Technology readiness level. NASA Technology Readiness Levels Technology readiness levels (TRLs) are measures used to assess the maturity of evolving technologies (devices, materials, components, software, work processes, etc.) during its development and in some cases during early operations. Generally speaking, when a new technology is first invented or conceptualized, it is not suitable for immediate application. Instead, new technologies are usually subjected to experimentation, refinement, and increasingly realistic testing. Once the technology is sufficiently proven, it can be incorporated into a system/subsystem. Definitions[edit] Different definitions are used. U.S. Related DoD definitions[edit] The DoD uses similar definitions for the following specialized areas: Software Technology Readiness Levels[2]Biomedical Technology Readiness LevelsManufacturing Readiness Level NASA definitions[edit] ESA definition[edit] If the TRL is too low, then a mission risks being jeopardized by delays or cost over-runs.
Online[edit] Les retombées du projet de monorail intéressent Asbestos | Yvan Provencher | Estrie. Donnant suite à une invitation datant de plusieurs mois de la municipalité, le promoteur Jean-Paul Marchand voit un potentiel intéressant pour implanter à Asbestos une usine de fabrication de moteurs-roues, une composante au coeur de son projet. « Je considère qu'Asbestos est bien situé géographiquement et dispose d'un site idéal et bien sécurisé (certains bâtiments de Mine Jeffrey) pour la protection de notre technologie. C'est un site idéal pour une telle manufacture», a-t-il confié préalablement à cette rencontre exploratoire à laquelle une centaine de personnes assistaient. On ne parle pas d'un train à proprement dit, mais plutôt de cabines de passagers suspendues à un rail accroché sur des pylônes d'acier, à 10 mètres du sol. Les cabines d'une capacité d'une soixantaine de passagers chacune, pourraient circuler indépendamment les unes des autres, dans les deux sens.
Texte complet dans La Tribune de mercredi. Monorail suspendu: Trois-Rivières, plaque tournante du projet? | Brigitte Trahan | Économie. L'ex-député bloquiste, qui a récemment réussi à recruter Claude Béland (ancien président du Mouvement Desjardins) à la présidence du conseil d'administration de TrensQuébec, veut faire de Trois-Rivières la plaque tournante et le siège social de son projet pour des questions géographiques.
Le monorail TrensQuébec, rappelons-le, utilise le moteur-roue inventé par Pierre Couture et qui était anciennement connu sous le nom de «moteur-roue d'Hydro-Québec». La construction du TrensQuébec serait, selon les promoteurs, beaucoup moins dispendieuse que celle d'un TGV parce que la technologie utiliserait les emprises des routes, autoroutes, ponts et viaducs existants et tolère très bien les écarts dans la topographie du sol. Son avantage, par rapport à tous les autres systèmes de trains rapides, c'est que ses arrêts et ses départs se font rapidement et qu'il est aussi possible de déployer un réseau en étoile et même de relier les rives nord et sud... moyennant les fonds nécessaires, évidemment.