background preloader

Histoire secondaire 2

Facebook Twitter

Humanisme, réformes et conflits religieux. Humanisme, réformes et conflits religieux. Galilée ou la fin du géocentrisme. Copernic ou la théorie de l'héliocentrisme. La Renaissance : les siècles de l'aventure. Les enjeux idéologiques.

La Renaissance : les siècles de l'aventure

Le massacre de la Saint-Barthélémy. Contester l’autorité de l’Église catholique toute puissante au 16e siècle, c’est remettre en cause son dogme et son pouvoir.

Le massacre de la Saint-Barthélémy

Alors que certaines principautés du nord de l’Europe sont séduites par la réforme, en France, le pouvoir royal est pieds et poings liés à l’Église. 1572. L’Église demande à la Justice du roi de condamner à mort « cette couvée de vipères ». Les hérétiques sont brûlés vifs sur les places publiques. Rome veut exterminer les huguenots. 27 septembre 1540 - Fondation de la Compagnie de Jésus. Le 27 septembre 1540, le pape Paul III signe la bulle qui porte fondation de la Compagnie de Jésus.

27 septembre 1540 - Fondation de la Compagnie de Jésus

Cet ordre consacré à l'évangélisation et à l'éducation est issu de la rencontre en 1529, à l'Université de Paris, d'un étudiant savoyard, Pierre Favre, d'un jeune noble navarrais, François de Jassu y Xavier (François-Xavier), et d'un vieux routier basque de 37 ans, boiteux de surcroît, Íñigo de Loyola (Ignace de Loyola). Ils partagent la même chambre au Collège de Navarre. Avec quelques autres étudiants désireux comme eux de vouer leur vie au Christ, ils entraînent leur corps et leur esprit par quelques exercices spirituels mis au point par Ignace de Loyola. Marie Desclaux. Une obéissance aveugle au pape Le 15 août 1534, les jeunes gens assistent à la chapelle de Montmartre à une messe de leur ami Pierre Favre, récemment ordonné prêtre. Mais à Venise, empêchés de se rendre à Jérusalem, ils tournent leurs pas vers Rome et proposent leurs services au pape. Fatales jalousies. La CONTRE REFORME (1/5) Les huit guerres de religion (1562-1598)

Anglicanisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Anglicanisme

L'anglicanisme est une confession du christianisme dont l'origine remonte au XVIe siècle lorsque le roi d'Angleterre Henri VIII rompit avec le pape et Rome. Cette branche du christianisme est aujourd'hui présente principalement dans les pays qui ont pu être imprégnés par la culture anglaise ; outre l'Angleterre, il s'agit notamment des anciennes colonies britanniques en Amérique et en Afrique. En toute rigueur, on ne saurait parler de l'« Église anglicane » puisque les différentes églises se reconnaissant dans cette confession sont autocéphales. La plupart sont rassemblées dans la Communion anglicane, au sein de laquelle l'Église d'Angleterre et son primat, l'archevêque de Canterbury, ne jouissent que d'une primauté d'honneur.

Ces églises sont en pleine communion (en matière doctrinale et sacramentelle) les unes avec les autres et représentent ensemble environ 77 millions de fidèles. Les Églises anglicanes ont une structure épiscopale. Jean Calvin 1509-1564. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Jean Calvin 1509-1564

Pour les articles homonymes, voir Calvin. Calvinisme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Calvinisme

Le calvinisme (nommé ainsi d'après Jean Calvin et aussi appelé la tradition réformée, la foi réformée ou la théologie réformée) est une doctrine théologique protestante et une approche de la vie chrétienne[1] qui reposent sur le principe de la souveraineté de Dieu en toutes choses[2]. Bien qu’elle fût développée par plusieurs théologiens tels que Martin Bucer, Heinrich Bullinger[3],[4], Pierre Martyr Vermigli[5], Ulrich Zwingli[6] et Théodore de Bèze, elle porte le nom du réformateur français Jean Calvin en raison de l’influence dominante qu’il eut sur elle et du rôle déterminant qu’il exerça dans les débats confessionnels et ecclésiastiques du XVIe siècle.

Aujourd’hui ce terme fait référence aux doctrines et aux pratiques des Églises réformées. Martin Luther 1483-1546. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Martin Luther 1483-1546

Martin Luther, né le à Eisleben, en Thuringe (Allemagne)[1] et mort le dans la même ville, est un frère augustin[2] allemand, théologien, professeur d'université, père du protestantisme[3],[4],[5],[6] et réformateur de l'Église dont les idées exercèrent une grande influence sur la Réforme protestante, qui changea le cours de la civilisation occidentale[7]. Le 3 janvier 1521, il reçoit la bulle Decet romanum pontificem qui lui signifie son excommunication.

Après les nombreux débats théologiques du haut clergé, l'empereur du Saint-Empire romain germanique et roi d'Espagne, Charles Quint, convoque Martin Luther en 1521 devant la diète de Worms (Rhénanie-Palatinat, Allemagne). Un sauf-conduit lui est accordé afin qu'il puisse s'y rendre sans risques. Ses prises de position radicales et antisémites sur les Juifs furent utilisées par les nazis[9],[10]. Biographie[modifier | modifier le code] Jeunesse[modifier | modifier le code] Réforme protestante. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Réforme protestante

Pour les articles homonymes, voir Réforme. La Renaissance. PROGRESSION. 5H3. L'Europe à la Renaissance. Le débarquement de Normandie : du D-Day à la libération de Paris -