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Three trends that will create demand for an Unconditional Basic Income | Simulacrum. The digitization of our economy will bring with it a new generation of radical economic ideologies, of which Bitcoin is arguably the first. For those with assets, technological savvy, and a sense of adventure, the state is the enemy and a cryptographic currency is the solution. But for those more focused on the decline of the middle classes, the collapse of the entry-level jobs market, and the rise of free culture, the state is an ally, and the solution might look something like an unconditional basic income.

Before I explain why this concept is going to be creeping into the political debate across the developed world, let me spell out how a system like this would look: Every single adult member receives a weekly payment from the state, which is enough to live comfortably on. The only condition is citizenship and/or residency.You get the basic income whether or not you’re employed, any wages you earn are additional.The welfare bureaucracy is largely dismantled. How would we pay for it? Revenu garanti, « la première vision positive du XXIe siècle » Susanne Wiest, Enno Schmidt et Daniel Häni Après avoir vécu douze ans dans une roulotte de cirque, pour être libre et pour économiser un loyer, Susanne Wiest s’est installée à Greifswald, dans le nord de l’Allemagne.

Elle travaille comme maman de jour, sans gagner suffisamment pour joindre les deux bouts : elle doit accepter l’aide de ses parents. Une réforme fiscale, qui l’appauvrit en intégrant les allocations de ses enfants à son revenu imposable, augmente encore son exaspération et son sentiment d’absurdité. Et puis, un jour, elle tombe sur une carte postale. Derrière la carte - et la question -, il y a Enno Schmidt, un artiste allemand établi en Suisse alémanique, et Daniel Häni, qui dirige à Bâle Unternehmen Mitte, une ancienne banque reconvertie en centre social et culturel (une exception notable à la règle qui veut que seules les usines désaffectées connaissent ce destin).

L’audition de Susanne Wiest au Bundestag, le 8 novembre 2010 1. Marie-Paule Perrin et Oliver Seeger. Thinking Utopian: How about a universal basic income? In light of the recent Oregon Medicaid study, several people have discussed the idea of taking parts of the social insurance system and replacing them with cash benefits. This naturally brings up the debate about whether it should be a policy goal for the United States to adopt a universal basic income (UBI).

These poverty-level targeted incomes are universal and unconditional, so everyone would get them regardless of their income, status or work participation. Wonkblog’s Dylan Matthews wrote an overview of universal basic incomes and some proposals for such a system last year. (Flickr/ToGa Wanderings) Though establishing a basic income was once at the forefront of politics, it has since become more of a Utopian, abstract project. First, what are some advantages of providing a universal basic income? The fact that it is universal is crucial. Meanwhile, a few conservatives have advocated a form of basic income for a different set of reasons. In San Jose, a minimum wage increase and falling unemployment. Revenu garanti pour tous : quand la réalité devance l'utopie. De Milton Friedman à James Tobin, l’idée d’un revenu minimum garanti suscite l’intérêt de nombreux économistes depuis quarante ans, mais n’a jamais vraiment été appliquée, à part sous la forme de programmes expérimentaux... mais néanmoins riches d’enseignement.

Une des expériences les plus récentes et abouties à ce jour de mise en place d’un revenu garanti a été impulsée par la Namibian Basic Income Grant Coalition (Coalition namibienne pour le revenu de base), dans un village de Namibie. Durant deux années (2008-2009), les 930 villageois de moins de 60 ans d’Otjivero-Omitara, recevaient ainsi un revenu de base mensuel (BIG, pour Basic Income Grant) représentant l’équivalent de 9 euros par mois, sans aucune autre condition que celle d’habiter le village et alors qu’un tiers des Namibiens vivent avec moins d’un dollar par jour. L’économie locale dynamisée Comme le montre le graphique ci-contre, les chercheurs sur place ont observé une croissance des revenus des habitants d’Otjivero. Problématique d'une allocation universelle. Avant-propos Ingénieur de recherche dans une vie antérieure (environnement et étudesépidémiologiques dans une grande entreprise publique), j'aime bien creuser une questionlorsqu'elle me chatouille ...

Après un travail sur le problème récent des retraites, j'ai eu lacuriosité de me pencher sur la question de l'allocation universelle, et d'en parler autour demoi. Un groupe d'amis intéressés m'a alors demandé de leur faire un exposé sur cetintéressant problème ... Banco, je m'y suis mis et, très modestement, j'en profite pour vousproposer ici le fruit de mes investigations.Plus que d'un travail de chercheur, ce travail d'analyse et de synthèse (classique pour unchercheur évidemment) serait normalement, à mon avis, du ressort de journalistes ... Allocation Universelle - JC. Un revenu de base pour tous? Pas si utopique que cela! SUISSE - Un ouvrage collectif de l'association BIEN-Suisse dévoile plusieurs modèles de financement pour mettre en oeuvre un revenu garanti inconditionnel en Suisse. Décryptage. Garantir à tous un revenu de base d'un bout à l'autre de l'existence, c'est l'idée promue depuis trente ans par le Basic Income Earth Network (BIEN), un réseau associatif actif au plan mondial.

«Le revenu de base est une sorte de rente à vie, payée à chaque individu, sans condition ni contrepartie, d'un montant suffisant pour vivre dignement», résume Albert Jörimann, président de la section suisse. L'ambition de cette association, qui se veut apolitique, est de proposer un modèle adapté aux conditions de l'économie globalisée, caractérisée, entre autres, par une flexibilité et une fragilité accrues des conditions de travail. Ce «droit civique économique» que constituerait le revenu de base doit cependant être pensé en fonction des réalités propres à chaque pays. Le modèle de compensation Le «modèle bâlois» Brazil: Will Citizen's Basic Income Ever Happen? “Imagine all the people, with a basic income to live” would probably have been a line in John Lennon’s immortal song, Imagine.

Then again, maybe not. Words like income and basic are probably too prosaic to figure in the lyrics of a song like that. Yet, basic income for all is the stuff of the kind of dreams the song talks about, a dream that seems too impossible to make true. However, a basic minimum income for every human being is precisely what 71-year-old Leftist politician, economist and professor Senator Eduardo Matarazzo Suplicy, believes is possible given the economic prosperity the world is seeing. Senator Suplicy’s persistence paid off when the Bill he introduced in 1991 was finally sanctioned by then president Luiz Inácio Lula da Silva in January 2004 to become the law that established the Citizen’s Basic Income (CBI) to be implemented step by step, giving priority to those most in need, until the day when everyone will receive it. Wouldn’t giving away money make people lazy? Basic Income in action - world wide developments.

GROWING SUPPORT FOR BI WORLWIDE Last update: December 2012 Until about a decade ago basic income was most of all a reform proposal for the restructuring of the welfare states of western countries. In many of these countries it has been and continues to be a topic of academic research and public discussion, in some more than others. Public interest in BI has varied greatly over the years, depending on the changing political agenda and climate. In the Netherlands, for example, basic income was widely discussed in the seventies and was then adopted by political parties who where represented in parliament.

At present, however, it has almost vanished from the public debate. In other industrialised countries the debate is just starting or gaining momentum. However, one state in the U.S., Alaska, has already introduced a partial basic income. But basic income is not only relevant to rich countries with a well-developed welfare system. Basic income project in Quantiga Velho. Économie de la misère. Basic Income UK | Towards an Emancipatory Welfare. BIEN Home. Mouvement Français pour un Revenu de Base.

N° 23 (été 06) / intermittents, jeunes, précarité, banlieue... le revenu social garanti en ligne de mire. Le revenu social garanti en ligne... EcoRev’ n° 23 est en ligne ici, intégralement et gratuitement, avec son dossier sur le revenu social garanti (textes de Gorz, Keynes, Corsani, Canfin, entretien avec Toni Negri...), ses pistes (Qu’est ce que la richesse aujourd’hui ? ; éducation et mondialisation), son kit (...) mardi 11 juillet 2006 Agenda juillet-novembre 2006 Juillet 2 juillet - Triel sur Seine (Yvelines) Festival "Changeons d’air ! " E23 : Le revenu social garanti en ligne de mire EcoRev’ n° 23 vient de paraître avec son dossier le revenu social garanti en ligne de mire, ses pistes, son kit, ses lectures...

La Suède expérimente de travailler moins pour gagner autant - 29 mai 2014. Göteborg (Suède) (AFP) - Robert Nilsson, mécanicien de 25 ans à Göteborg, pourrait bien être le précurseur d'un futur où l'on travaillerait moins, en gardant un niveau de vie élevé. L'ouvrier se lève à la même heure que tout le monde, mais ne se précipite pas au travail. Il va courir, prend un bon petit déjeuner et arrive à son atelier chez Toyota à midi... pour repartir à 18 heures. "Mes amis me détestent. Pour la plupart d'entre eux, comme je ne travaille que six heures, je ne devrais pas être payé huit", confie-t-il à l'AFP, occupé à fixer une vitre arrière sur une Toyota Prius, avec des gestes précis. Le rythme de travail en Suède surprend souvent les visiteurs étrangers, perplexes sur la possibilité de conjuguer salaires élevés avec tant de loisirs. La clé du succès selon les économistes: une main-d'oeuvre productive et bien formée, capable de s'adapter vite aux nouvelles technologies.

Comparer le temps de travail dans une vie entre la Suède et les pays étrangers n'est pas chose aisée. Revenu garanti pour tous avec ou sans emploi, trois arguments. Les luttes des chômeurs et précaires de l’hiver 1997-1998 ont placé au cœur du débat public la revendication d’un revenu garanti. L’augmentation massive (1500 FF) des minimasociaux, l’ouverture d’un droit au revenu pour les jeunes, l’exigence de l’attribution d’aides financières d’urgence (la "prime de Noël" des chômeurs marseillais), ont été les formes prises par cette revendication.

Résultats du conflit, 600 000 aides d’urgence versées, l’ASS (Allocation de Solidarité Spécifique), l’AI (Allocation d’Insertion) et le RMI indexés sur l’inflation, et... une loi sur l’exclusion qui ouvre de nouvelles modalités d’articulation entre salaire de l’emploi précaire et minima sociaux. Les limites d’une action qui n’a que très partiellement atteint ses objectifs sont évidentes. Se borner à ce constat serait gommer la portée générale de ce moment singulier. La revendication centrale d’un revenu garanti a été le second élément de portée générale de ce conflit. Le monde merveilleux du revenu universel. Qu’une société garantisse un revenu décent à tous ses membres est évidemment un objectif légitime. Mais cela n’implique pas l’adhésion aux projets de « revenu universel » et autres « revenus de base ». Alors que leurs partisans font campagne un peu partout, notamment dans le cadre de la primaire de la gauche, ces projets reposent sur un postulat erroné : ils conduisent à une impasse stratégique et renoncent au droit à l’emploi.

C’est ce sur quoi revient Michel Husson dans cet article publié sur le site A L’Encontre. Michel Husson Adieu au plein emploi, vive le revenu L’idée d’un revenu inconditionnel s’incarne en de multiples projets[1]. Admettons un instant, même si cette prévision est hautement discutable[2], que les gains de productivité liés aux nouvelles technologies soient porteurs d’une hécatombe d’emplois et qu’un emploi sur deux sera automatisé dans les deux prochaines décennies. C’est ce « donc » qu’il faut absolument récuser. Petite économie politique du numérique Notes. Revue du MAUSS N° 7, Vers un revenu minimum inconditionnel ?"

Plafonner les revenus, une idée américaine, par Sam Pizzigati. Au nombre des revendications portées par les militants du mouvement Occuper Wall Street, il en est une qui plonge profondément ses racines dans l’histoire des Etats-Unis : l’instauration d’un plafond pour les hauts revenus. Depuis l’époque dorée de l’après-guerre civile américaine, les grandes mobilisations en faveur de la justice économique ont toujours énoncé cette demande, aujourd’hui appelée « salaire maximum ». Cette formule n’englobe pas seulement le salaire, mais la totalité des revenus annuels ; elle permet de créer un lien de familiarité avec la notion de « salaire minimum ». C’est le philosophe Felix Adler — surtout connu pour avoir fondé et présidé, au début du XXe siècle, le National Child Labor Committee — qui, le premier, a porté cette revendication. Selon lui, l’exploitation des travailleurs, jeunes et vieux, génère d’immenses fortunes privées qui exercent une « influence corruptrice » sur la vie politique américaine.

En juin 1935, le président Franklin D. Emploi : "Instaurez la semaine de 15 heures, combinée à un revenu de base" - Belgique. Vous proposez de limiter la semaine de travail à 15 heures par semaine d'ici 2030. Rutger Bregman: "Oui, mais vous ne devez pas considérer cette utopie comme un modèle. Nous n'allons pas nous mettre à travailler 15 heures d'un jour à l'autre, mais progressivement.

C'est un objectif lointain". Le spécialiste en marché de l'emploi Jan Denys se montre très critique à l'égard de votre proposition. Selon lui, cette mesure initiera une perte importante de revenus pour les catégories professionnelles exigeant peu de qualifications. Bregman: "Sa critique cadre dans le système actuel. Les gens géreront mieux leurs loisirs s'ils ont plus de temps libre. Ne craignez-vous pas que les gens vous prennent pour un naïf ? Bregman: "La plupart des arguments qu'on m'oppose sont très faibles.

Financer l’allocation universelle, par Baptiste Mylondo. «Mais ce serait impossible à financer ! » Voilà, d’ordinaire, la première objection faite aux promoteurs d’un revenu universel déconnecté de l’emploi. La première, mais sans doute aussi la plus faible. Si l’on se fie à son produit intérieur brut (PIB), la France est aujourd’hui le cinquième pays le plus riche du monde.

En 2010, le revenu disponible (après versement des prestations sociales et prélèvement des impôts directs) s’y élevait à 1 276 euros par mois et par personne, adultes et enfants confondus. Nous disposons donc de ressources suffisantes pour garantir à chaque individu 1 276 euros si l’on décidait d’opérer un partage strictement égalitaire. Toutefois, si le financement est un faux problème, ses modalités, quant à elles, posent de vraies questions, car elles ne sont pas neutres et déterminent pour partie la portée d’un revenu inconditionnel en termes de transformation sociale et de partage des richesses. La question se pose surtout lorsqu’on envisage son autofinancement. Rupees in your pocket. En Inde, l’expérience du revenu garanti revitalise les villages, par Benjamin Fernandez. Revenu garanti, une utopie à portée de main : bibliographie et sites Internet. Revenu universel - Basta ! Revenu garanti, une utopie à portée de main. John Oliver, Edward Snowden, and Unconditional Basic Income — Basic income.

Imaginer un revenu garanti pour tous, par Mona Chollet (Le Monde diplomatique, mai 2013) Alain Damasio : « C’est le suffrage universel que je critique » 4/4.