background preloader

IPSOS

Facebook Twitter

La génération Y est-elle si mal-aimée au travail ? "La génération Y en entreprise : entre désamour et volonté de reconnaissance"... Le titre de la 4ème vague de l'Observatoire Social de l'Entreprise en dit long. Les 17-30 ans laissent perplexes les chefs d'entreprise comme les salariés au travail. Réputés difficile à intégrer dans l'entreprise, rebelle, la Génération Y nécessiterait une adaptation voire la formation des managers... L'Observatoire social des entreprises a tâché de savoir si cette image négative reflète vraiment la réalité des entreprises. Elle conclut que finalement, les jeunes ne seraient pas si mal aimés, si ce n'est de leurs collègues plus âgés.

Pourtant ils partagent plus de points communs qu'il n'y paraît. Surtout mal-aimée des autres salariésPremier enseignement du rapport de l'OSE : "si les jeunes salariés sont jugés très durement, c'est bien plus par les autres salariés que par les chefs d'entreprise". Une génération surtout incomprise © goodluz - Fotolia.com. La génération Y en quête de reconnaissance dans l'entreprise. Si les jeunes salariés sont jugés très durement, c’est bien plus par les autres salariés que par les chefs d’entreprise. Les chefs d’entreprise ont en ce qui les concerne une image plutôt positive des jeunes salariés. Une majorité relative d’entre eux considère qu’ils ne se distinguent pas véritablement des autres salariés : ils ne seraient ni plus ni moins ambitieux (38%), individualistes (38%), motivés (32%), enthousiastes (35%), polyvalents (36%) ou efficaces (42%) que les autres.

Quand ils pensent qu’ils se distinguent des autres, c’est plutôt en bien : 33% d’entre eux jugent qu’ils sont plus ambitieux (contre 21% moins), 31% qu’ils sont plus motivés (contre 30% moins, la différence étant simplement symbolique), 30% plus enthousiastes (contre 27% moins) et plus polyvalents (contre 27% moins). C’est tout le contraire chez les salariés : à leurs yeux les jeunes salariés se distinguent en effet plutôt en mal. La génération Y : une génération de la crise Cf. Génération Y (- de 30 ans): vous êtes individualistes, ambitieux mais... pas motivés! La "génération Y" des moins de 30 ans n'est pas très bien perçue par les salariés plus âgés qui jugent ses représentants plus ambitieux et individualistes, et moins efficaces et motivés, selon un sondage Ipsos rendu public lundi. Selon cette enquête réalisée pour le Cesi en partenariat avec le Figaro et BFM, 55% des salariés de plus de trente ans jugent leurs nouveaux collègues plus "ambitieux" et 58% plus "individualistes" qu'eux-mêmes.

Ils sont aussi dépeints comme "moins efficaces" (48%), "moins motivés" (46%), "moins enthousiastes" et "moins polyvalents" (44%). Les "Y" pensent le contraire De leur côté, les "Y" (la lettre "y" pour symboliser la conjonction anglaise "why", "pourquoi" en français) se voient comme plus polyvalents, plus motivés, plus efficaces, plus enthousiastes, mais admettent être plus individualistes et plus ambitieux. Les mêmes attentes Moins positifs quant à l'économie Envie d'un mouvement social. La génération Y irrite quelque peu ses aînés en entreprise selon un sondage.

La génération Y jugée ambitieuse et individualiste par ses aînés. La "génération Y" des moins de trente ans n'est pas très bien perçue par les salariés plus âgés, qui jugent ses représentants plus ambitieux et individualistes, et moins efficaces et motivés, selon un sondage Ipsos rendu public lundi 16 janvier. Selon cette enquête réalisée pour le CESI en partenariat avec Le Figaro et BFM, 55 % des salariés de plus de trente ans jugent leurs nouveaux collègues plus "ambitieux" et 58 % plus "individualistes" qu'eux-mêmes. Ils sont aussi dépeints comme "moins efficaces" (48 %), "moins motivés" (46 %), "moins enthousiastes" et "moins polyvalents" (44 %). De leur côté, les "Y" (la lettre "y" pour symboliser la conjonction anglaise "why", "pourquoi", en français) se voient comme plus polyvalents, plus motivés, plus efficaces, plus enthousiastes mais admettent être plus individualistes et plus ambitieux.

Malgré tout, plus de 70 % des patrons et salariés restent optimistes pour les six mois à venir sur le maintien de l'emploi. Génération Y. La génération Y irrite ses ainés en entreprise. La "génération Y" des moins de 30 ans n'est pas très bien perçue par les salariés plus âgés qui jugent ses représentants plus ambitieux et individualistes, et moins efficaces et motivés, selon un sondage Ipsos rendu public lundi.

Selon cette enquête réalisée pour le Cesi en partenariat avec le Figaro et BFM, 55% des salariés de plus de trente ans jugent leurs nouveaux collègues plus "ambitieux" et 58% plus "individualistes" qu'eux-mêmes. Ils sont aussi dépeints comme "moins efficaces" (48%), "moins motivés" (46%), "moins enthousiastes" et "moins polyvalents" (44%). De leur côté, les "Y" (la lettre "y" pour symboliser la conjonction anglaise "why", "pourquoi" en français) se voient comme plus polyvalents, plus motivés, plus efficaces, plus enthousiastes, mais admettent être plus individualistes et plus ambitieux.

Malgré tout, plus de 70% des patrons et salariés restent optimistes pour les six mois à venir sur le maintien de l'emploi. Les jeunes de la génération Y, un atout pour l'employeur. L'Observatoire social réalisé par Ipsos-Logica Business Consulting pour le Cesi, en partenariat avec Le Figaro et BFM, bat en brèche les idées reçues. La génération Y (les jeunes actifs de 18 à 30 ans) est-elle un atout ou un risque pour les entreprises? Existe-t-il pour les dirigeants, managers et DRH, comme une littérature abondante pourrait le laisser penser, un véritable «péril jeune» dans le monde du travail? «Dans les entreprises, les nouvelles recrues et jeunes diplômés se montrent vraiment très différents de leurs aînés.

On les accuse d'être exigeants, infidèles, peu malléables, et parfois même arrogants. Ce sont des virtuoses des logiciels informatiques, mais pas toujours très disciplinés», résument Marie Desplats et Florence ­Pinaud, auteurs de Manager la génération Y (Dunod). Le quatrième Observatoire social de l'entreprise mis en place par Ipsos pour le Cesi, dont Le Figaro et BFM sont, cette année encore, partenaires, bat en brèche nombre d'idées reçues. Comment les salariés de la génération Y sont perçus en entreprise. 01net. le 16/01/12 à 16h33 Le baromètre « sur la génération Y dans l’entreprise », réalisé par le CESI en partenariat avec BFM et Le Figaro, révèle la façon dont les moins de 30 ans sont perçus dans leur environnement professionnel, que ce soit par les chefs d’entreprise ou par leurs collègues. Intéressant également, le regard de cette génération sur les autres salariés de l’entreprise. Quelques enseignements de l’étude : Les chefs d'entreprise les apprécient La génération Y est jugée plus ambitieuse que la précédente par 33% des chefs d’entreprise (contre 21% moins), 31% estiment qu’elle est plus motivée (contre 30% moins) et 30% plus enthousiaste et plus polyvalente (contre 27% moins).

Les 30 ans et plus sont plutôt critiques La génération Y est considérée bien plus individualiste par 58% des salariés de plus de 30 ans. Les moins de 30 ans s’estiment meilleurs que leurs aînés La génération Y n’a guère de complaisance à l’égard de ses collègues plus âgés. Des priorités qui restent semblables. La génération Y irrite ses aînés en entreprise.