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Net neutrality

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La Taxe Google is back, this time to help French ISPs. It looks like the Internet Service Providers of France have a good friend in that country's Minister of Industry and the Digital Economy, Eric Besson. Monsieur Besson is reviving an idea that will doubtless inspire the nation's ISPs: La Taxe Google. This would boil down to a tithe upon the search engine giant and its social networking brethren, especially Facebook, to make up for the alleged fact that they don't help pay to keep France's broadband pipes in la manière to which they have grown accustomed.

"Some well-known services, like Google or Facebook, are ever-growing," Besson complained to his Parliament this month, "without contributing in any way to finance infrastructure or creation. " Even worse, these companies come from "foreign countries" he added, pay no taxes in France, and enjoy near monopoly status on the French market. "This situation is unprecedented in the history of our economy," Besson warned. Passing the buck There are a couple of problems with this stance. Neutralité du Net : Eric Besson veut un péage pour le "camionneur" Google. Le ministre de l'Economie numérique souhaite une régulation partielle du trafic Internet et veut une nouvelle taxe destinée à obliger les gros éditeurs Web à contribuer au financement des réseaux. Eric Besson ouvre la voie à une régulation partielle du trafic sur Internet et à un nouveau projet de taxe des éditeurs de services en ligne.

Invité aux deuxièmes rencontres parlementaires de l'Economie numérique, le ministre de tutelle du secteur n'a pas manqué de fustiger dans un discours "l'absolutisme de la neutralité" du Net, incarné par les gros éditeurs de contenus qui "prônent une neutralité totale vis-à-vis du trafic". Selon lui, une telle philosophie "signifierait la fin de certains types de services, comme la téléphonie sur IP ou la télévision sur IP". Pour asseoir son propos, Eric Besson n'a pas hésité à ressortir l'originale comparaison d'Internet à une autoroute, associant par la même occasion Google à un camionneur. Comcast, Level-3 et la cuisson des pommes de terre.

The Web Is Dead. Long Live the Internet | Magazine. Two decades after its birth, the World Wide Web is in decline, as simpler, sleeker services — think apps — are less about the searching and more about the getting. Chris Anderson explains how this new paradigm reflects the inevitable course of capitalism. And Michael Wolff explains why the new breed of media titan is forsaking the Web for more promising (and profitable) pastures. Who’s to Blame: Us As much as we love the open, unfettered Web, we’re abandoning it for simpler, sleeker services that just work. by Chris Anderson You wake up and check your email on your bedside iPad — that’s one app. During breakfast you browse Facebook, Twitter, and The New York Times — three more apps.

You’ve spent the day on the Internet — but not on the Web. This is not a trivial distinction. A decade ago, the ascent of the Web browser as the center of the computing world appeared inevitable. But there has always been an alternative path, one that saw the Web as a worthy tool but not the whole toolkit. Liberté, égalité, neutralité…. du net. Le débat actuel sur la neutralité du net soulève de nombreuses questions y compris en dehors de la sphère du net. J’ai eu la chance de participer récemment à 2 conférences sur le sujet : digiworld par l’idate avec l’essentiel des grands opérateurs (Orange, SFR, Bouygues, ATT, NTT) puis une table ronde sur le sujet à la cantine (les vidéos sont disponibles en fin de post). Net neutrality on the road! Qu’est ce que la neutralité du net ? Il existe de nombreuses pages sur la définition du sujet, mais je vais juste répéter celle de Beinjamin Bayart, président d’un FAI indépendant FDN que je trouve simple et juste.

Internet est un réseau composé de 40 000 sous réseaux provenant des 40 000 opérateurs dans le monde qui se mettent d’accord sur des formats et des protocoles communs. Il peut y avoir des filtres qui occultent une partie d’internet. Il y a bien en ce moment une véritable guerre entre les opérateurs de réseaux et les géants du web, à la pointe desquels se trouve Google. AT&T: net neutrality OK if we can cut priority access deals. The nation's top telco claims it is willing to meet the Federal Communications Commission halfway on net neutrality. The olive branch comes in the form of a letter that AT&T sent to the FCC on Tuesday, which suggests specific wording for Internet non-discrimination rules.

In September the agency released a Notice of Proposed Rulemaking that would toughen up its Internet Policy Statement with an enforcement mechanism and transparency requirements. Now AT&T Vice President James Cicconi says that's fine, just as long as the final Order "eschews a strict nondiscrimination standard and instead focuses on 'unreasonable and anticompetitive' forms of discrimination that adversely affect consumers. " This phrasing is somewhat similar, AT&T notes, to the old 1934 Communications Act common carrier language that banned telcos from engaging in "unjust and unreasonable discrimination. " "We believe there should be no regulatory uncertainty when it comes to innovation," Cicconi insists. Off limits. Neutralité des réseaux, kézaco | slate. Lorsqu'on avait évoqué ici en avril dernier (chronique Hadopi, Net neutralité... l'Europe et la France à pile et face) la question de la «net neutralité», ce sujet était méconnu, mal maitrisé et nos interlocuteurs réprimaient difficilement des bâillements quand on insistait sur son caractère central.

Petit rappel: l'Internet repose sur un principe fondamental, sa neutralité: l'internaute ne doit pas subir d'entraves dans l'accès aux contenus, services et applications de son choix. publicité Bref, les opérateurs du réseau internet ne doivent pas orienter les choix des utilisateurs en bloquant l'accès à certains contenus, services et/ou applications ou en fournissant une qualité de service différente en fonction des accords commerciaux que peuvent avoir ces opérateurs.

Bien sûr, cela ne veut pas dire que l'opérateur du réseau ne puisse «décongestionner» celui-ci en donnant, par exemple, la priorité à la voix par rapport au transport de données comme les images. Ou encore : Giuseppe de Martino. Neutralité du net, filtrage et régulation. Retours sur le colloque sur la neutralité des réseaux à l'Arcep. Jean-Ludovic Silicani m'a demandé mardi d'animer l'une des tables rondes du colloque de l'Arcep sur la neutralité des réseaux.

Cette journée passionnante, m'a provoqué diverses réflexions qui, naturellement, elles n'engagent que moi... Ce problème de la neutralité des réseaux n'a pas fini d'agiter le débat. Je pense qu'il évoluera comme le principe de précaution, en agrégeant progressivement de nombreuses problématiques hétérogènes pour finir en grand problème sociétal. Pour résumer, je dirai qu'on a senti tout au long de la journée : une tension fondatrice, deux positions extrêmes, cinq débats sociaux qui en profitent pour s'inviter dans la question et au moins trois points aveugles.

La tension initiale se formulerait comme suit : comment garantir le développement durable (c'est-à-dire en particulier autofinancé, stable et protégé) de l'Internet tel que nous le connaissons (c'est-à-dire ouvert, interopérable, et donnant la liberté d'émettre et de recevoir à tous ses utilisateurs) ? 2.