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Permaculture

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Plantations de la forêt comestible | La Permaculture Simplifiée. Première présentation. Conscients de certains risque inhérents au mode de production et de consommation alimentaire occidental, pour nous assurer un maximum d’indépendance face à ce système qui rend les gens de plus en plus dépendants de son bon fonctionnement, et afin de limiter notre empreinte écologique au maximum, nous essayons de produire nous–mêmes la plus grande partie de ce que nous consommons.

Nous avons donc développé notre concept, que nous appelons la Pico Ferme. Nous mettons en œuvre les principes de Transition, tels que définis par Rob Hopkins, les principes de Permaculture de Bill Mollison et David Holmgren, ainsi que les principes de Biodynamie de Rudolf Steiner. En plus de cela, nous suivons les conseils de l’UNEP et de la FAO, même s’ils s’adressent prioritairement aux décideurs de toutes sortes, ce qui nous oblige à les adapter pour des actions à l’échelle individuelle. La maison étant encore en travaux, nous aimerions vous présenter ici l’organisation du jardin. Techniques. À la découverte des plantes sauvages comestibles. Permaculture. La permaculture est une science de conception de cultures, de lieux de vie, et de systèmes agricoles humains utilisant des principes d'écologie et le savoir des sociétés traditionnelles pour reproduire la diversité, la stabilité et la résilience des écosystèmes naturels.

Presentation de la Permaculture 1/2envoyé par sergiocalzone. - Le véritable développement durable 1/2 Agriculture biologique (sans engrais ni traitements sur les plantes et les arbres [même "bio"!] ) et sans labourer... Presentation de la Permaculture 2/2envoyé par sergiocalzone. - 2eme partie : Le concept est né dans les années 70' des esprits de deux écologistes australiens Bill Mollison et David Holmgren. La permaculture est une science systémique qui a pour but ..de sociétés humaines écologiquement soutenables, socialement équitables économiquement viables. La permaculture moderne est un outil de conception des systèmes.

Vivre libre : mode d’emploi de l’autonomie. Attention, il y a déjà de bons articles sur l’autonomie sur le blog, en voici un exceptionnel écrit par “Homme des bois” qui est un habitué du blog. Car c’est bien beau de vouloir se préparer (ou pas) à un éventuel effondrement du système, c’est bien beau de parler d’autonomie énergétique, mais le faire sans réellement savoir par ou commencer rend parfois les choses difficile.

Voici donc de bonnes pistes sur le sujet, des liens, des explications qui, j’en reste persuadé, vous serons très utiles le moment venu! Un grand merci à “Homme des bois” pour cet article relativement complet et intéressant. J’espère que ça vous plaira et que ça aidera ceux qui veulent s’y mettre. puis que ça ouvrira les yeux a certains moutons pas enragés du tout qui lieront ça pas hasard. Qu'apporte la permaculture ? Une première chose que l'on me dit souvent après une activité de formation en permaculture, c'est que ça change notre façon de penser et de voir les choses. La permaculture nous ouvre les yeux sur tout un nouveau monde de possibilités auxquelles on n'avait pas pensé. On découvre l'immense potentiel que la nature met à notre portée et qui est encore peu utilisé par l'humain. Beaucoup d’éléments utilisés dans le développement durable ont été tirés de la collection des idées, trucs et concepts qui ont été répertoriés sous le nom de permaculture.

Cette science permet un développement durable de l'agriculture, mais aussi de l'élevage, de l'énergie, de la conservation de l'eau, de l'économie d'argent et de travail. On laisse travailler pour nous le vent, le soleil, les animaux sauvages et les micro-organismes. L'ART DE FAIRE RESSORTIR LES FORCES DU TERRAIN La permaculture utilise aussi le côté rationnel de l'humain pour diviser le terrain en zones et secteurs. Les principes de la permaculture. On voit sou­vent la per­ma­cul­ture pré­sen­tée par des ap­pli­ca­tions concrètes au jar­din, ce qui peut don­ner l’impression que la per­ma­cul­ture n’est qu’une ac­cu­mu­la­tion de ‘tech­niques’ de jardinage : culture sur buttes pour ne pas labourerpaillage épais et sys­té­ma­tique pour que le sol ne soit ja­mais à nucom­pos­tage en sur­face pour perdre moins d’azote que dans un tas de compostjardin-forêt pour imi­ter l’écosystème-roi de nos contréeszones pour moins s’embêter quand il pleutjar­dins man­dala pour ré­duire l’espace ré­servé aux alléesspi­rales d’herbes aro­ma­tiques pour faire jolitrac­teur à poules pour désher­ber et fertiliserbais­sières (swales) pour pié­ger l’eau de ruis­sel­le­ment dans le paysagetours à patatesto­mates non-tailléesetc.

Quoique in­té­res­santes et même sou­vent ef­fi­caces, ces tech­niques mises bout-à-bout ne font pas la per­ma­cul­ture. Prendre soin de la terrePrendre soin de l’humainPar­ta­ger équitablement et douze principes :