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Hypersollicitation

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1 Joseph Babinski Contribution à l'étude des troubles mentaux dans l'hémiplégie organique cérébrale Revue Neurologique 19142 Jacques Barbizet Le monde de l'hémiplégique gauche Rapport de Neurologie 3 van Swinderen, B. and Brembs, B. (2010) Attention-like deficit and hyperactivity in a Drosophila memory mutant. Journal of Neuroscience. Jan 20; 30(3):1003-14.4 Jeffrey S. Anderson, Michael A. Ferguson, Melissa Lopez-Larson, Deborah Yurgelun-Todd. Topographic maps of multisensory attention. Proceedings of the National Academy of Sciences, 20105 James, W. (1890). Le cerveau attentif, quelques idées clés. Les capacités attentionnelles permettent entre autres : De rester mobilisé un temps long sur une tâche donnéeDe contrôler les effets des distracteursDe passer plus efficacement d’une tâche à une autre conduite en parallèle, d’une façon générale de réagir rapidement et avec moins d’erreursDe mémoriser plus efficacement De modifier les erreurs et améliorer l’indispensable dispositif de l’inhibition.

Deux mobilisations de l’esprit sont à distinguer : la focalisation sélective d’une cible entre plusieurs et la concentration sur celle-ci (qui est de nature interne), à distinguer de l’attention qui discrimine un objet de focalisation parmi d’autres d’origine externe. Ce que l’on observe La grande difficulté pour tout sujet consiste : A intégrer une consigne aussi complètement que possible afin de réaliser une tâcheA inhiber une propension naturelle qui entraîne le cerveau à faire fonctionner des mécanismes quasi automatiquement installés.

Le fonctionnement du cerveau Sur le lieu de l’apprentissage. Dialogues. Pourquoi les nouvelles technologies nous font peur. Hypersollicitation permanente, dégradation des relations, menaces sur la vie privée, addiction à Internet... La vie numérique n'est pas sans dangers. Et les nouvelles technologies, si elles constituent un formidable outil, peuvent être source d'inquiétude et de souffrance. Explications. Laurence Folléa Anne Pichon Sommaire « Je n’ai rien contre les écrans. » Au cours de notre enquête, pas un des spécialistes que nous avons interrogés ne s’est épargné cette précaution liminaire. Le progrès, oui mais… Prudents, ces experts du psychisme humain n’en sont pas moins inquiets.

A découvrir A lire aussi. Faire la distinction entre pénibilité et usure professionnelle - Fiches méthodologiques. Le mot usure vient du latin « usare » voulant dire : « se servir de ». L’usure fait donc directement référence à la notion d’usage. Si l’on reprend la définition de l’ANACT (Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail), l’usure est un « processus d’altération de la santé lié au travail qui dépend du cumul et/ou de combinaisons d’expositions de la personne à des contraintes du travail qui peuvent être de nature diverse : des situations d’hypersollicitation physique, cognitive et/ou psychique, des situations répétées d’activités empêchées, des activités entravées, des situations d’hyposollicitation, des expositions à des nuisances physicochimiques, à mettre en lien avec un processus de construction de la santé par des régulations, des marges de manœuvre (collectif, expérience, etc.) et des facteurs de construction (sens, utilité, métier, etc.).

Les enjeux Ces deux phénomènes, contrairement à la pénibilité, sont généralisés à tous les secteurs d’activité. Le fil conducteur. Les déconnectés volontaires. Mails, SMS, tweets... Face au flux continu issu des technologies de la communication, certains pratiquent la déconnexion volontaire. Ce nouveau comportement a fait l'objet d'une étude pilotée par le sociologue Francis Jauréguiberry. Avalanche de mails et de SMS à traiter en urgence, appels intempestifs et chronophages, crainte diffuse d’être surveillé et géolocalisé à son insu, risques d’addiction… Après le formidable engouement pour les technologies de l’information et de la communication (TIC), la magie est en train de retomber. L’Homo connexus cherche aujourd’hui à prendre de la distance et à remettre les outils numériques à leur juste place.

Comble du comble, ce sont les hyperconnectés de la Silicon Valley qui les premiers ont sauté le pas. Ils ont lancé depuis une dizaine d’années le mouvement des « off-liners » (hors-ligne), qui prône la diète numérique partielle et temporaire. La pause numérique, un phénomène en plein essor Des technologies chronophages.

Hyper sollicitation numérique : quand les notifications nous rendent fous ! Fabienne Bregy - 19 décembre 2017 Catégorie : SIMPLIFIER Article Rédigé par Audrey Lefebvre, blog de Stopilo – Collaboration Digital Collab et le blog de Stopilo. Plongée au cœur d’un phénomène récent à l’échelle de l’humanité : l’ère de la NOTIFICATION ! Email entrant, message texte, appel en absence, rappel de réunion, nouvelle interaction sur les réseaux sociaux…. elles sont partout ! Faisant de notre smartphone notre nouveau centre de gravité.

Drrr…. fui fuiiiittt… Bip… Vrooooo… De douces mélodies signant notre hyper présence au monde, les notifications deviennent pour beaucoup un vrai cauchemar. La sur-consommation de notifications nuit à notre santé mentale… Saviez-vous qu’en moyenne une personne consulte son smartphone 221 fois par jour ?!? Et qu’est-ce qui nous ramène constamment vers notre GSM ? Mais alors, quel est leur impact réel sur notre concentration, et par voie de conséquence sur notre productivité ? @Stopilo C’est dire qu’il y a là un véritable problème. Conclusion. This is What Heavy Multitasking Could Be Doing To Your Brain. Multitasking may affect crucial areas of the brain’s emotional and cognitive centres. Using laptops, phones and other media devices at the same time could be shrinking important structures in our brains, a new study may indicate.

For the first time, neuroscientists have found that people who use multiple devices simultaneously have lower gray-matter density in an area of the brain associated with cognitive and emotional control (Loh & Kanai, 2014). Multitasking might include listening to music while playing a video game or watching TV while making a phone call or even reading the newspaper with the TV on. Kep Kee Loh, the study’s lead author, said: “Media multitasking is becoming more prevalent in our lives today and there is increasing concern about its impacts on our cognition and social-emotional well-being.Our study was the first to reveal links between media multitasking and brain structure.”

The researchers found that this association had nothing to do with personality. Constant Task Switching. By Leo Babauta I know I’m losing focus when I’m constantly jumping around from task to task. This is a “red flag” for me — a sign that I’m doing something wrong. You’ve done it too: switching from one browser tab to another, opening various emails and other messages, checking on this and that.

No focus, lots of stress, lots of mental exhaustion without really getting anything done. It means that I’ve lost myself in a chain of endless distraction, and am not truly conscious of what I’m doing. When this red flag shows itself, I have a few simple solutions: Assess what’s important. The practice of simplifying, clearing things away and staying with what I’m doing is incredibly useful, and something I haven’t mastered yet. In my experience, it’s a process of letting go, and accepting.

Letting go of all the little urges to be up-to-date, to be in-the-know, to do everything, to say yes to everything. And accepting this present moment as it is, and staying with it. Le secret de notre cerveau multitâche enfin révélé. ATTENTION. Les écouteurs de smartphone dans les oreilles, vous écrivez des mails tout en écoutant de la musique et en surveillant les tweets qui arrivent, vous concentrant sur une information puis l’autre. Comment votre cerveau sait-il faire cela ?

Pour la première fois, dans une étude publiée dans Nature, des chercheurs de l’Institut de Neurosciences de l’Université de New-York ont démontré le mécanisme cérébral de cette fonction essentielle. "L’attention est un aspect vital de notre vie quotidienne, affirme Michael Halassa un des auteurs de ces travaux. Notre état d’esprit est le résultat d’une sélection minutieuse des entrées sensorielles pertinentes à un instant donné.

Si on ouvrait nos sens de manière non discriminante à tout ce qui survient, nous serions submergés par l’information extérieure. Comment fonctionne notre cerveau multitâches Le chercheur rappelle que nous choisissons en permanence ce vers quoi nous voulons porter notre attention et cela dépend du contexte. Comment fonctionne le cerveau des personnes “super-multitâches” Mike Licht/CC BY 2.0. « Naturellement, les humains sont mauvais en multitâches », note le blog Science of Us du New York Time Magazine. On nous le répète depuis longtemps. Et même si c’est compliqué, poussés par les avancées technologiques, nous sommes de plus en plus nombreux à discuter tout en vérifiant un horaire ou tapant un SMS. Cela coûte à notre pauvre petit cerveau qui peine à se concentrer sur plus d’une chose à la fois.

Et pourtant… Parmi les êtres humains, il y aurait deux catégories, les gens normaux, et les autres, appelés « super-multitâches », qui semblent réussir sans effort à accomplir plusieurs choses en même temps. Pour les tester, ils avaient imaginé un test compliqué consistant à conduire tout en parlant au téléphone. La découverte a alors aiguisé l’intérêt. Un carré bleu qui bouge et des lettres énoncées Pour cela, cinq personnes de la précédente étude ont été réquisitionnées, ainsi que trois autres, qui ont réussi à passer le test du simulateur de conduite. Hyperconnectés : le cerveau en surcharge - Documentaire (2016) Documentaire sur ARTE : « Hyperconnectés, le cerveau en surcharge » Le documentaire d’Arte intitulé Hyperconnectés, le cerveaux en surcharge est visible sur internet jusqu’au 10 septembre 2016.

Au delà, il sera possible de commander le DVD. Ce documentaire passionnant traite à mi-parcours du multitâche. A ce sujet, il est intéressant de considérer le sens du terme « multitâche » en informatique. Dans la définition sur wikipédia on peut noter dans la phrase « … permet d’exécuter, de façon apparemment simultanée, plusieurs programmes … » la partie qui doit mériter toute notre attention : « apparemment simultanée ».

En effet, dans l’usage courant quand il s’agit de nos capacités à faire plusieurs choses à la fois, on utilise facilement le terme multitâche avec à l’esprit que l’on fait deux choses très exactement en même temps, comme si on pouvait se découper en deux. Un deuxième enseignement à tirer notre point de vue : L’hyperconnexion renvoie au droit à la déconnexion souvent entendu comme le droit à ne pas être dérangé hors de son lieu de travail. Arrêtez de lire vos emails et mettez-vous au travail! Tout le monde (ou presque) s’en plaint, mais tout le monde use et parfois abuse de l’email ! Dans les années 95, on se réjouissait de recevoir des courriers électroniques à un point tel que la notification sonore « You’ve Got a Mail » a fait un malheur en nombre de téléchargements.

Dans les années 2000, on s’est réjouit de voir s’afficher des notifications nous permettant de ne pas rater le ou les messages tant attendus ou espérés. Depuis quelques années, nous sommes de plus en plus nombreux à recevoir et lire les messages électroniques sur plusieurs supports PC, tablettes et smartphones. Du point de vue de la mise à disposition et des systèmes d’alertes, tout fonctionne bien ! Du point de vue de la productivité, le courrier électronique est de plus en plus un facteur de dégradation. A entendre certains collaborateurs dans les entreprises et autres organisations, on serait presque tentés de penser que leur occupation est de « lire les emails ».

J'aime : J'aime chargement… Les déconnectés volontaires. Surcharge informationnelle. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La surcharge informationnelle (en anglais information overload), ou surinformation[1] ou encore infobésité (néologisme québécois[2]), est un concept désignant l'excès d'informations qu'une personne ne peut traiter ou supporter sans nuire à elle-même ou à son activité. Cette notion, également évoquée par le sociologue Edgar Morin sous l'appellation de « nuage informationnel », est quelque peu différente du brouillard informationnel en temps de guerre[3].

Histoire[modifier | modifier le code] Bien que ce concept soit au début du XXIe siècle étroitement lié au développement des chaînes de télévision d'information en continu, à l'utilisation des technologies de l'information et de la communication et, en particulier, les nouvelles technologies de l'information représentées par Internet, il a fait son apparition dès le début des années 1960 comme l'une des sources de dysfonctionnement des organisations[4]. Citations[modifier | modifier le code]