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Assurance emprunteur (F-UK)

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Untitled. Les bénéficiaires d'une offre de prêt auront le droit de renégocier pendant un an l'assurance couvrant leur emprunt, a annoncé Benoît Hamon, ministre de la Consommation, le 9 décembre 2013. En retenant cette option, le gouvernement a choisi une voie médiane entre l'immobilisme et la révolution. Certaines associations de consommateurs réclamaient le droit de résilier une fois par an, voire à tout moment, une assurance de prêt.

A l'opposé, les banques et les assureurs plaidaient pour un délai de réflexion limité à trois mois après la souscription effective du prêt, c'est-à-dire à la signature de l'acte notarié, comme le préconisait aussi le rapport de l'inspection générale des finances (Igf) remis fin novembre à Benoît Hamon pour l'épauler dans sa réforme. Les professionnels ont donc été déçus par l'annonce du ministre, liée à la deuxième lecture à l'Assemblée du projet de loi à la consommation. «Le gouvernement ouvre une brèche avec ce coup de canif, estime un représentant des banques. Payment protection insurance. LONDRES, 2 nov 2012 - : GB: la facture du scandale des ventes forcées d'assurance atteint des sommets. Trois des plus grandes banques du pays ont passé cette semaine de nouvelles provisions dans leurs comptes du troisième trimestre pour faire face aux plaintes de leurs clients : 700 millions de livres pour Barclays mercredi, 1 milliard pour Lloyds Banking Group jeudi et 400 millions pour Royal Bank of Scotland (RBS) vendredi.

Le montant total des provisions a donc dépassé la barre des 10 milliards de livres en atteignant 10,8 milliards (près de 13,5 milliards d'euros). La facture la plus élevée est celle de Lloyds, qui a mis de côté 5,3 milliards de livres, suivie par Barclays avec 2 milliards. Selon les derniers chiffres de l'Autorité britannique des marchés financiers (FSA), le montant remboursé aux plaignants a déjà atteint 6,5 milliards. "Les banques ont nié la véritable ampleur de ce scandale" qui "est désormais le plus grand scandale financier de vente forcée de tous les temps", dénonce de son côté Peter Vicary-Smith, directeur de l'association de consommateurs Which'.

Par. What the court’s ruling on PPI means for you. Issue 93 - ombudsman news "Q&A" page. Issue 93 April / May 2011 ombudsman news "Q&A" page What is the latest situation with the judicial review on payment protection insurance (PPI)? Judgment was handed down by the High Court in London on 20 April 2011, following the legal challenge ('judicial review') brought by the British Bankers Association (BBA) - on behalf of a number of high-street banks - against the Financial Ombudsman Service and the FSA on the approach to handling PPI complaints. The judgment endorses the approach taken by the ombudsman and the FSA. The banks have 21 days to consider whether to appeal.

The ombudsman service continues to handle large volumes of PPI complaints from consumers. The lack of co-operation from some financial businesses has made it difficult to progress PPI cases since the launch of this legal challenge. I read in the last Ombudsman news that you are working on a re-vamped version of your consumer leaflet. Previous article » How to claim for mis-sold PPI. Assurance-emprunteur : le scandale qui pourrait couler les banques françaises. A lire aussi dans le même dossier : Plus d'un Français sur deux n'a pas confiance dans la solidité des banques. 2008-2012 : les leçons que les banques devraient tirer de la crise pour se réinventer Coup de tonnerre dans le paysage bancaire français : lundi 23 juillet, le Conseil d’Etat a donné raison à l’association «UFC Que choisir?»

Dans son recours contre la réglementation en vigueur dans le domaine de l’assurance emprunteur. Cette décision capitale et assez inattendue permet à tous les emprunteurs de France et de Navarre de réclamer à leurs banques les surfacturations pratiquées par celle-ci avant 2007 dans leur contrat d’assurance-vie contracté à l’occasion d’un emprunt. Une peccadille de 15 milliards d’euros au moins. C’est un dossier technique que le Conseil d’Etat a tranché avec fracas lundi dernier : celui de l’assurance-emprunteur. Pour parvenir à ce petit montage fructueux, les banques ont bénéficié d’une discrète bénédiction donnée par Pierre Bérégovoy en 1984.