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Beauté, identité, corps

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Histoire de la beauté : 3. La Renaissance. L'évolution du corps féminin idéal à travers les années. Le calibreur de beauté de Max Factor. Max Factor était un pionnier du maquillage au cinéma puis à la télévision aux débuts de l’industrie cinématographique à Hollywood.

Le calibreur de beauté de Max Factor

En 1932 il a inventé ce casque « Beauty Calibrator » destiné à mesurer la beauté des actrices en mesurant précisément avec des micromètres la position exacte 325 détails de leur visages de façon à corriger ensuite leurs « défauts » avec du maquillage. Max Factor pensait qu’après avoir été popularisé par Hollywood son appareillage pourrait devenir un accessoire indispensable dans les salon de beauté, heureusement il n’a pas eu le succès espéré et il n’en reste qu’un seul exemplaire, visible au Hollywood Entertainment Museum. Hybride, anxiogène, post-humain : visions du corps dans l'art contemporain - CMDR - Corps : Méthodes, Discours, Représentations. Notes et compte rendu de la com­mu­ni­ca­tion de Morgan Labar : Hybride, anxio­gène, post-humain : visions du corps dans l’art contem­po­rain, CMDR, Ens de Lyon, 25 mai 2012.

Hybride, anxiogène, post-humain : visions du corps dans l'art contemporain - CMDR - Corps : Méthodes, Discours, Représentations

On pour­rait s’ins­crire dans la ligne de la com­mu­ni­ca­tion pré­cé­dente en tirant le fil de la phy­siog­no­mo­nie ; de l’idée qu’il est pos­si­ble de cons­truire un corps qui dise ce qu’on est. La ques­tion taraude les années 1990 sur les­quel­les porte cette com­mu­ni­ca­tion. Le terme post-humain peut paraî­tre jar­gon­nant mais tire son ori­gine d’une expo­si­tion d’art contem­po­rain de 1992 à Lausanne inti­tu­lée « post human », qui a fait date dans l’his­toire de l’art contem­po­rain. Les années 1990 cons­ti­tuent le moment où le corps devient un objet véri­ta­ble­ment pro­blé­ma­ti­que pour la pensée uni­ver­si­taire, et où les études sur la ques­tion se mul­ti­plient : il se passe comme un tour­nant autour de ces années-là.

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La femme dans l'art

Elle peut être symbole de fécondité, idéal de beauté, vecteur de rêve, Eve tentatrice, idéal de pureté, Vierge qui intercède, compagne de l’homme, maternité et amour absolu, civilisatrice, putain, courtisane, femme fatale, femme guerrière, femme fragile, femme objet, femme victime, femme épanouie, femme affirmée... Les oeuvres d’art Préhistoire Les Vénus de la Préhistoire (Lespugue, Brassempouix, Willendorf…), - 25000 Antiquité.

Portrait-valenciennes.pdf. Scarifications archive at dialectique du corps. Quelques mots sur… Le tatouage: D’où viennent-ils?

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De quand datent-ils? Les origines de la pratique du tatouage sont assez floues. On a retrouvé des traces relevées sur le corps d’Otzi, l’hibernatus autrichien âgé de près de 5300 ans, mais les racines de cette pratique sont certainement plus anciennes encore. Au Japon, des figurines au visage peint ou gravé, vieilles d’au moins 5000 ans servaient vraisemblablement à accompagner la personne décédée dans l’au-delà. En Egypte, les archéologues ont trouvé la momie d’une femme qui aurait été prêtresse de la déesse Hathor il y a environ 4000 ans.

Au nord de la frontière séparant la Chine et la Russie, furent mis en évidence des tombeaux des Pazyryks, qui étaient de redoutables guerriers ayant vécu il y a plus de 3000 ans. Un photographe donne un autre visage au tatouage facial. Rituel ancestral, le tatouage facial est de plus en plus présent dans nos sociétés.

Un photographe donne un autre visage au tatouage facial

Un photographe tente de briser les préjugés autour de cette pratique. Les origines du tatouage facial sont multiples. Au Japon, dans la tribu des Aïnous, les femmes avaient pour coutume de s’encrer une large moustache noire au-dessus de la bouche une fois la puberté atteinte, pour faire savoir qu’elles étaient en âge d’être mariées. Chez les Maoris, le tatouage facial (appelé “moko”) était au départ réservé aux guerriers, pour souligner leur courage et leur insensibilité face à la douleur. En Afrique du Nord, la pratique servait quant à elle à embellir les femmes berbères, qui le portaient fièrement telle une parure éternelle. De gauche à droite : une femme Aïnou japonaise, un guerrier maori et une femme berbère (photographiée par Marc Garanger), arborant leurs tatouages faciaux.

Briser les préjugés Trop souvent, les gens se font une opinion négative de ceux qui osent se tatouer le visage. . © Mark Leaver.