à la majorité de droite mais également à l'UMP Bref, rien de commun en ce qui concerne le positionnement politique de ces quatre soi-disant "centristes", et donc rien à tirer de ces sondages ridicules!

Quant à ces quatre personnalités, voici quelles seraient selon moi les questions à poser conformes à la réalité politique: 1) Quel candidat du centre en 2012: Ces centristes qui ont fait l'Histoire. [N'ayant pas encore eu le temps de rédiger, en argumentant, ma liste précise de points de désaccords avec Jean-Pierre Rioux, je publie en attendant ma recension parue ce jeudi dans La Croix] L'historien Jean-Pierre Rioux, proche de François Bayrou, dresse une galerie de portraits des centristes depuis la Révolution française Face à la droite (René Rémond) et à la gauche (Jean Touchard, Jean-Jacques Becker et Gilles Candar), qui ont leurs historiens de référence, le centre fait un peu figure d'oublié. Une lacune que contribue à combler Jean-Pierre Rioux, directeur de la revue d'histoire Vingtième siècle (et collaborateur de La Croix), en publiant fort opportunément un ouvrage sur Les Centristes, de Mirabeau à Bayrou.

Comme il le précise lui-même en introduction, il s'agit davantage d'un essai que d'une publication scientifique, l'auteur ayant visiblement coiffé dans son travail d'écriture autant sa casquette d'historien de renom que celle d'animateur de l'université populaire du MoDem. Jean-Pierre Rioux, les centristes et l'UDF. Ne parvenant pas à trouver le temps de boucler la liste précise de mes points de désaccord avec Jean-Pierre Rioux (Les centristes, de Mirabeau à Bayrou, Fayard), voici déjà ceux concernant l'UDF.

Jean-Pierre Rioux intitule un chapitre "le havre giscardien", qu'il commence par cette affirmation: "Sortis affaiblis et désemparés de la tourmente gaulliste, les centristes ont gagné un havre de grâce sous le septennat de Valéry Giscard d'Estaing, de 1974 à 1981" (page 176). Afin de qualifier cette période qu'il estime positive pour le centre, l'historien va même jusqu'à parler des "jours heureux du giscardisme" (page 259). Or, selon moi, le septennat giscardien a, bien au contraire, marqué l'éclipse du centre en France à travers le ralliement à la droite de l'ancien centre d'opposition, qui, en devenant une partie de la droite, n'est logiquement plus un centre. Le plus étrange, c'est qu'au fil des pages Jean-Pierre Rioux ...me donne raison et, donc, se contredit!

Le centre : mirage ou réalité ? Six arguments qui plaident pour et contre l'existence d'un centre indépendant de la droite et de la gauche dans la vie politique française La bipolarisation La bipolarisation s'est imposée en 1974, lorsque l'ancien centre d'opposition (Jean Lecanuet, Jean-Jacques Servan-Schreiber) a rallié la nouvelle majorité présidentielle de Valéry Giscard d'Estaing. Le principal élément qui joue en faveur du maintien de cette bipolarisation droite-gauche est le scrutin uninominal majoritaire à deux tours (avec un relèvement progressif du seuil de qualification au second tour).

En vigueur aux élections législatives, il se présente en effet comme un mode de scrutin d'alliance au second tour, donc défavorable à la renaissance d'un centre indépendant de la droite et de la gauche, de l'UMP et du PS. Or, c'est justement ce mode de scrutin qui devrait être adopté pour les futures élections territoriales. Le double "grignotage" La concurrence d'Europe - Écologie La droitisation de l'UMP. Les centristes de Mirabeau à Bayrou. Foire aux questions sur le centre. Le débat est récurrent: je l'ai régulièrement - depuis 2008 - avec un député Nouveau Centre, je l'ai encore eu jeudi dernier, dans le contexte du " dîner de la République " de Jean-Louis Borloo, avec un sénateur Nouveau Centre, et mon dernier papier l'a relancé par SMS avec un proche d'Hervé Morin, à qui je dédie donc cette petite "foire aux questions sur le centre"!

1. Qu'est-ce que le centre? 2. Y-a-t-il toujours eu un centre en France? 3. 4. 5. 6. 7. 8. 1. Le centre, la droite et la gauche ne signifient idéologiquement rien: il ne s'agit que d'un positionnement géographique au sein d'une assemblée. Bien entendu, à un moment donné et dans un État donné le centre, la droite et la gauche possèdent un contenu idéologique; mais dans l'absolu, c'est-à-dire sans double contextualisation spatiale et temporelle, le centre, la droite et la gauche ne signifient rien. 2.

Non, il n'y a pas toujours eu un centre en France! - 1893-1899 (famille idéologique au centre: libéraux) 3. 4. 5. 6. 7. 8. _ump_udf_nouveau_centre. J'ai écrit le 25 novembre une note expliquant pourquoi la situation ne peut pas se débloquer entre Jean-François Copé et François Fillon . Je persiste et signe. La question de fond n'est pas tant la date du prochain vote pour la présidence de l'UMP, mais - on y revient toujours - la nature de ce vote , et donc le nom de celui qui occupe d'ici là le poste de président de l'UMP: - Pour François Fillon, il s'agit d'un nouveau vote annulant et remplaçant le scrutin du 18 novembre .

L'ancien Premier ministre estime donc que la présidence de l'UMP est actuellement vacante et que le parti doit être provisoirement géré par une direction collégiale. . - Pour Jean-François Copé, accepter l'idée d'une vacance de la présidence (avec une direction collégiale provisoire) est inacceptable, car ce serait délégitimer sa victoire du 18 novembre. . - En droit c'est lui le président de l'UMP. François Bayrou, centre démocrate ou centre républicain ? : iPol.

Vendredi dernier, j'avais commencé à rédiger une note expliquant en quoi, en l'état actuel , il me semblait faux de parler de "recentrage" de François Bayrou. Je regrette beaucoup de n'avoir pas eu le temps de la finir et de la publier, puisque le jour même le président du MoDem écrivait une lettre aux adhérents afin de réaffirmer que "l'article premier de tout acte d'existence du centre, c'est l'indépendance". Entre les élections européennes de 2009 et les élections régionales de 2010 , François Bayrou avait, certes, amorcé un mouvement vers la conclusion d'alliances ciblées avec la gauche au second tour des régionales.

Mais, en raison de l'échec du MoDem au premier tour (plus de 10% des suffrages exprimés dans une seule région, entre 5 et 10% dans trois régions), la question ne s'est finalement même pas posée. Comme un remake des élections municipales de 2008 à Paris... Personnellement, je ne crois pas à ce scénario. En fait, deux Bayrou semblent s'affronter dans ce texte. Bayrou : « Il n'est pas question que je me rallie aux uns ou aux.

Mouvement MV2. Du Fromantin dans un monde global. A Neuilly, le maire résiste au Président.