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Doc Eco

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SI_EDM_SIO__Juillet_2012.pdf (Objet application/pdf) Portail:TIC et DD - Intercoop. Informatique durable. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Informatique durable

L'informatique a été pendant longtemps considérée comme une industrie « propre », s'étant retranchée avec les technologies de l'information et de la communication (TIC) derrière des slogans tels que « produits immatériels, industrie du silicium, zéro papier, télétravail, commerce électronique… », l’affranchissant ainsi de responsabilité sociale[1]. On reconnaît aujourd'hui que ses impacts environnementaux et sociaux sont importants, justifiant ainsi une démarche de développement durable dans ce secteur. Il importe de ne pas se limiter aux impacts directs de l'informatique, mais d'analyser aussi les impacts indirects que ces systèmes induisent dans les métiers des entreprises et des administrations, et dans la société en général. On comprend alors qu'une démarche de développement durable dans le domaine de l'informatique est un véritable projet d'entreprise, c'est-à-dire transversal pour toute l'organisation[2].

Les eaux troubles - Evolution de l'offshore dans le secteur informatique. Détails Publication : 2 novembre 2009 Affichages : 5061 Une étude du cabinet SECAFI montre que les débats sur le sujet de l'offshore (externalisation), abordés en 2003 / 2004 laissent désormais place au silence de l'acceptation.

Les eaux troubles - Evolution de l'offshore dans le secteur informatique

Faute de chiffres concrets sur l'évolution du phénomène, les observateurs sont réduits à procéder à des sondages. Absence de chiffres précis et mouvements massifs au Royaume-Uni Un article du IT Job Board indique en août 2009 que 64,1 % des sociétés ont indiqué avoir externalisé une partie de leur informatique dans les six derniers mois. SecteurInformatique_reperages.pdf (Objet application/pdf)

Secteur TIC

Wikipedia éco numérique. Livre industrie informatique. Analyse_et_benchmarking_des_couts_informatiques_CIGREF_2009.pdf (Objet application/pdf) Quels sont les apports de l'analyse de la valeur dans un projet informatique ? L'analyse de la valeur n'est pas un concept récent.

Quels sont les apports de l'analyse de la valeur dans un projet informatique ?

Apparue dès 1947 aux Etats-Unis, elle a été d'abord mise en oeuvre par General Electric, puis s'est étendue aux activités de services (1975) et à celles de l'information et de la documentation (1980) et, à partir du début des années 90, aux problématiques informatiques. Cette méthode de conception se base sur un postulat qui met en balance les services rendus par un produit, une application ou une prestation, avec ses coûts initiaux : la valeur étant mesurée au regard du niveau de satisfaction client ou en fonction de la réduction de l'investissement.

Banques et assurances adoptent le contrat numérique. 01Business le 09/07/12 à 16h47 Fini les fascicules de papier imprimés en multiples versions et paraphés au bas de chaque feuille.

Banques et assurances adoptent le contrat numérique

De plus en plus d’agences bancaires et de cabinets d’assurance recourent aux contrats 100 % dématérialisés, basés sur la signature électronique. Ainsi, la Société générale Franfinance, filiale spécialisée dans les crédits à la consommation, propose la solution Demat’+ à son réseau de souscripteurs. Le client se rend dans l’agence, où un employé vérifie son identité et génère dans la foulée un certificat électronique à usage unique. Le contrat numérique génère économies et gain de temps « Entrée en vigueur en 2011, la loi Lagarde relative au crédit à la consommation a considérablement augmenté le nombre de pages à parapher. De son côté, BNP Paribas a réalisé un premier déploiement.

Des contrats signés en ligne. Qu’est-ce que le Web Sémantique ? Monnaie électronique : la France se met aux normes européennes. La monnaie électronique pourrait enfin décoller.

Monnaie électronique : la France se met aux normes européennes

Ce mercredi, le Sénat examinait en deuxième lecture le « projet de loi renforçant les droits, la protection et l'information des consommateurs ». Dans ce texte, figure notamment la transposition de la directive communautaire adoptée en 2009 monnaie électronique (DME 2). Elle modifie la directive dite « DME 1 » publiée en 2000 afin de faciliter le développement de nouveaux services de paiement et favoriser l'accès au marché d'un plus grand nombre d'émetteurs de monnaie électronique. Elle devrait intensifier la concurrence sur ce marché, encore largement dominé par les banques, qui représentent, à l'échelle européenne, 60 % des émissions.

Concernant la DME 1, le Sénat constate qu'elle « n'a guère rencontré de succès : la monnaie électronique représente, dans la zone euro, un peu moins de 1 milliard d'euros, contre plus de 600 milliards pour le numéraire ». Calendrier électoral.