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Devenir artiste à 83 ans. Les aventures scientifiques de Fiamma n’ont pas de parution régulière, si ce blog vous plaît, vous pouvez me suivre sur Twitter, Facebook ou Google Plus Mille mercis à Emmanuelle Volle, chercheuse Inserm (www.emmanuellevolle.com ) qui travaille à l'ICM-Hôpital Pitié Salpêtrière et à Leonardo Cruz de Souza, neurologue, spécialiste des maladies neurodégénératives, qui exerce au Brésil (Neuropsychiatric Branch, Neurology Division, University Hospital, Universidade Federal de Minas Gerais, Belo Horizonte, MG).

Devenir artiste à 83 ans

Merci à Madame R., qui nous a permis de montrer ses merveilleux dessins. Elle vit toujours mais - hélas - ne dessine plus et a perdu son autonomie. A propos des tests... Les tests neuroscientifiques de la créativité peuvent se regrouper en trois grandes catégories: - les tests de la pensée divergente (type celui de Torrance) qui évaluent l'abondance,la flexibilité et l'originalité des idées (voir mon exemple de la boîte à chaussure) "Psychologie de la créativité" de Todd Lubart. History of Neuroscience. Contribution a la conception des aphasies une étude critique. Contribution a la conception des aphasies une étude critique. La doctrine actuelle de l'aphasie Je me propose de traiter, sans disposer de nouvelles observations personnelles, d’un thème auquel les meilleurs esprits de la neuropathologie allemande et étrangère, que sont Wernicke, Kussmaul, Lichtheim et Grashey, Hughlings Jackson, Bastian et Ross, Charcot et d’autres, ont déjà consacré leur énergie.

Contribution a la conception des aphasies une étude critique

Aussi, ce que j’ai de mieux à faire est d’indiquer sans tarder les quelques aspects du problème dont j’espère faire progresser la discussion. La théorie de l’aphasie, telle qu’elle a évolué grâce à la collaboration des chercheurs nommés ci-dessus, contient deux hypothèses, et je m’emploierai à montrer qu’elles peuvent être avantageusement remplacées par d’autres, ou à tout le moins qu’elles ne l’emportent pas de façon définitive sur ces autres hypothèses.

L'aphasie sensorielle de Wernicke Je remonte donc à un chapitre glorieux de l’histoire de la connaissance du cerveau. La conservation des représentations de langage dans les cellules. Stimulation cognitive pour adultes atteints d'une maladie neurodégénérative. Stanislas Dehaene - Psychologie cognitive expérimentale. Dans le domaine de l’apprentissage, il est vain d’opposer l’inné et l’acquis, l’environnement et l’hérédité.

Stanislas Dehaene - Psychologie cognitive expérimentale

Dès 1949, le psychologue canadien Donald Hebb l’énonce : Deux facteurs déterminent la croissance intellectuelle : un potentiel inné, absolument indispensable, et un environnement stimulant, tout aussi indispensable. Il est inutile de se demander lequel est le plus important. On pourrait supposer que l’intelligence croît jusqu’à la limite fixée par l’hérédité ou par l’environnement – le minimum des deux. Dans un environnement parfait, c’est la structure innée qui donne le rythme ; mais en partant d’une hérédité de génie, c’est l’environnement qui domine.

Les neurosciences contemporaines confirment qu’il n’existe aucune contradiction à affirmer, simultanément, l’origine génétique des principaux circuits du cerveau humain, et leur capacité à se modifier sous l’effet de règles d’apprentissage, elles-mêmes gouvernées par des mécanismes cellulaires et moléculaires innés. LE CERVEAU À TOUS LES NIVEAUX! Hugues Duffau: "Le cerveau se répare lui-même" Son souci de la discrétion frise la pathologie.

Hugues Duffau: "Le cerveau se répare lui-même"

On ne voit jamais le Pr Hugues Duffau, en dehors des 40 congrès internationaux où il est invité chaque année à exposer ses travaux sur le cerveau. Il n'aime pas, dit-il, "jouer les vedettes". Ce chirurgien de 47 ans a pourtant imposé dans le monde entier sa technique époustouflante consistant à retirer les tumeurs du cerveau sans endormir les patients, mais il se refuse à "parader" dans les couloirs du CHU de Montpellier en compagnie du photographe de L'Express. Il prend donc la pose dans son bureau, avec simplicité. Fier d'avoir reçu l'équivalent du prix Nobel en neurochirurgie, cet homme qui marche hors des sentiers balisés s'exprime d'une voix douce et égale. L'air de rien, il assène dans la prestigieuse revue Brain, à paraître en octobre, que la zone de la parole - la fameuse aire de Broca - n'existe pas. Je n'aurais pas osé en rêver. La chirurgie éveillée a tout changé. Oui, le plus grand nombre.

Certainement. Pas forcément. Non.