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JUSTICE-DROIT

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Justine Lacroix : « Opposer la souveraineté populaire aux droits de l’homme revient à créer une fiction » Les droits de l’homme à l’épreuve des « hommes forts » C’est un anniversaire sans faste. Depuis soixante-dix ans, l’ONU a patiemment construit un édifice de protection des droits de l’homme qui reconnaît « la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine et de leurs droits égaux et inaliénables ». Cette déclaration proclame un « idéal commun à atteindre par tous les peuples et toutes les nations ». L’universalité de ces droits est aujourd’hui menacée par des dirigeants qui assument et revendiquent ouvertement leur dédain pour les droits de l’homme, comme Vladimir Poutine en Russie, Donald Trump aux Etats-Unis, Recep Tayyip Erdogan en Turquie, Rodrigo Duterte aux Philippines, ou encore, au sein de l’Union européenne, Viktor Orban en Hongrie.

Droit international humanitaire : 5 règles essentielles à apprendre (par cœur) 5 règles à connaître par cœur.

Droit international humanitaire : 5 règles essentielles à apprendre (par cœur)

A apprendre donc et surtout à diffuser le plus largement possible… Merci. Ne pas prendre les civils pour ciblePas de torture ou de traitements inhumainsNe pas attaquer les hôpitaux et les humanitairesLaisser passer les civils qui fuientAssurer l’accès aux organisations humanitaires Signaler ce contenu comme inapproprié Créé en 2007, le blog « L’Humanitaire dans tous ses Etats » est animé par Frédéric Joli, porte parole du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) en France avec le concours de Lucile Marbeau, porte parole Europe, Anne-Hélène Mahé, attachée de presse et Axel Moeschler, webdesigner de la Délégation régionale du CICR en France.

Cette entrée a été publiée dans "Injonction de Rappel", Principes & Droit, Vidéo, avec comme mot(s)-clef(s) DIH, Droit international humanitaire. Louis Joinet, cofondateur du Syndicat de la magistrature, est mort. Louis Joinet, l’un des fondateurs en 1968 du Syndicat de la magistrature (SM), est mort dimanche 22 septembre à l’âge de 85 ans, a annoncé le syndicat sur Twitter.

Louis Joinet, cofondateur du Syndicat de la magistrature, est mort

Le Syndicat de la magistrature est en deuil. Louis Joinet, un de ses fondateurs historiques, dont l’engagement est… SMagistrature (@SMagistrature) Né le 26 mai 1934 à Nevers, cet ancien éducateur de rue était sorti major de l’Ecole nationale de la magistrature en 1966. Deux ans plus tard, il cofondait le Syndicat de la magistrature, notamment avec Dominique Charvet, décédé il y a dix ans. Classé à gauche dès sa fondation et accusé d’abriter des « juges rouges », le SM s’engagea dans une réflexion sur le métier de magistrat et les questions de société. Premier directeur de la CNIL Louis Joinet a également participé à la création de la loi informatique et libertés, qui donna naissance en 1978 à la CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés), dont il fut le premier directeur.

Aux assises de Bobigny, une jeune femme violée parce que lesbienne. Nidhal Tarhouni a violé Jeanne (prénom modifié) dans la nuit du 8 octobre 2017, ont estimé les six jurés et les trois magistrats qui composaient la cour d’assises de Seine-Saint-Denis, à Bobigny.

Aux assises de Bobigny, une jeune femme violée parce que lesbienne

Ils l’ont condamné, vendredi 6 mars, à quinze ans de prison, la peine maximale prévue pour les viols. Le caractère homophobe de l’agression n’a pas été retenu. Considérant que le prévenu « savait très bien pourquoi elle se refusait : parce qu’elle était lesbienne », l’avocate générale Maylis de Roeck avait demandé au jury d’« avoir le courage de mettre des mots sur les choses » : « 4 % des femmes hétérosexuelles disent avoir été victimes de viol, contre 10 % des femmes lesbiennes. On ne peut pas faire semblant de ne pas comprendre. » Ce 8 octobre 2017, deux inconnus se rencontrent place de la République, à Paris. Cette nuit-là, ils rentrent ensemble chez la jeune femme à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis). Les faits ont été commis entre 6 h 35 et 8 h 10. Le Conseil constitutionnel reconnaît que « la protection de l’environnement » peut justifier des « atteintes à la liberté d’entreprendre »

Dans le combat qu’ils mènent pour continuer à produire en France des pesticides pourtant interdits en Europe en raison de leur toxicité, les géants de l’agrochimie viennent de perdre une manche, sans doute déterminante.

Le Conseil constitutionnel reconnaît que « la protection de l’environnement » peut justifier des « atteintes à la liberté d’entreprendre »

Dans une décision rendue vendredi 31 janvier, le Conseil constitutionnel a rejeté la question prioritaire de constitutionnalité (QPC) posée par l’Union de l’industrie de la protection des plantes (UIPP), qui regroupe Bayer, Syngenta, BASF et tous les fabricants de produits phytosanitaires implantés en France. Par cette décision inédite, le Conseil constitutionnel reconnaît pour la première fois que « la protection de l’environnement, patrimoine commun des êtres humains, constitue un objectif de valeur constitutionnelle » qui peut justifier des « atteintes à la liberté d’entreprendre ». Lire notre enquête : Pesticides interdits : révélations sur l’intense lobbying des industriels jusqu’au sommet de l’Etat.

Musée - Histoire de la justice, des crimes et des peines. Presentation du metier de procureur de la Republique. Aux assises de Paris, l’amant assassiné et les « deux gamins tordus »