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Penseurs

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André Gorz. Sa pensée oscille entre philosophie, théorie politique et critique sociale.

André Gorz

Disciple de l'existentialisme de Jean-Paul Sartre, puis admirateur d'Ivan Illich, il devient dans les années soixante-dix l'un des principaux théoriciens de l'écologie politique et de la décroissance. Il est cofondateur en 1964 du Nouvel Observateur, sous le pseudonyme de Michel Bosquet, avec Jean Daniel. Vie et philosophie[modifier | modifier le code] Marxisme et existentialisme[modifier | modifier le code] Autonomie et révolution[modifier | modifier le code] Dépassant ses attributions économiques de départ, il finit par assurer de fait la direction politique de la revue. Ses évolutions vont de pair avec son investissement au sein d’un courant dit écosocialiste dont il s’affirme au fil de ses essais comme une figure majeure[10].

Hannah Arendt. Signature plaque commémorative Vue de la sépulture.

Hannah Arendt

Hannah Arendt, née Johanna Arendt[1] le 14 octobre 1906 à Hanovre et décédée le 4 décembre 1975 à New York, est une politologue, philosophe et journaliste allemande naturalisée américaine, connue pour ses travaux sur l’activité politique, le totalitarisme, la modernité et la philosophie de l'histoire. Elle soulignait toutefois que sa vocation n'était pas la philosophie mais la théorie politique (« Mein Beruf ist politische Theorie »)[2]. C'est pourquoi elle se disait « politologue » (« political scientist »)[3] plutôt que philosophe.

Ses ouvrages sur le phénomène totalitaire sont étudiés dans le monde entier et sa pensée politique et philosophique occupe une place importante dans la réflexion contemporaine. Biographie[modifier | modifier le code] Éric Hazan. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Éric Hazan

Pour les articles homonymes, voir Hazan. Biographie[modifier | modifier le code] Éric Hazan est né à Paris[1] d'une mère apatride née en Palestine et d'un père juif originaire d'Égypte[2], Fernand Hazan, éditeur, lui-même fils d'Émile Hazan, également éditeur. Il est signataire, en juin 2010, d'une pétition très controversée parue dans le journal Libération, appelant au renversement de la police qualifiée d'« armée d'occupation », intitulée Pour les cinq de Villiers-le-bel[5],[6]. Éric Hazan fait partie des signataires d'une tribune[7] dénonçant le texte d’orientation adopté pour trois ans par le Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (Mrap) à son congrès des 30 mars et à Bobigny (Seine-Saint-Denis).

Cornelius Castoriadis. Cornelius Castoriadis en 1990.

Cornelius Castoriadis

Cornelius Castoriadis (en grec moderne : Κορνήλιος Καστοριάδης), né le 11 mars 1922 à Istanbul et mort le 26 décembre 1997 à Paris, est un philosophe, économiste et psychanalyste grec, fondateur avec Claude Lefort du groupe Socialisme ou barbarie. Il consacra une grande partie de sa réflexion à la notion d'autonomie, dont il proposa une conceptualisation particulière et qu'il défendit en élaborant un « projet d'autonomie », projet de société visant l'autonomie individuelle et collective, soit une démocratie « radicale », qu'il opposait à l'hétéronomie, constitutive selon lui des sociétés religieuses et traditionnelles, des régimes capitalistes mais aussi du régime de l'URSS. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse et formation[modifier | modifier le code] Ayant achevé sa formation à l’université d’Athènes, il vient la compléter à Paris en 1946, grâce à une bourse de l'Institut français d'Athènes alors dirigé par Octave Merlier.

Serge Halimi. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Serge Halimi

Serge Halimi, est un écrivain et journaliste français. Membre de l'équipe de rédaction du Monde diplomatique depuis 1992, il occupe depuis mars 2008 le poste de directeur de ce mensuel[1]. Œuvres[modifier | modifier le code] Les Nouveaux Chiens de garde[modifier | modifier le code] En 1997, Serge Halimi se fait connaître du grand public par le succès que rencontre son livre Les Nouveaux Chiens de garde. En février 1998, fait unique, Edwy Plenel, alors directeur de la rédaction du Monde, prend sa plume dans Le Monde diplomatique pour critiquer vertement le livre.