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Droit linguistique

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United Nations Human Rights Website - Treaty Bodies Database - Document - Jurisprudence - Canada. Human Rights Committee Fifty-first session Views of the Human Rights Committee under article 5, paragraph 4, of the Optional Protocol to the International Covenant on Civil and Political Rights - Fifty-first session - Communication No. 455/1991 Submitted by: Allan Singer Victim: The author State party: Canada Date of communication: 30 January 1991 (initial submission) The Human Rights Committee, established under article 28 of the International Covenant on Civil and Political Rights, Meeting on 26 July 1994, Having concluded its consideration of communication No. 455/1991, submitted to the Human Rights Committee by Mr.

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Having taken into account all written information made available to it by the author of the communication and the State party, Adopts its views under article 5, paragraph 4, of the Optional Protocol. 1. The facts as presented by the author 2.1 The author runs a stationery and printing business in Montreal. Anglophone city councillor from Mile End in hot water for French-only stance. CTV Montreal Published Thursday, February 21, 2013 7:28PM EST Last Updated Thursday, February 21, 2013 10:22PM EST MONTREAL—An English-speaking Montreal city councillor is embroiled in a bit of a language flap.

Anglophone city councillor from Mile End in hot water for French-only stance

Project Montreal's Alex Norris is being criticized because he was asked a question at a public event in English and he chose to respond in French. The questioner was not impressed For Elisabeth Faure, it's a simple question of respect. “I think it's a nice sign of politeness and respect if you're able to answer the question in the language that it was given in,” said Faure, an Anglophone member of Project Montreal. That didn’t happen at an event on Wednesday night, where an exchange between Faure and Norris was soon uploaded to YouTube. “I'm sorry but she's asking her questions in English but you're only answering in French.

“Young Montrealers are very fluent in French these days and that's not necessary to translate. Faure was not happy. Norris defends his words. Une mise au point sur le bilinguisme et l'assimilation. Tous les êtres humains acquièrent ces quatre aptitudes en même temps que leur langue maternelle.

Une mise au point sur le bilinguisme et l'assimilation

La plupart des personnes bilingues n'utilisent leur langue seconde que pour la première fonction: la communication. Tant que leur langue maternelle demeure leur langue principale, dominante, c'est elle qui est le support de leurs pensées, de leurs connaissances, de leur identité et de leur appartenance. Lorsque deux langues entrent en contact, que ce soit dans un individu, une institution ou une société, elles peuvent toutes deux, à certaines conditions, survivre côte à côte indéfiniment, ou alors l'une d'entre elles disparaît au profit de l'autre. C'est d'ailleurs ce qui arrivera vraisemblablement, d'ici un siècle, à plus de la moitié des quelque 6000 langues encore parlées dans le monde. Habitat naturel Pour survivre, une langue a besoin de conserver son « habitat naturel «, c'est-à-dire compter sur une masse critique et suffisamment concentrée de locuteurs dont c'est la langue dominante.

Canada: Les minorités francophones et les lois antifrançaises. Au lendemain de la création de la Confédération canadienne (1867), les francophones de plusieurs provinces anglaises assistèrent, impuissants, à l'adoption de plusieurs lois et réglementations antifrançaises et anticatholiques au Canada anglais, notamment en qui ce qui a trait aux écoles confessionnelles à l'extérieur du Québec.

Canada: Les minorités francophones et les lois antifrançaises

Le mouvement orangiste au Canada Cette attitude antifrançaise et anticatholique puisait sa source, entre autres, au fait que beaucoup de loyalistes, qui sont venus s'installer au Canada, étaient des «orangistes» convaincus. Les orangistes préconisaient une doctrine anticatholique et antifrançaise, inspirée par la reconquête en 1690 de l'Angleterre par le prince protestant Guillaume III d'Orange (1650-1702) — en anglais "William III of Orange". Celui-ci mena une lutte sans merci contre les ambitions françaises en Flandre et devint ainsi le plus grand ennemi du roi Louis XIV. - Les luttes scolaires - L'identité canadienne-française Dernière mise à jour: 17 nov. 2011.