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Kitch

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Kitsch. Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes »(juillet 2019).

Kitsch

Améliorez sa vérifiabilité en les associant par des références à l'aide d'appels de notes. Encriers et ramure de cerf pour porte-plume (vers 1920). Le kitsch ou kitch est l'accumulation et l'usage hétéroclite, dans un produit culturel, de traits considérés comme triviaux, démodés ou populaires. Son emploi implique donc nécessairement un jugement de valeur et la norme qui le conditionne. Définition[modifier | modifier le code] D'après l'encyclopédie Larousse, « [kitsch] se dit d'un objet, d'un décor, d'une œuvre d'art dont le mauvais goût, voire la franche vulgarité, voulus ou non, réjouissent les uns, dégoûtent les autres[1]. » Origines étymologiques[modifier | modifier le code] Le terme « kitsch », introduit de manière plutôt accidentelle vers 1860, présente une étymologie incertaine. Takashi Murakami.

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Takashi Murakami

Takashi Murakami. Takashi Murakami (村上 隆, Murakami Takashi?) , né le 1er février 1962 à Tokyo, est un artiste plasticien japonais. En 2006, Christie's le classe 6e au classement des artistes les plus chers au monde. Il est considéré comme le digne successeur d'Andy Warhol[1]. Biographie[modifier | modifier le code] Murakami à Galeria Mars à Tokyo, 1992. Takashi Murakami est né à Tokyo dans l'arrondissement de Itabashi. Murakami collabore avec la marque de maroquinerie de luxe Louis Vuitton. Considéré comme l'un des chefs de file du néo-pop japonais dit Superflat, mouvement dont il est l'initiateur[6], il revendique l'héritage de Warhol[7] et du pop art américain, tout en analysant la manière dont l'art japonais peut trouver une autonomie face au modèle occidental. Le 21 juin 2011 Google utilisa un "doodle" créé par Takashi Murakami[9]. Démarche artistique[modifier | modifier le code] 10 choses à savoir sur l'inévitable Takashi Murakami.

1.

10 choses à savoir sur l'inévitable Takashi Murakami

Il aime la scatologie, le sperme et les peluches sous LSD Toiles monumentales saturées de couleurs et de fleurs au sourire béat, vidéos dans le plus pur style kawaï (mignon) mettant en scène des créatures débiles et/ou droguées qui utilisent les excréments comme engrais, sculptures de monstres bigarrés, d'humanoïdes difformes, de figurines à la sexualité agressive, l'oeuvre de Takashi Murakami dépeint un monde orgiaque, halluciné et sans tabou. Car sous le vernis rutilant des couleurs pop, les mondes de l'artiste nippon n'en finissent pas de se déglinguer. Surenchère esthétique d'une imagerie manga déjà chargée, il faut vraiment avoir grandi dans les années 90 pour supporter cette débauche de couleurs flashy sans risquer la crise d'épilepsie.

Takashi Murakami lui-même, dans un entretien accordé à Elle, avoue qu'il trouve les vanités d'Andy Warhol assez "laides" mais que "tout le monde a l'air de les apprécier". 2. Takashi Murakami aime les métissages. Jeff Koons. Jeff Koons. Jeff Koons en 2009.

Jeff Koons

Biographie[modifier | modifier le code] Koons est né à York, en Pennsylvanie, de Henry et Gloria Koons. Son père était marchand de meubles et décorateur d'intérieur. Sa mère était couturière. À l'âge de neuf ans, son père déposait de vieux tableaux copiés et signés par son fils dans la vitrine de son magasin afin d'attirer les visiteurs. Dans sa jeunesse, Jeff Koons travaille avec son père, fait du porte-à-porte pour vendre des rubans, des dentelles ou encore du papier cadeau, et vend du Coca-Cola sur un parcours de golf. Après des études au Maryland Institute College of Art (en) de Baltimore, Jeff Koons s'installe en 1976 à New York. Ses débuts sont pourtant compliqués et, à court d'argent, il retourne chez ses parents, qui vivent désormais en Floride, et travaille un temps comme démarcheur politique.

Il revient à New York et réalise la série Equilibrium, présentée dans sa première exposition en 1985, chez la galerie éphémère International with Monument[1]. Années 1980.