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Conversations publiques I 4/5: Sébastien Marot, Claude Eveno. Web Portal : Quels pouvoirs pour les territoires métropolitains. Dossier : Le Grand Paris, une métropole en marche ? Après plusieurs décennies de globalisation et quatre ans de crise économique et financière, dans un contexte d’austérité croissante des politiques nationales, l’échelle métropolitaine émerge comme une réponse aux questions de la cohésion sociale et de l’efficacité des politiques urbaines [1]. Toutefois, la construction des métropoles en tant que nouveaux territoires du politique, de l’économique, du social et du culturel soulève la question de l’élaboration des modalités de leur gouvernance. Elle suppose aussi de concevoir et de mettre en œuvre tout un ensemble de projets et de politiques : habitat, mobilité, urbanisme, développement économique, éducation, services, intégration des migrants, etc.

Vote et géographie des inégalités sociales : Paris et sa petite couronne. Dossier : Les territoires du vote Aux lendemains des scrutins, les cartes électorales fleurissent dans les médias, et l’élection présidentielle de 2012 échappera d’autant moins à la règle que les résultats électoraux informatisés et les logiciels de cartographie sont de plus en plus accessibles.

Vote et géographie des inégalités sociales : Paris et sa petite couronne

Ces cartes sont parfois produites par des amateurs éclairés (et notamment des internautes) ou par des universitaires qui ne sont pas spécialistes des questions politiques. Nombre d’entre elles, que leurs auteurs interprètent pour dévoiler « les principaux enseignements » (Leroy 2007) à tirer de chaque scrutin, présentent pourtant un intérêt scientifique limité. Les inégalités socio-spatiales progressent-elles en Île-de-France.

Dossier : Le Grand Paris, une métropole en marche ?

Les inégalités socio-spatiales progressent-elles en Île-de-France

Depuis la fin des années 1990, le constat d’une accentuation des contrastes sociaux dans l’espace métropolitain parisien fait consensus, au point que des termes extrêmes tels que « ségrégation » et « ghetto » sont désormais utilisés couramment dans la sphère publique. Le débat scientifique s’est, quant à lui, cristallisé autour de la théorie de la « ville globale » et de son corollaire, la dualisation sociale et spatiale de l’espace métropolitain (Sassen 1991). Les beaux quartiers, qui s’embourgeoiseraient toujours plus, s’opposeraient à des quartiers « en difficulté » qui tendraient à s’homogénéiser tout en s’appauvrissant (Maurin 2004). Pourtant, bien que très visibles, de telles évolutions ne peuvent pas être envisagées comme exclusives et inéluctables.

Notre observation porte sur la période 1990‑2007 avec une attention plus particulière sur les années de 1999 à 2007. Embourgeoisement et accentuation de la polarisation sociale. La démocratie participative absorbée par le système politique local. Dossier : Réforme territoriale : un état des lieux La démocratie participative est devenue une norme de l’action publique locale.

La démocratie participative absorbée par le système politique local

Chez les élus locaux, il est désormais considéré comme incontournable d’associer les citoyens aux décisions entre deux échéances locales et de le faire savoir. Métropoles XXL : repenser le développement urbain à partir des réseaux d’infrastructure. Métropoles XXL en pays émergents est un livre ambitieux et stimulant, qui entend déplacer les termes du débat sur le gouvernement des très grandes villes.

Métropoles XXL : repenser le développement urbain à partir des réseaux d’infrastructure

Il conclut un projet de recherche porté par Dominique Lorrain et mené en partenariat avec les contributeurs de cet ouvrage, dont une première étape avait été un numéro de la Revue française d’administration en 2003 [1]. Le point de départ consiste à refuser la vision classique des très grandes villes du Sud, chaotiques, surpeuplées, confrontées au défi de l’hyperpauvreté. Concilier exigence participative et performance énergétique : le cas des bâtiments scolaires. Dossier : Fabriquer la ville à l’heure de l’injonction au « durable » Les bâtiments scolaires sont investis d’un sens symbolique fort : architecture dans laquelle sont éduqués les citoyens de demain, ils sont souvent présentés comme l’incarnation, ou du moins le support adéquat, de la transmission des valeurs portées par les acteurs qui les font construire.

Concilier exigence participative et performance énergétique : le cas des bâtiments scolaires

La nécessité d’œuvrer à l’avènement d’une société plus respectueuse de son environnement fait aujourd’hui l’objet d’un consensus quasi unanime. Il n’est donc pas surprenant que de nombreux projets d’établissements scolaires construits ces dernières années se veuillent la démonstration de la capacité des collectivités locales à concrétiser cette ambition. Dans la perspective d’un développement durable conciliant le traitement des enjeux environnementaux, économiques et sociaux, l’exemplarité d’un bâtiment reste incomplète si ses usagers ne le jugent pas adapté à leurs pratiques et besoins. Impliquer les usagers. Linky : installation généralisée à partir de fin 2014 - Energie. © DR Le nouveau compteur communiquant d'Erdf baptisé "Linky" La ministre de l’Energie Delphine Batho a annoncé jeudi 15 novembre que l’installation du compteur électrique « intelligent » dans toute la France démarrerait d’ici fin 2014, affichant sa détermination à faire aboutir ce projet au point mort depuis un an.

Linky : installation généralisée à partir de fin 2014 - Energie

Des groupes de travail associant les parties prenantes (entreprises, pouvoirs publics, consommateurs...) vont se mettre en place dès le 16 novembre pour "mettre en oeuvre la finalisation concrète du projet" Linky, a expliqué le 15 novembre la ministre de l'Energie Delphine Batho lors d'une visite à Montluçon (Allier) d'une usine de Landis+Gyr, fabricant suisse de compteurs et partenaire de Linky.