Sujets de Bac. Manuel TES Nathan. SES PODCASTS – Avril 2020. Tous les chapitres en vidéo sur Inverseco (Terminale ES 2019-20) Comprendre des graphiques et tableaux (exercices corrigés) - partie 4. Quelles sont les limites de l'intégration économique et monétaire (exemple de la zone euro) ? Les inégalités économiques (SOCIOLOGIE) Conflits sociaux liés au travail et nouveaux mouvements sociaux (SOCIOLOGIE) Lutte contre les discriminations (discrimination positive) et justice sociale. L'environnement un bien commune en perdition. Comment mesurer la croissance économique ?
Lumni. Actes légilatifs UE. Pcp de subsidiarité. TUE. Classes sociales : un concept en voie de disparition. Alors que le Conseil supérieur des programmes se réunit depuis le 11 octobre pour discuter et voter les programmes destinés aux classes de seconde et de première au lycée, plusieurs associations de profs ou d’enseignants-chercheurs sonnent l’alerte.
L’ASES (association des sociologues du supérieur) comme l'APSES (association des professeurs de sciences économiques et sociales) dénoncent ainsi “la disparition programmée des classes sociales, des professions et catégories socio-professionnelles (anciennes CSP)”. Comprenez : leur disparition comme notions étudiées à l’école et donc comme outils pour “décrypter et comprendre les sociétés dans lesquelles nous vivons”. Les programmes officiels doivent être votés d’ici le 2 novembre, date à laquelle on saura si les jours des classes sociales sont comptés pour de bon. Mais en réalité, leur disparition prolongerait un effacement déjà largement amorcé depuis plusieurs décennies en France.
Cet effacement est le fruit d’un changement de paradigme. "Flexisécurité" : le modèle danois est-il transposable en France ? Danemark : le pays du plein emploi. Pour franceinfo, le respect de votre vie privée est une priorité. Les 10 dates clés de l’histoire du travail - Article. La réforme du code du travail, portée par la ministre du travail Myriam El Khomri fait débat.
Mais depuis quand un tel code existe-t-il et quels en ont été les principaux jalons ? 1841, l’interdiction du travail des enfants 1841. La France est gouvernée par le roi Louis-Philippe. Un régime parlementaire est en place. Il faut attendre 1840 pour que les premiers débats sur la règlementation du travail des enfants arrivent. Un projet de loi est déposé en 1840. 1906, repos dominical et ministère du travail Le 13 juillet 1906, la loi sur le repos hebdomadaire est promulguée. Quelques mois plus tard, le 25 octobre 1906, le gouvernement Clémenceau crée pour la première fois un ministère du travail. 1919, la journée de 8 heures La journée de travail de 8 heures est une revendication des mouvements ouvriers. Le gouvernement Clémenceau, convaincu des bienfaits économiques du « partage du travail » fait adopter la loi le 23 avril 1919. 1936, le Front Populaire et les lois sociales.
L'homme a mangé la Terre. Quelque 1 400 milliards de tonnes de CO2 sont aujourd’hui prisonnières de la basse atmosphère.
Réchauffement climatique, déforestation, inondations, épuisement des ressources, pollutions, déchets radioactifs... : en deux siècles, la course au progrès et à la croissance a durablement altéré la planète, la crise environnementale se doublant d’une rupture géologique, avec l’avènement de l’ère anthropocène. Portée par l’exploitation des énergies fossiles – du charbon de la révolution industrielle en Angleterre au tout-pétrole de la domination économique des États-Unis –, l’industrialisation et ses corollaires, taylorisme et colonialisme, entraînent une exponentielle production de masse.
Un processus qu’accélère la Première Guerre mondiale, les firmes chimiques mobilisées pour tuer l’ennemi se reconvertissant dans la destruction du vivant avec les herbicides, insecticides et fertilisants de l’agriculture intensive. Le mythe de la "théorie du ruissellement" [Arnaud Parienty] C’est quoi, être pauvre ? La pauvreté dite en « conditions de vie » (mesurée à partir de différentes privations, voir encadré ci-dessous) a diminué en dépit de la crise économique qui a sévi de 2008 à 2016 [1], selon l’Insee.
Son taux a baissé de près de deux points, de 14,6 % en 2004 à 11,9 % en 2016 [2], selon les déclarations des Français publiées par l’Insee [3]. Au cours de la période 2004-2016, la quasi-totalité des indicateurs évoluent de façon positive. Les conditions de logement se sont améliorées : ainsi par exemple 15,6 % de la population indiquait vivre dans un logement trop petit en 2004, critère cité par 9,9 % des personnes en 2016. La part des retards de loyers est passée de 5,3 % à 3,8 %. Les restrictions de consommation faute d’argent sont également moins citées : 11,6 % contre 14,2 % en 2004. Comment expliquer l’amélioration des conditions de vie perçues par la population alors que la pauvreté monétaire a augmenté ?
* Données provisoires.Source : Insee - © Observatoire des inégalités. Les multinationales, maîtresses du monde ?