Centre-ville : améliorer l’accessibilité. Le Transport de Marchandises en Ville. La RATP a donc décidé de coopérer activement avec tous les acteurs impliqués dans la problématique du Transport de Marchandises en Ville (TMV) et de la Logistique Urbaine : les collectivités locales, les chargeurs, les logisticiens, mais aussi les institutionnels engagés dans la réflexion (Ministère, ADEME, CERTU...) .
La réflexion TMV est encore jeune et se concentre aujourd’hui sur des travaux de recherche. C’est pourquoi la RATP figure parmi les membres fondateurs de la Chaire de Logistique Urbaine (FRELON) de l’Ecole des Mines de Paris. >> Plus d’informations : www.frelon.mines-paristech.fr Pour traiter ces sujets, la Mission TMV de la RATP s’est également inscrite dans des programmes de recherches nationaux et européens.
Ainsi, elle participe à deux projets dans le cadre du PREDIT : >> Plus d'informations : www.projet-filet.fr >> Plus d’informations : www.projet-imotep.fr >> Plus d’informations : www.apur.org [This content is not available in English] L'invasion des grandes surfaces. Tous le déplorent : la périphérie caennaise ne sera bientôt plus qu'une couronne ininterrompue de grandes surfaces.
Dans les trois dernières années, 170 000 mètres carrés ont été autorisés dans l'aire urbaine, venant s'ajouter aux 360 000 mètres carrés de surfaces actuelles de plus de 300 mètres carrés. "Il y a un danger de cannibalisation des supermarchés existants avec des risques en termes d'emploi", déplore le maire d'Hérouville-Saint-Clair, Rodolphe Thomas (MoDem). "Si cela se poursuit, il y aura des morts", prévient Philippe Duron (PS). Reléguant au second plan le problème écologique, les élus de tous bords mettent en avant le danger économique tout en se réjouissant individuellement quand leur commune est choisie pour l'installation d'une enseigne. Les extensions des centres commerciaux Côte de Nacre et celui d'Hérouville, la création d'une galerie dans le programme Rives de l'Orne et d'un parc commercial près de l'hypermarché de Rots... Développement commercial en temps de crise.
Pourquoi, face à une période difficile ou délicate, certaines entreprises se mobilisent-elles autour de nouvelles ambitions, de nouveaux projets de développement, de nouveaux modèles de ventes, de nouveaux métiers, de nouveaux marchés, quand d'autres font le choix du ressentiment, du repli, du "sauve-qui-peut" ou du "chacun-pour-soi" ?
Comment impulser la confiance, la reprise, la volonté de bâtir du nouveau au sein des entreprises et des équipes pour leur permettre d'engager des projets commerciaux et de développement innovants, porteurs, fédérateurs et valorisants ? Comment faire d'une crise un moment de création et de redynamisation collectives, là où d'autres s'immobilisent ou se démobilisent ? Dans un contexte économique tendu, l'action du dirigeant et surtout sa capacité à vouloir apporter les bonnes réponses sont essentielles. Faire appel à des "leviers de motivation négatifs" (peur, crise, survie...) ne tient qu'un temps.
Les offres évoluent très rapidement. Formes de peuplement et inégalités de déplacements. L'évolution des mobilités quotidiennes dans deux périphéries populaires de Bogotá : Soacha et Madrid (1993-2009) La fluidité des déplacements quotidiens dépend de plusieurs facteurs.
Le premier est la facilité d’accès à la voirie et aux transports publics, pas toujours optimale en périphérie de Bogotá. La possession et l’usage d’un véhicule particulier, surtout motorisé, constituent d’autres facteurs. Ceux qui n’y ont pas accès se replient sur la marche à pied, les transports collectifs, ou plus rarement les taxis, dont le coût, le confort et la rapidité sont très variables. Enfin le lieu de travail ou d’étude est également important. La combinaison de ces différents facteurs dessine un tableau assez nuancé, où les plus mobiles ne sont pas forcément les plus avantagés : pour certains, condamnés à traverser la ville quotidiennement dans de mauvaises conditions, c’est même une contrainte permanente ; pour d’autres qui travaillent à domicile, l’absence de navettes pendulaires peut être un avantage.
L’inégale accessibilité à la voirie et aux transports publics Enquête METAL 2009. Alençon. Comment dynamiser le commerce en centre-ville ? Trois quarts du commerce en périphérie. Urbanisme commercial : quels outils pour structurer le commerce dans la ville ? Comment redynamiser le commerce dans un centre de proximité paupérisé ? - Centre-Ville en Mouvement. 1.
Présentation de Cran-Gevrier Localisation de Cran-Gevrier – 17 600 habitants Cran-Gevrier est une ville de 17 600 habitants située en Haute-Savoie. Cette ville est multipolaire avec un centre-ville représentant 50 % des points de vente et 4 quartiers. Ses atouts : - une forte volonté politique de construire la ville de demain, - une politique interventionniste sur le commerce, - un développement de la construction de logements (1 400 logements supplémentaires à l’horizon 2018) - une population proportionnellement jeune, - un tissu commercial quantitatif et qualitatif pour une ville de cette taille (120 commerces et services avec vitrines).
Ses contraintes :