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The Genre That Shall Not Be Named (Dubstep) I recently stumbled upon a blog that, despite its newness and modest stature, might represent one of the most important conservation efforts in electronic dance music right now. Instead of preserving the past, however, it's focused on a far more critical project — securing the future. Okay, I'm being slightly hyperbolic, but the point stands. The blog is called Postwutchyalike: We Can Name It Later, and its scope encompasses pretty much everything in beat-centric electronic music — as long as it doesn't fall into established categories like house, techno, or dubstep. Beyond the satisfyingly declarative ring of the title and the excellent, evocative prose of the blog's anonymous author, there's an important argument being made here: Stop naming and start listening.

It's not like the discourse around electronic music has done a great job of keeping up. This isn't a new problem; we've been wandering in the wilderness for a decade or more. Sacrilège ! Michel-Ange, Pasolini... Une histoire de l'art blasphématoire | Rue89 Culture. Sacrilège Rodrigo Garcia avec son « Golgota picnic » ? Pas plus que de très nombreux artistes dans l’Histoire, et parmi les plus grands.

Un point commun les réunit peut-être : l’espoir de voir le Ciel se manifester, comme le Dom Juan de Molière. Les peintres, poètes, écrivains, cinéastes qui s’attaquent aux figures du sacré cherchent une apparition, une révélation. A défaut de récolter le signe qui comblerait leur angoisse, ils captent du moins l’attention du public, des censeurs. Et parfois de l’Histoire. Petite revue de grands blasphèmes. Entre 1534 et 1541, Michel-Ange reprend un chantier monumental entamé trois décennies ans auparavant : la décoration de la chapelle Sixtine.

Or, Michel-Ange y multiplie les impudeurs et les détails choquants. L’Arétin, poète pourtant très licencieux, auteur de textes érotiques sulfureux, en ajouta une couche. Dans un tel contexte, la question de l’éradication pure et simple de l’œuvre se posa à plusieurs reprises sous le pontificat de Paul IV. Scorsese, fondu au noir. «Shutter Island», le nouveau Scorsese, se passe sur une île qui a pour fonction d'éloigner le plus possible les malades mentaux de la société civile. Cette version bostonienne de San Clemente (l'asile de Venise qui inspira un beau film à Raymond Depardon) n'admet que les fous criminels. C'est dans cet endroit sympathique - balayé, qui plus est, par une tempête épouvantable - que l'on envoie en mission Teddy Daniels (Leonardo DiCaprio), un policier passablement traumatisé par la mort de sa femme Dolores (Michelle Williams). Son but? Retrouver une patiente qui a disparu de façon inexplicable... On sait Scorsese cinévore plus encore que cinéphile, et l'on ne s'étonne donc pas qu'il se saisisse du roman de Dennis Lehane pour combiner brillamment deux traditions de représentation de la folie au cinéma.

D'une part, les films de dénonciation, qui mettent l'accent sur les dérives de la psychiatrie et la paranoïa qui saisit forcément le sain d'esprit lorsque son entourage est dément. Publicité. Metropolis, ville de demain pour toujours. Temps de lecture: 4 min La légende veut que ce soit en arrivant à New York, un jour de l’automne 1924, à bord d’un transatlantique, que Fritz Lang eut la vision de la ville du futur qui lui aurait inspiré sa superproduction Metropolis, dont la première aura lieu en janvier 1927. Légende construite par Lang lui-même, coutumier du fait, et de laquelle Bernard Eisenschitz fait justice, comme de beaucoup d’autres, dans le maître ouvrage Fritz Lang au travail qui vient de paraître aux éditions des Cahiers du cinéma. Dès le mois de juin 1924, le cinéaste et son épouse, Thea von Harbou, avaient terminé le scénario.

Mais il est exact que ce voyage, où le cinéaste est accompagné de son producteur, Erich Pommer, et de l’architecte Erich Mendelsohn, jouera un rôle majeur dans la conception visuelle du film en projet. Les images urbaines, c’est à dire principalement les images de la ville haute, sont somptueuses. Dessin d'Erich Kettelhut. Jean-Michel Frodon. Le guide VICE pour acheter de la drogue quand on est une fille. Aucune jeune femme ne peut échapper au jour où elle doit quitter le cocon familial et affronter le défi que représente le fait de se procurer de la drogue toute seule. À moins que cette fille soit suffisamment chanceuse pour avoir un pote qui se charge de l’approvisionner sans qu’elle fasse le moindre effort, il lui faudra, dans une métropole de type Paris, se faire livrer à domicile.

Ça a l’air facile, mais ça ne l’est pas. Pas du tout. Une fille solitaire qui essaie de faire des trucs pas bien, c’est le rêve érotique de tout dealer. Ils se disent : « Cette fille aime se défoncer. Ça veut dire que je peux sans doute la sauter. ». Chaussures Vans, jean Altamont Pico, débardeur Actual Pain, parfum Viktor & Rolf, feutre à lèvres & beaume couleur Smashbox, collier pochette A.OK, vernis à ongles damiers Sally Hansen Salon Effects, t-shirt Wildfox, jean slim Volcom, Baskets Converse All Star Premium. Cependant, « trop 90’s », ça existe. Il faut que tu sois au top, « over the top » même. Www.crdp-montpellier.fr/ressources/frdtse/frdtse41g.html. (3) Umberto Eco, prenant le texte de Borges au pied de la lettre ou plutôt au pied de la carte, a écrit dans les années 1960 un pastiche délicieux dans lequel il énumère avec une feinte science qui tourne à l’absurde les difficultés de réalisation de la Carte de l’Empire.

Il est intéressant de constater que, dans une mise en abîme subtile, Eco écrit un faux (son propre texte) sur une carte en trompe-l’œil (la Carte de l’Empire) décrite dans un autre faux (le texte de Borges) qui cite un faux (le texte de Suarez Miranda)! Lire Eco U., 1988, Pastiches et postiches, (édition française), Paris, Editions Messidor. Réédition collection 10/18, n° 2772, repris dans Comment voyager avec un saumon, Paris: Grasset, 1998.

Esthétique de l’apocryphe Dans ce court texte, quelques motifs et ressorts borgésiens essentiels sont présents: la réflexion sur les rapports entre l’espace et le temps, l’image, la mémoire, le goût de la métaphore et du mythe, l’allégorie. De l’iconolâtrie à l’iconoclasme. Photo : retour sur une semaine riche | On est là pour voir. Photo de Jeffrey Silverthorne/James and His Mother/1988/Tirage cibachrome d’époque/17x18cm/2100 euros/ Galerie VU’ qui en a vendu d’autres du même auteur, la plus chère (en 50x60) : 6 100 euros Il n’y a plus d’entrée ni de sortie d’« Angoisse “ dans la galerie Loevenbruck. Au Salon Paris Photo, qui a fermé ses portes dimanche dernier, elles ont été vendues, selon leurs prix d’annonce, entre 8 000 et 15 000 euros. Ce ne sont pas seulement les photos d’Édouard Levé, qui sont passées, la semaine dernière, de galeristes à collectionneurs, de galeristes à curieux aisés, de galeristes à institutions muséales, ou de galeristes à ...galeristes.

La satisfaction régnait chez les 117 marchands présents à cette Foire. Il semblerait qu’elle ne soit pas feinte. Il y aurait eu, d’après l’AFP, plus de 50 000 visiteurs. Il faut être prudent, tant des galeristes veulent paraître, mais les prix ont été très élevés. Le portrait de Maïakovski par Rodchenko à 450 000 euros (Caméra Work) laisse dubitatif. Avant Hitler, qui était le mal personnifié? - Six portraits d'Adolph Hitler déguisé (par un maquilleur) de diverses façons, rendus publics par les Archives nationales américaines. REUTERS/HO Old - Retrouvez tous nos articles de la rubrique L'explication ici. Début octobre, la chaîne sportive ESPN a viré le chanteur Hank Williams Jr de son émission Monday Night Football après qu’il a publiquement comparé le président Obama à Adolf Hitler. publicité De nos jours, le Führer est universellement considéré comme la personnification du mal et comme l’exemple le plus commode de ce qu’il peut y avoir de pire dans l’homme.

Les heures les plus sombres de l'histoire d'Egypte Le pharaon. Les orateurs qui cherchaient un symbole universel du mal se tournaient généralement vers des personnages tels que Judas Iscariote, Ponce Pilate ou, plus fréquemment, le Pharaon de l’Exode, qui avait préféré se voir infliger les dix plaies d’Egypte plutôt que de laisser les Hébreux partir. Des «Hitler» plus locaux Le monstre Abraham Lincoln Brian Palmer. «Chacun sait»... rien (ou les ravages de la rhétorique) C’est une ficelle bien connue des psychologues sociaux et des profs de marketing: qui veut faire ingurgiter un anaconda à autrui, doit d’abord lui faire avaler une couleuvre (une petite, puis une grosse, puis un cobra, un boa constrictor, etc.).

La technique repose sur cette règle simple: si j’entends une proposition dont l’intensité d’aberration est n («entendre» au sens de: considérer que je puis la prendre au sérieux, éventuellement la discuter, et tenir son énonciateur pour un interlocuteur possible), je suis prêt à entendre une nouvelle proposition dont ce degré sera n+a (a étant 3, ou 4, etc., variant selon les sociétés et l’échelle de mesure). Donc, à force de couleuvres toutes plus aberrantes l’une que l’autre (n+2a, n+3a, etc.), on sera préparé à entendre cet énoncé de degré n+10a qui est tel que, quelques temps auparavant, on n’aurait jamais imaginé qu’il fût possible de le proférer sérieusement. Cette technique est excellemment employée par nos gouvernants. Publicité 1. 2. Le CSA saisi des propos d'Ivan Levaï sur le viol. L'association Osez Le Féminisme a envoyé une lettre au CSA pour saisir directement le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel sur le dérapage d'Ivan Levaï à la radio le 6 octobre.

Le journaliste –premier mari d'Anne Sinclair, toujours proche d'elle et de Dominique Strauss-Kahn– participait à l'émission de Pascale Clark sur France Inter pour la sortie de son livre sur l'affaire DSK-Nafissatou Diallo, intitulé Chronique d'une exécution. Il s'était alors laissé aller à de nombreuses approximations sur le viol, affirmant notamment dans un passage avec Pascale Clark à propos de ce qui s'était passé entre l'ancien président du FMI et la femme de chambre du Sofitel: «IL: Moi je ne crois pas au viol. Pour un viol il faut un couteau, un pistolet, etc.PC: Pas forcément... Une déclaration qui avait par son inexactitude consterné de nombreux auditeurs –dont nous–, mais laissé de marbre le CSA, relève Julien Martin du Nouvel Observateur. Voyant que le Conseil ne s'autosaisissait pas, Osez le féminisme! Pour Tous Ceux Qui Se Son Fait Bloqué Par Facebook :( - Monkey like, Mail Chimp, Flickr CC licence by-nd - Petite leçon d'ingratitude du web.

Comparons le rapport investissement/fréquentation de deux contenus sur la réforme des retraites. D'un côté, pris au hasard parmi la production journalistique, un long live-blogging de la manifestation du 2 octobre qui a mobilisé la rédaction de Rue89 pendant toute une après-midi. Verdict: 40.779 visites, (score tout à fait honorable pour un site d'information). Nombre de likes Facebook: 216 (idem). publicité De l'autre, une simple phrase postée par un internaute anonyme sur le site J'aime ça (qui n'aura coûté qu'une seule journée de développement).

Comment atteindre un tel niveau d'audience pour un coût si faible? L'astuce du moment s'appelle la «like farm», une ferme de likes, ou pour le dire plus franchement, de l'élevage de likes en batterie. Le but de Facebook était de développer le partage de contenus: articles, vidéos, sites intéressants...etc.

-"Elle a combien d'ex elle? - JaimeJaime.info - On aime. Internet, quand le murmure de la réception devient audible | Les Internets. [Version révisée d'une communication présentée au colloque Si la photo est bonne - Institut National d'Histoire de l'Art, 20 et 21 octobre 2011] Tampons Like et Dislike en vente sur lavantgardiste.com. Dans le tome 1 de l’Invention du quotidien, publié en 1980, Michel de Certeau avait l’intuition de l’existence d’un murmure de la consommation, qu’il ne pouvait que conceptualiser en l’absence d’une médiatisation de cette activité.

Il mettait face à face «une production rationalisée, expansionniste autant que centralisée, bruyante et spectaculaire», celle des industries culturelles pour reprendre le terme de notre colloque, et une«autre production, qualifiée de “consommation”: celle ci est rusée, elle est dispersée, mais elle s’insinue partout, silencieuse et quasi invisible, puisqu’elle ne signale pas avec des produits propres mais en manières d’employer les produits imposés par un ordre économique dominant» Capture d'écran YouTube le 19/10/2011. Capture d'écran YouTube le 19/10/2011.

Ageing in a spectacular ‘youth culture’: continuity, change and community amongst older goths - Hodkinson - 2011 - The British Journal of Sociology. The Medium - The Hitler Meme. Comment des entreprises françaises fabriquent et vendent de faux avis sur le Net. “Aucune traçabilité possible”, “Aucun risque encouru,…”. C’est écrit noir sur blanc sur notre devis, les 250 commentaires sont facturés 3 750 euros hors taxes.

Pour avoir cette estimation d’une agence parisienne d’e-reputation ayant pignon sur les Champs Elysées, nous ne sommes évidemment pas passés par le service com. Comme des clients potentiels, il a suffit de contacter – sous un faux nom – une dizaine d’agences d’e-reputation, en décrivant notre futur site de réservation d’hôtels, grossièrement appelé “Voyage 2.0″. Censé être en ligne dans 15 jours, nos partenaires imaginaires – environ 50 hôtels – désirent, pour notre lancement, des commentaires positifs de faux clients sur notre futur site et sur Tripadvisor. Selon une étude Nielsen datant de 2009, 70% des internautes font confiance aux avis d’autres consommateurs avant d’acheter un produit. 25 000 commentaires sur 3 mois Pour ne pas se faire repérer et ne pas être “traçable”, chaque prestataire en lice possède sa technique.

Comme un air de déjà entendu. «Pop is about the momentary thrill; it can't be a permanent exhibit» (Ce qui est important dans la pop, c’est le frisson momentané; ça ne peut pas être une exposition permanente), note le journaliste anglais Simon Reynolds à propos du musée British music experience dans Retromania–Pop culture’s addiction to its own past. Mais pourquoi diable alors la pop n’a de cesse de se retourner vers son passé? Que vise-t-elle en allant chercher des sons sixties pour les placer dans une musique néo-millénairienne? La découverte de la musique passe en général par une fouille archéologique de ce qu’on a loupé. Il n’y a pas si longtemps que ça, on se réveillait un matin et se mettait en tête de ressortir les cartons de vinyles de ses parents parce qu’on savait que s’y cachaient des merveilles. publicité Est-il encore possible d’inventer en musique? Les années 2000 et leur commémoration permanente.

Est-ce la recette à tubes qu’on recycle ou un son que l’on cherche à atteindre? Anastasia Levy.