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Notions: économie

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Dividende. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un dividende versé sous forme d'actions permet de donner le choix à l'actionnaire de percevoir le dividende en numéraire (dans l'optique d'investir ce dividende ailleurs) ou de l'utiliser pour racheter des actions de l'entreprise (avec une décote maximum de 10% par rapport au cours moyen des 20 dernières séances). Dans ce dernier cas, cela permet à l'entreprise d'atténuer sa sortie de trésorerie (on peut décomposer le dividende versé sous forme d'action en un versement de dividende en numéraire suivi d'une augmentation de capital), et cela permet à l'actionnaire de réinvestir, sans frais de courtage, le montant du dividende dans l'entreprise.

Les dividendes servent à rémunérer les actionnaires. Ils sont en général distribués à partir du bénéfice net de l'exercice clos, mais peuvent également être prélevés sur les bénéfices mis en report à nouveau ou en réserves[1]. Modalités[modifier | modifier le code] A possède 10 actions, soit 110€. Partenaires sociaux.

Origines de l'expression Les partenaires sociaux désignent les représentants des forces sociales du pays : les syndicats de travailleurs et les représentants des dirigeants d'entreprise. Le terme de "dialogue social" apparaît pour la première fois en 1984 dans le cadre de la construction européenne. Cette année-là, le ministre français des relations extérieures, Claude Cheysson, prononce un discours au parlement européen de Strasbourg dans lequel il déclare : "La présidence française prendra les initiatives nécessaires pour chercher, avec les partenaires sociaux, le moyen de renforcer le dialogue social au niveau européen".

Le terme va ensuite être repris par d'autres acteurs et son usage va se généraliser pour caractériser les relations socio-professionnelles. Des acteurs aux objectifs contradictoires Lorsque les syndicats de travailleur et le patronat entament des discussions, les négociations sont souvent difficiles car ils défendent chacun des intérêts différents.

Épargne salariale. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'épargne salariale est, pour le droit français, l'ensemble des dispositifs permettant aux salariés d'être associés financièrement à la bonne marche de leur entreprise et/ou de se constituer une épargne avec l'aide de celle-ci. Les montants annuels et dispositifs d'épargne salariale[modifier | modifier le code] L'épargne salariale est un phénomène important en France. Elle représentait en 2005 une distribution annuelle (donc un supplément) de 14,5 milliards d'euros pour 6,6 millions de personnes[Ref 1]. Sous ce terme sont réunis en réalité quatre procédés juridiques et financiers différents : la participation aux bénéfices ;l'intéressement ;l'achat d'actions par les salariés, notamment lors de la privatisation de leur entreprise (ORS) ;l'attribution gratuite d'actions aux salariés (PAGA) ;les plans d'épargne salariale stricto sensu.

Participation aux bénéfices (France)[modifier | modifier le code] Intéressement[modifier | modifier le code] Valeur ajoutée. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir VA. En comptabilité, la valeur ajoutée (VA) est une notion qui s'efforce de mesurer la valeur économique ajoutée par l'activité d'une entreprise. L'Insee la définit comme le « solde du compte de production. Elle est égale à la valeur de la production diminuée de la consommation intermédiaire[1]. » Cette grandeur réputée pour être une mesure plus pertinente de l'augmentation de la richesse explique que l'Administration Fiscale utilise volontiers la valeur ajoutée comme assiette de l'impôt (voir en particulier la TVA).

Les agents économiques qui créent de la valeur sont les entreprises, les organisations, ou encore le secteur public. Le calcul de la VA nécessite parfois des approximations ou des conventions, lorsque la valeur de certaines consommations intermédiaires n'est pas connue, ou lorsque la production n'est pas vendue (services non marchands : une partie du service public, de l'économie sociale…).

Taux de marge. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le taux de marge (ou markup) désigne le pourcentage de gain (ou de perte) réalisé par une entreprise ou un secteur économique. Il en existe deux définitions : en comptabilité, il s'agit de comparer l'excédent brut d'exploitation à la valeur ajoutée ; en mercatique, il s'agit de comparer un gain (ou une perte) à un cout d'achat ou de production. Comptabilité[modifier | modifier le code] En comptabilité, le taux de marge mesure le pourcentage de la valeur ajoutée conservé par les entreprises après versement des coûts salariaux et des impôts liés à la production ; il permet donc de suivre le partage de la valeur ajoutée entre les salariés et l'entreprise.

Le taux de marge se calcule en divisant l'excédent brut d'exploitation (EBE) par la valeur ajoutée[1] : Gestion[modifier | modifier le code] En mercatique, le taux de marge se calcule en divisant la marge commerciale par le cout d'achat hors taxe des marchandises vendues. Portail de l’économie. Grand compte. Chiffre d'affaires. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Enjeux du chiffre d'affaires[modifier | modifier le code] À lui seul, le chiffre d'affaires ne permet pas d'évaluer l'entreprise. Son niveau dépend en effet de la nature de son activité. Cependant, c'est un outil de comparaison pratique entre entreprises d'un même secteur d'activité. La variation du chiffre d'affaires d'une entreprise est en revanche un indicateur analytique intéressant. Démarche d'utilisation[modifier | modifier le code] Les plus importants chiffres d'affaires en 2005[modifier | modifier le code] Voir aussi[modifier | modifier le code] Articles connexes[modifier | modifier le code] Portail du management.

Taux de pénétration du marché. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Introduction[modifier | modifier le code] Les politiques généralement reconnues pour le lancement d’un produit sont les politiques d’écrémage et de pénétration. Dans le cas d’une politique de pénétration, au contraire d'une politique d'écrémage, le produit est introduit à un prix intentionnellement bas, voire agressif, afin de conquérir rapidement une part importante du marché. Cette politique doit s'appuyer sur une bonne maîtrise des coûts et la capacité de l'entreprise à baisser encore ceux-ci en exploitant la courbe d'expérience et les économies d'échelle, notamment si le marché est en croissance rapide. Elle a pour principal avantage de dissuader l'apparition de nouveaux concurrents qui seront découragés devant la faiblesse des marges possibles.

Le taux de pénétration diffère de la part de marché qui est la part de chiffre d'affaires de chaque fournisseur par rapport au total des ventes de l'ensemble de ceux-ci, sur une année par exemple.