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Prométhéens

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Parasols géants et blanchiment du ciel : de fausses bonnes idées pour le climat. L’inquiétude quant au changement climatique grandit et fait malheureusement naître des projets aussi grandioses qu’alarmants. La géoingénierie, c’est-à-dire les interventions à l’échelle de la planète entière grâce à la technologie, s’avère fertile en idées mais malgré tout controversée. Si la Terre se réchauffe, c’est qu’elle reçoit plus d’énergie du Soleil qu’elle n’en émet vers l’espace : on dit qu’elle n’est plus à « l’équilibre radiatif ». D’après le GIEC, cette situation est sans aucun doute possible la conséquence de l’accumulation dans l’atmosphère des gaz à effet de serre émis par l’humanité depuis le début de l’ère industrielle.

Pour réduire le déséquilibre énergétique du système Terre, nommé forçage radiatif, la géoingénierie propose, par exemple, de limiter le rayonnement solaire frappant la Terre ou d’en renvoyer plus vers l’espace. Pour répondre à cette question, appliquons à ces deux projets une grille d’analyse générale d’une grande efficacité. Quelle conclusion ? Stewart Brand, pour une écologie pragmatique | Les Inrocks. Gourou de la contre-culture américaine et pionnier de l’écologie politique depuis les années 1960, le prospectiviste Stewart Brand propose dans son nouvel essai une réflexion écologique invitant à mettre l’ingénierie au cœur d’une politique libérée de quelques tabous.

Un pragmatisme qui risque de faire débat. Pionnier de l’écologie dès les années 60 aux Etats-Unis, figure historique de la cyberculture, auteur d’un monument de la contre-culture, le Whole Earth Catalog – un recueil encyclopédique d’outils et de textes visant à rendre la technologie disponible à tous ceux qui désirent créer des communautés autonomes -, mais aussi du Whole Earth Magazine, Stewart Brand fait figure d’exception dans le paysage intellectuel américain. Manifeste en faveur de l’ingénierie Son approche de la crise climatique et des questions environnementales, qu’il explicite en profondeur au fil de longs raisonnements, prend ici à rebrousse-poil les approches dominantes en cours chez les écologistes.

Stewart Brand, le hippie technophile qui se prenait pour Dieu. À 76 ans, Stewart Brand, superstar américaine de la prospective, est toujours vert. Dans son dernier ouvrage, Discipline pour la planète Terre : vers une écologie des solutions (Tristram, 2014), le gourou de la contre-culture des seventies appelle à accepter les solutions offertes par le nucléaire, les OGM et la géo-ingénierie.

Une vision sulfureuse de l’écologie qui fait polémique. Un pionnier de l’écologie politique Stewart Brand aime faire état de son pedigree écolo. Né en 1938 dans l’Illinois, il fait à l’âge de 10 ans le serment solennel, « en tant qu’Américain, de sauver et loyalement défendre les ressources naturelles de [son] pays contre l’épuisement – son air, son sol, ses minéraux ; ses forêts, ses eaux, et sa vie sauvage ».

Convaincu de la responsabilité humaine dans l’état de la planète, il milite depuis les années 1960 pour éveiller les consciences. Un scientifique pragmatique Diplômé en biologie à Stanford, Brand se spécialise en écologie et évolution. Un apôtre du long terme. NO MORE SECONDHAND GOD AND OTHER WRITINGS : R. BUCKMINSTER FULLER : Free Download, Borrow, and Streaming. Skip to main content We will keep fighting for all libraries - stand with us! Whole Earth Catalog Index. Anthropocene Institute - Keeping the Planet Cool! The Breakthrough Institute | Homepage. Tellus Institute - For a Great Transition. Écomodernisme : des fous furieux veulent « piloter » la planète - Greenwashing Economy. « Mes amis ! Je vous promets de vous montrer comment créer en dix ans un paradis où chaque être humain pourra obtenir en surabondance tout ce qu’il désire dans la vie, sans travailler et sans payer ; où toute la nature sera transformée et prendra les formes les plus belles ; chaque homme pourra vivre dans les plus magnifiques palais, dans un luxe et un raffinement inimaginable, dans les jardins les plus délicieux ; il pourra accomplir en une année plus de choses que ce qu’il fallait jusqu’alors des milliers d’années pour réaliser ; niveler les montagnes, creuser des vallées, créer des lacs, assécher lacs et marécages, doter la terre d’un réseau de canaux magnifiques, de routes pour transporter de lourds chargements de plusieurs milliers de tonnes et se déplacer en vingt-quatre heures sur un millier de miles […] ; se libérer de presque tous les maux qui affligent l’humanité, à l’exception de la mort, et encore, il pourra en repousser l’échéance […].

Genèse et réseaux de l’écomodernisme. FRANÇAIS — An ECOMODERNIST MANIFESTO. Les cellules solaires à haut rendement, fabriquées à partir de matériaux géologiques abondants, sont une exception, avec la capacité de produire plusieurs dizaines de térawatts sur quelques pourcents de la surface terrestre. Les technologies solaires actuelles réclament des innovations significatives pour atteindre ce niveau, ainsi que le développement de technologies de stockage à bas coût de l’énergie produite, qui soient capables de faire face à des productions énergétiques de niveaux très variables et ce à grande échelle.

La fission nucléaire représente aujourd’hui la seule technologie à zéro carbone avec une capacité démontrée de satisfaire la majeure partie, voire la totalité, des demandes en énergie d’une économie moderne. Cependant, toute une série de problèmes sociaux, économiques et institutionnels rendent peu probable le déploiement des technologies nucléaires actuelles, à l’échelle nécessaire pour atteindre une atténuation climatique significative. #ACCELERATE MANIFESTO for an Accelerationist Politics. 01. INTRODUCTION: On the Conjuncture 1. At the beginning of the second decade of the Twenty-First Century, global civilization faces a new breed of cataclysm. These coming apocalypses ridicule the norms and organisational structures of the politics which were forged in the birth of the nation-state, the rise of capitalism, and a Twentieth Century of unprecedented wars. 2. 3. 4. 5. 6. 02. 1. 2. 3. 4. 5. 6.

Socialism is inconceivable without large-scale capitalist engineering based on the latest discoveries of modern science. 7. 03. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. 22. 23. 24. Natural Capital Protocol – Capitals Coalition. Victor Hugo once wrote that “Nothing is so powerful as an idea whose time has come”. Recognising the true value of natural capital, is one such idea. Across private and public sectors, across disciplines, and around the world, initiatives to advance and develop natural capital thinking have emerged rapidly over the past 10 years.

In a blizzard of acronyms, we have the NCC, SEEA, WAVES, IIRC, KIP-INCA, A4S, GRI, EO4EA – among many others. Are they the same, are they competing, are they useful? To both insiders and outsiders this range of initiatives is confusing at best. At worst, it leads to a lack of engagement, avoidance and misunderstanding. The reality is that, while differences among these various initiatives do exist, they have all been motivated by a common understanding of the reality that we are losing our stocks of natural capital – and that this matters.

Combatting climate change through a portfolio of approaches ‒ IRGC ‐ EPFL.