background preloader

Disparition_presse_écrite

Facebook Twitter

Les 200 titres de presse les plus aidés en 2014. Presse subventionnée - Les 20 journaux les plus aidés par l'Etat. Les montants des subventions versées aux journaux de la presse écrite ont été publiés par le ministère de la Culture fin 2016. Voici le classement des aides versées en 2015, dont l'ordre est défini en fonction du montant total de l'aide. Les montants indiqués sont en euros. Source des chiffres : Ministère de la culture et de la communication. Les journalistes bénéficient également d'un avantage fiscal lors du calcul de leur impôt sur le revenu. Voir ainsi le montant de l'abattement pour les journalistes. Aujourd'hui en France Montant de l'aide : 7 770 562 Aide par exemplaire : 0,15 Libération Montant de l'aide : 6 499 414 Aide par exemplaire : 0,23 Le Figaro Montant de l'aide : 6 456 112 Aide par exemplaire : 0,07 Le Monde Montant de l'aide : 5 438 216 euros Aide par exemplaire : 0,06 La Croix Montant de l'aide : 4 405 474 Aide par exemplaire : 0,14 Ouest France Montant de l'aide : 4094071 Aide par exemplaire : 0,02 L'Humanité Montant de l'aide : 3 590 875 Aide par exemplaire : 0,36 La dépêche du Midi Les Echos.

Guy Crevier : « Le modèle de la presse papier est mort » – Presse et tablette. Guy Crevier est le président et éditeur de La Presse. Il nous a accordé une longue interview où il fait un bilan 18 mois après le lancement de « La Presse + », ce projet unique dans le monde, et dévoile quelques-uns de ses projets. Personnellement, vous lisez La Presse ou La Presse +? Je ne lis plus La Presse papier depuis longtemps. Je ne lis plus que La Presse + et je trouve cela captivant. Peut-on dire aujourd’hui que le pari de La Presse + est réussi? Le pari est réussi, oui, mais il nous reste du chemin à parcourir. Vous souvenez-vous des prémices de votre projet de création d’un journal sur tablette? En 2009, on ne croyait déjà plus au modèle du papier car il coûte cher à imprimer et à distribuer. Certains disent que la tablette n’est pas l’eldorado annoncé pour les journaux, et que c’est déjà le début de la fin… Je ne suis pas d’accord. Votre initiative est scrutée partout dans le monde… Les gens nous regardent, c’est vrai.

Comment vivez-vous ce rôle de précurseur? Avant 2020? WordPress: La presse imprimée, à l'article de la mort ? La plupart des quotidiens américains en version papier auront disparu dans cinq ans au profit de la presse en ligne, selon une étude outre-Atlantique. Et, en 2029 dans l'Hexagone. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Marlène Duretz (C'est tout Net ) Pas moins de 39 % des Américains consultent la presse en ligne pour s'informer (Pew Research Center). Dernière "victime" en date de cet engouement pour l'écran, le magazine Newsweek dont le dernier numéro, paru le 31 décembre 2012, est désormais accessible sur le seul site thedailybeast.com.

La plupart des quotidiens américains en version papier auront disparu dans cinq ans, selon une étude de l'Annenberg School de l'Université de South California. "La vision est sans doute un peu alarmiste", commente Stéphane Bussard sur son blog "L'Amérique dans tous ses Etats", mais elle indique une tendance qui paraît irréversible. " La France échappe-t-elle à ce phénomène ?

Le journal imprimé à l'article de la mort ? Presse : la fin du papier ? 700 millions d’euros de subventions publiques pour la presse française, sans compter le taux super-réduit de TVA et la niche fiscale pour les journalistes : et si tout cela ne faisait que reculer l’inéluctable, à savoir la disparition programmée de la presse papier ? C’est en tout cas l’avis de l’écrivain et journaliste suisse Jean-François Fournier qui dans le numéro 2 de L’Antipresse prévoit une presse 100% numérique. L’Antipresse est une lettre gratuite publiée par l’éditeur et écrivain suisse Slobodan Despot que l’on peut retrouver sur Tumblr (antipresse.tumblr.com), sur Twitter (antipresse_net) et sur Facebook.

Cet article est reproduit avec l’aimable autorisation d’Antipresse. Le déclin de la presse traditionnelle est irréversible, mais le monde du Net nous réserve un avenir captivant, pour peu qu’on s’y investisse vraiment. « Mais pourquoi diable lancer une lettre d’information alors qu’il y a tant et tant de journaux ? « Et l’Europe ? Pari fou, que celui de La Presse ? Information: Les médias sont en quête d’un avenir. De quoi sera fait l’avenir de la presse romande? Après les deux vagues de licenciements qui ont d’abord touché 24 heures et la Tribune de Genève à l’automne dernier puis Le Temps et L’Hebdo (dont le dernier numéro a paru il y a un mois), la branche est en ébullition.

«Aussi malheureuse que soit cette disparition de L’Hebdo, elle permet de prendre conscience que la crise est actuelle et que demain il sera trop tard», avertit Pierre Ruetschi, rédacteur en chef de la Tribune de Genève. Mardi soir, la Maison de la communication organisait une table ronde regroupant personnalités des médias et politiciens pour réfléchir aux pistes qui pourraient assurer un avenir aux médias, presse écrite en tête. La question des aides directes et indirectes a finalement été au cœur des débats. Globalement, la plupart des participants se sont accordés pour dire que seuls des soutiens indirects étaient véritablement envisageables.

Le dernier journal sera imprimé en 2021 - Le Temps. La presse traverse une crise qui, cette fois, pourrait lui être fatale. Tout le monde connaît les difficultés du secteur: chute de la publicité, désaffection des lecteurs pour l’info payante, confiance dans les médias tombée au plus bas pour ne citer que les principaux écueils contre lesquels il se fracasse.

Mais le coup de grâce pourrait venir encore plus vite que prévu à cause de la fragilité du maillon le plus faible de la chaîne. Les imprimeries, la distribution et le portage des journaux restent des métiers du XIXe siècle. Mais ces tâches sont effectuées pour des entreprises du XXIe siècle. Et elles-mêmes n’ont plus le succès qu’elles connaissaient au XXe siècle. La production et la diffusion, qui ne pèsent presque plus rien dans la chaîne de valeur de l’édition, vont finir par craquer. En effet, lorsque les imprimeries seront en bout de course, qui va encore investir dans ces coûteux outils industriels qui s’amortissent sur 30 ans? Lire également: La presse en détresse. La presse en détresse - Le Temps. Pas besoin d’ouvrir les journaux pour découvrir la crise de la presse. Sur la Toile, les informations – consultables gratuitement – se suivent et se ressemblent: rachat de titres historiques par des hommes d’affaires (The Washington Post, Libération), licenciements massifs (El País, la Voix du Nord) ou disparition de journaux imprimés (The Independent, New York Observer).

La lente agonie a aussi son pendant romand. Cet automne, Tamedia biffait 31 postes sur les deux quotidiens Tribune de Genève et 24 heures. L’Agefi se vide peu à peu de ses collaborateurs – passés de 51 à 32 en une année et demie, selon des sources proches de la rédaction. Le Courrier – qui ne paraît plus que quatre fois par semaine – s’est allégé au point de ne compter que 12 pages par édition. Lire aussi notre éditorial: Le dernier journal sera imprimé en 2021 Un manque à gagner d’un milliard Investissements dans l’e-commerce Le soutien au papier a fait son temps Un fonds pour la transition numérique 130 millions par an. Quand la presse était toute-puissante - Le Temps. La nouvelle s’est répandue comme une traînée de poudre. En concert en Angleterre, la voix de la diva Nellie Melba aurait porté jusqu’à New York. Nous sommes en 1920. La radio n’est encore qu’une lointaine et mystérieuse invention.

La presse est, elle, toute puissante; en Europe et tout particulièrement en Suisse où 400 journaux payants indépendants se disputent un marché morcelé sur quatre langues et 22 cantons. Malgré quelques initiatives privées «d’ordre expérimental à Genève ou Lausanne», il est alors impossible d’imaginer un développement des liaisons hertziennes au niveau national sans aide de l’Etat, rappelle Alain Clavien, professeur d’histoire contemporaine à l’Université de Fribourg. La Société suisse de radiodiffusion (SSR) est créée en 1931, sur le modèle de la British Broadcasting Corporation (BBC), transformée en organisme public en 1927. Lire aussi: Dix idées pour sauver la presse Rapidement, la SSR se dote de trois émetteurs pouvant porter d’un bout à l’autre de la Suisse. Dix idées pour sauver la presse - Le Temps. Elle couve depuis longtemps, mais son rythme semble s’accélérer. La crise que traverse la presse écrite, la plus grave de son histoire, a déjà laissé des centaines de journalistes sur le bas-côté.

En Suisse romande, les dernières coupes de personnel en date concernent 24Heures et La Tribune de Genève à l’automne dernier (une vingtaine de postes supprimés). Mais aussi le propriétaire du Temps, Ringier Axel Springer Schweiz (RASCH), qui a procédé à 36 licenciements en janvier. Et ce ne sont là que deux épisodes d’un feuilleton qui dure depuis presque dix ans et dont la fin n’est pas encore identifiée. Mais pour le grand public, cette dernière saignée s’est accompagnée d’un événement plus marquant que d’habitude: la fin de L’Hebdo, après 36 années d’existence.

Avec cette décision, la direction de RASCH a brisé un tabou. Plus aucun titre n’est désormais assuré de survivre, ni d’être porté à bout de bras par son propriétaire. Lire aussi: La presse en détresse 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. En Suisse? Newspapers Deliver Across the Ages. Ever hear the phrase “print is dead”? Well if you check with almost 170 million Americans, they’d tell you that nothing could be farther from the truth. In fact, a recent Nielsen Scarborough study found that more than 169 million adults in the U.S. read a newspaper in a month—whether it be in print, on a website or via mobile app. In total, newspapers reach 69% of the U.S. population in a given month. Newspapers remain largely a print medium, but the dramatic growth in digital media in recent years has compelled newspaper publishers to re-think their distribution models and become multi-platform content providers. According to the recent study, 81% of monthly newspaper readers engage with the print product, with 51% reading print exclusively.

Traditionally, newspaper audiences have been more educated, affluent and older than non-newspaper readers. Compared to previous decades, younger readers now account for a greater percentage of newspaper readers.